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hôpital - Page 2

  • Ne possédant pas de pass sanitaire, il présente à l’entrée d’un hôpital le code QR du Président

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    Pour entrer dans un hôpital où il “avait un rendez-vous”, un jeune homme, qui n’avait pas pris le soin de se procurer un pass sanitaire, a présenté le code QR d’Emmanuel Macron et a fini en garde à vue.

    Un jeune homme a été interpellé le 5 octobre à Marseille pour avoir pénétré dans un hôpital. Mais pas n’importe comment. En effet, il a présenté à l’entrée le pass sanitaire… du Président de la République. Les agents de sécurité s’en sont rendu compte et l’ont laissé passer avant d’appeler la police, relate Actu 17.

    Le jeune homme a été placé le même jour en garde à vue qui a été levée ce samedi 9 octobre en début de soirée. Il a déclaré que c’était juste “pour rigoler”.

    “Il a expliqué qu’il avait un rendez-vous et devait participer à un groupe de travail. Étant donné qu’il n’avait pas de pass sanitaire, il a décidé de présenter celui d’Emmanuel Macron, qui avait fuité sur Internet il y a quelques semaines”, a indiqué à Actu17 une source proche de l’enquête.

    Le jeune homme a fait l’objet d’une contravention de 4e classe pour “présentation d’un document sanitaire appartenant à un tiers lors d’un contrôle d’accès à un lieu dans le cadre de la lutte contre la propagation de l’épidémie”.

    Source

  • Marseille : blessé dans un règlement de compte, il poursuit son trafic de drogue à l’hôpital

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2021

    INFO ACTU17. Dans son sac, les policiers ont saisi plus de deux kilos de cannabis. L’homme âgé de 20 ans a été interpellé et placé en garde à vue.

    Malgré son hospitalisation, il n’avait visiblement pas l’intention de mettre fin à ses activités. Un jeune homme de 20 ans a été admis à l’hôpital Nord de Marseille (15e), le 13 août dernier, après avoir été blessé par balles lors d’une fusillade à Martigues (Bouches-du-Rhône) qui a coûté la vie à un homme de 27 ans. Ce dernier a été mortellement touché par des tirs au niveau de la tête, alors qu’il rentrait chez lui.

    Vers 5 heures samedi matin, le personnel de l’hôpital a constaté que le jeune patient hospitalisé depuis huit jours, faisait d’étranges allers-retours dans l’établissement avec un sac de sport. Ne sachant pas de quoi il s’agissait, les soignants ont préféré contacté la police.

    2,3 kilos de drogue

    Les forces de l’ordre ont procédé au contrôle du jeune homme et ont découvert dans son sac deux kilos de résine de cannabis et près de 300 grammes d’herbe de cette même drogue. Le dealer présumé – déjà connu de la police – a été interpellé et placé en garde à vue. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la Division de sécurité de proximité Nord, afin de déterminer les activités exactes du mis en cause.

    Actu17 via fdesouche

  • Interdire l’hôpital aux non-vaccinés devrait avoir une conséquence douloureuse sur le monopole de la sécurité sociale

    Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2021

    Interdire l’hôpital aux non-vaccinés devrait avoir une conséquence douloureuse sur le monopole de la sécurité sociale

    Effet boomerang de la loi bientôt en discussion au Parlement :

    […] Il s’agit de l’interdiction qui sera faite aux non-vaccinés d’accéder aux hôpitaux et, plus généralement, aux établissements accueillant des personnes vulnérables, hors « cas d’urgence ». On n’a pas bien mesuré encore les conséquences humaines, humanitaires, démographiques, de cette disposition dont la violence est probablement sans égale depuis une centaine d’années dans le monde, et pas seulement en France.

    Premièrement, et c’est au fond le point le plus bénin, elle interdira aux non-vaccinés de rendre visite à leur grand-mère dans une maison de retraite, à leur enfant hospitalisé après une mauvaise chute au ski, à l’épouse, au frère, à la soeur, victime d’une crise cardiaqueElle interdira aussi au non-vacciné de rendre un dernier hommage à un proche décédé à l’hôpital. 

    Deuxièmement, elle interdira aux non-vaccinés cancéreux, diabétiques, insuffisants de tous ordres, de se rendre à l’hôpital pour leurs soins ordinaires, pour leurs visites de contrôle, ou pour des diagnostics plus poussés. Bref, elle aura le même effet que le confinement l’an dernier. À long terme, cette mesure aura de lourdes conséquences sur la mortalité des personnes les plus faibles, dans de bien plus larges proportions que les morts du COVID prétendument évitées par la vaccination. 

    Bref, cette mesure est non seulement absurde, mais elle est cruelle et inhumaine. Il faut se demander par quelle manipulation le gouvernement en place a pu inoculer tant de haine à la majorité silencieuse des vaccinés.

    Mais au-delà de ces considérations morales devenues anecdotiques dans une société dystopique, la mesure d’interdiction va soulever une difficulté juridique de premier ordre dont les apprentis sorciers au pouvoir n’ont pas encore mesuré l’ampleur.

    Depuis la loi de financement de la sécurité sociale pour 2016, l’État a en effet instauré une « protection universelle maladie » (PUMA), contrepartie du monopole de l’assurance -maladie en France. Comme le précise très clairement le site de l’assurance-maladie :

    Toute personne qui travaille ou réside en France de manière stable et régulière a droit à la prise en charge de ses frais de santé à titre personnel et de manière continue tout au long de sa vie : tel est le principe de la protection universelle maladie.

    Ce droit, qui a mis longtemps à émerger, se fonde sur le principe de la cotisation obligatoire ou de l’imposition obligatoire des revenus pour financer la sécurité sociale. Comme tout revenu est obligé de financer cette machine monopolistique, tout imposé ou tout cotisant doit y avoir droit.

    On voit bien ici le problème qui se pose : l’obligation légale ne pourra plus être remplie, puisque l’État interdit, par une décision administrative, l’accès aux soins et à la protection universelle. Nous sommes ici dans le même cas de figure que le contentieux entre les assureurs et les restaurateurs victimes d’une perte d’exploitation due au confinement. Du fait d’une mesure administrative, l’assureur ne peut plus exécuter le contrat de protection auquel l’assuré a souscrit.

    Une première conséquence de cette restriction des prestations remboursables par cet assureur monopolistique qu’est la sécurité sociale tient au montant des cotisations : peut-on réellement facturer au tarif des vaccinés qui profitent de toutes les prestations un contrat d’assurance (présenté comme « solidaire », quelle bien étrange expression) qui est amputé de la part la plus importante de ses garanties ?

    Non, bien entendu, et c’est le principe même de l’unicité du tarif qui se trouve mise en cause par la mesure gouvernementale. Au titre de la contributivité de la sécurité sociale, aucune juridiction ne pourrait soutenir que, à contributions égales, les droits ne sont plus les mêmes.

    Le monopole de la sécurité sociale est mort

    Assez logiquement, on voit bien que ce n’est pas seulement le principe de la cotisation sociale qui va souffrir de la mesure de discrimination décidée unilatéralement par Emmanuel Macron, mais le principe du monopole de l’assurance-maladie qui est fragilisé. Si les assurés sociaux ne peuvent plus avoir accès aux mêmes prestations qu’avant, et spécialement aux prestations les plus vitales, les plus importantes, de quel droit l’État les empêcheraient-ils de changer d’assureur, et de se tourner vers un assureur qui leur permet, par exemple, de bénéficier de soins renforcés à domicile, ou de soins hospitaliers dans des contrées plus accueillantes ?

    Sauf à plaider un droit de l’État à exclure certains assurés de l’accès aux soins, on voit mal quel motif tiendrait devant le Cour de Justice de l’Union Européenne pour obliger les non-vaccinés à financer une assurance-maladie qui ne leur apporte pas de garanties de santé suffisantes.

    Politiquement, le combat dans lequel Emmanuel Macron s’est lancé semble donc à haut risque. Et juridiquement, il pourrait avoir des conséquences systémiques majeures : en interdisant l’accès aux soins pour certains assurés, il tue l’idéal de 1945 (où il en dévoile l’imposture profonde, puisqu’il ne s’agit pas de protéger, mais de dominer), et il en ruine les fondements juridiques.

    En ce sens, l’interdiction de l’hôpital aux non-vaccinés est une bonne mesure. Elle ouvre les yeux sur ce que signifie vraiment la sécurité sociale.

     

    Source : lesalonbeige

  • Rennes : les demandes d’interprètes à l’hôpital ont triplé en dix ans, un phénomène que l’on retrouve partout en France qui correspond aux évolutions de la démographie

    Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2021

    Se rendre aux urgences ou à l’hôpital peut être angoissant. À la peur de la blouse blanche s’ajoute parfois une difficulté supplémentaire : la langue. À Rennes, on travaille à faire sauter cette barrière.

    Au CHU de Rennes (Ille-et-Vilaine), les demandes d’intervention d’interprètes ont presque triplé en à peine dix ans. D’après Hugo Martin-Giroux, responsable des relations avec les usagers, le centre hospitalier comptait 1 421 demandes d’intervention d’interprète en 2020 contre 514 en 2012. Ce qui, évidemment, a un prix : l’an dernier, le CHU a dépensé plus de 50 000 €, au lieu de 20 000 € en 2017.

    Hôpital, reflet de ville

    Pour Hugo Martin-Giroux, le CHU de Rennes, « n’est pas un cas isolé. C’est un phénomène que l’on retrouve partout en France. Cela correspond aux évolutions de la démographie. […]

    ouest-france.fr via fdesouche

  • Coronavirus – Comment la Chine a construit un hôpital de mille lits en dix jours (vidéo)

    Publié par Guy Jovelin le 04 février 2020

    Auteur : 

    Face à l’épidémie de Coronavirus qui a déjà fait plus de 360 morts et contaminé plus de 17.000 personnes en Chine, un hôpital de mille lits a été construit en dix jours à Wuhan, épicentre de l’épidémie.