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  • À Varsovie, le « boss » a tracé notre feuille de route

    Publié par Guy de Laferrière le 08 mars 2023

    À Varsovie, le « boss » a tracé notre feuille de route

    Par Michel Geoffroy, auteur de Immigration de masse. L’assimilation impossibleLa Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ Le 21 février 2023, il est venu, il a vu, il a parlé. Qui donc ? Mais le patron, le boss, Joseph Robinette Biden, quoi, le « leader du monde libre » comme dit LCI, la chaîne atlantiste qui est diffusée en France. À Varsovie, le boss a donné ses directives à ses vassaux, pardon, au « monde libre ». Il fallait donc l’écouter jusqu’au bout, ce que n’ont pas fait nos médias mainstream.

    Vive la Pologne

    Le boss a salué d’abord la Pologne, « notre plus grand allié ». Vous noterez que le boss parle à la troisième personne, signe évident de sa majesté.

    Mais il faut traduire le propos présidentiel : la Pologne est effectivement le pays le plus belliqueux de l’OTAN. Aujourd’hui, elle rêve d’envoyer une légion polonaise bouter les russkofs hors d’Ukraine et même de démanteler la fédération de Russie. Comme en 1939 elle rêvait de défiler victorieuse à Berlin.

    Braves petits polaks, ils méritent bien de l’Oncle Biden ! Même si, comme dit un personnage du célèbre film Les Tontons flingueurs« les c…, ça ose tout, c’est à cela qu’on les reconnaît » !

    Silence dans les rangs

    Le boss a aussi fait la leçon à ceux qui prédisaient la « mort cérébrale » de l’OTAN, vous voyez de qui je veux parler : « l’OTAN est plus forte que jamais » et elle « restera unie ». Silence dans les rangs !

    D’ailleurs, l’OTAN se porte si bien qu’elle va s’étendre à la Suède et à la Finlande. La Finlande, voilà qui va plaire aux Russes : des missiles en face de Saint-Pétersbourg, pour Biden ça, c’est cool ! Avec ses missiles à Cuba, Castro était vraiment petit bras !

    Et des chars allemands de retour en Ukraine, cela plaira aussi beaucoup aux Russes.

    Merci, patron

    Le boss s’est aussi félicité d’avoir « libéré l’Europe de sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie ». Donc les sanctions ou le torpillage des gazoducs Nord Stream, c’était pour nous libérer. Nous voilà rassurés.

    La libération par les bombes, c’est un grand classique de l’Oncle Sam. La seconde guerre d’Irak n’avait-elle pas comme nom de code « Liberté irakienne » ?

    Donc merci, patron, de nous avoir libérés de l’énergie russe que nous pourrons enfin remplacer par un gaz de schiste made in USA, qui nous sera vendu nettement plus cher. Mais, que voulez-vous, la liberté, ça n’a pas de prix, même entre « alliés ».

    La feuille de route

    Mais passons aux choses sérieuses.

    À Varsovie, le boss a tracé la feuille de route de toute l’équipe : on se battra pour l’Ukraine « quelles qu’en soient les conséquences ». Mais les conséquences pour qui ? Pour les États-Unis, bien à l’abri dans leur continent-île, ou pour l’Europe, transformée une nouvelle fois en champ de bataille économique et militaire. Armons-nous et partez ! Merci, patron.

    Mais laissons là ces détails puérils face à une si noble cause. Car il s’agit de défendre l’Ukraine, « pays libre, souverain et démocratique ».

    Il faut reconnaître un talent certain au boss : il a été capable de lire sur son prompteur ces trois qualificatifs sans éclater de rire.

    D’ailleurs, l’Ukraine est tellement libre et souveraine que le boss a annoncé à sa place qu’elle allait prochainement « lancer une contre-offensive ». La « coalition » (le boss, dans un léger moment d’égarement bien compréhensible, a dû confondre avec l’Irak…) va d’ailleurs lui fournir des armes pour cela.

    Et puis il y aura aussi un « nouveau train de sanctions » contre la Russie : là, le boss a tracé la feuille de route de la Commission européenne, qui doit donc être tout aussi libre, souveraine et démocratique que l’Ukraine.

    Pour la paix, adressez-vous à Poutine !

    La paix ? Ce n’est pas l’affaire du boss. C’est à Poutine et à lui seul de faire la paix, le boss l’a rappelé. Mais, comme c’est un méchant, un tyran qui commet plein de crimes contre l’humanité en Ukraine, il ne faut donc pas trop compter sur lui. Alors « le monde libre » doit faire la guerre aux tyrans, ces tyrans « qui ne comprennent qu’un mot : non ».

    Là, on appréciera la profondeur abyssale de la réflexion géopolitique et philosophique de notre boss : ressortir de la naphtaline en 2023 la rhétorique du monde libre, il faut le faire. C’est ce que L’Express salue chez nous comme un « leadership “rooseveltien”[1] » : nous voici projetés non plus en 1950 mais en 1941. Voilà qui est rassurant !

    Et puis pourquoi parler des tyrans au pluriel ? Il y a donc d’autres noms sur la liste noire du boss, que Poutine ? On aimerait connaître les noms de ceux contre qui le boss va nous envoyer combattre aussi un jour. Au nom de la liberté, bien sûr.

    Le boss il a le sens de l’humour

    Comme dit LCI, le boss Biden a été « ovationné par la foule à Varsovie » pour son « grand discours ». Lequel s’est terminé en convention démocrate : jeux de lumière, nuée d’enfants de toutes les couleurs agitant des petits drapeaux autour du boss.

    Un clin d’œil sans doute à ce tyran de Poutine qui veut protéger les petits Russes de la pédophilie occidentale.

    Notre boss, il a vraiment le sens de l’humour.

    Michel Geoffroy
    08/03/2023

     

    Source polemia

  • Pour dénoncer l’islamophobie, l’artiste italienne Pippa Bacca, 33 ans, avait décidé de traverser le Moyen-Orient en auto-stop, pour prouver que ses habitants étaient pacifiques. Une fois arrivée en Turquie, elle a été violée et assassinée…

    Publié par Guy de Laferrière le 08 mars 2023

    Posté par Eric Martin

    Pour dénoncer l’islamophobie, l’artiste italienne Pippa Bacca, 33 ans, avait décidé de traverser le Moyen-Orient en auto-stop, pour prouver que ses habitants étaient pacifiques. Une fois arrivée en Turquie, elle a été violée et assassinée…

     

     

     

  • Madame le maire, “transgenrée”, porte plainte contre une blogueuse qui refuse de reconnaître qu’il est une femme

    Publié par Guy de Laferrière le 08 mars 2023

    Quand deux féministes de bords opposés se crêpent

    le chignon, on se demande où le ridicule s’arrêtera.

    Madame le maire de Tilloy-lez-Marchiennes (Nord), né de sexe masculin et appelé dorénavant Marie Cau [à gauche sur la photo] , s’associe aux plaintes de deux associations à l’encontre de la blogueuse Dora Moutot [à droite sur la photo] pour injures publiques et incitation à la haine.

    Ceci parce que lors d’un débat télévisé, cette dernière avait refusé de reconnaître à l’élu(e) son identité de genre, la qualifiant “d’homme transfémin”.

    Nos confrères de France3 écrive que  l’ex-monsieur Cau est connu pour être “la première maire transgenre élu(e) en France et la Marianne de la République 2021“.

    Quant à Dora Moutot, elle persiste en déclarant : “on est obligées de se méfier des personnes à pénis en tant que femme”. 

    En fait, c’est là une bataille entre divers courants woke qui, les uns comme les autres, sont totalement loufoques.

    Dora Moutot, tenant d’un féminisme, dit de droite et/ou d’extrême droite, présente les femmes transgenres comme des prédateurs sexuels déguisés et pense aussi que les femmes trans cherchent à s’imposer à l’agenda de la mouvance féministe au détriment des autres femmes.

    Pour sa part, madame le maire de Tilloy-lez-Marchiennes adhère au courant des “féministes universalistes et intersectionnels”, classé à l’extrême-gauche, qui revendique la défense des droits de toutes les femmes “genrées” ou non.

    A quand, un nouvel Hercule pour nettoyer les nouvelles écuries d’Augias ? Il y a vraiment urgence !

     

    Source : medias-presse.info

  • Industrialisation de la procréation sans père

    Publié par Guy de Laferrière le 08 mars 2023

    Industrialisation de la procréation sans père

    L’extension de la PMA a donné lieu, fin 2022, à 22 800 demandes de premières consultations de la part de paires de femmes ou de femmes seules, selon des chiffres publiés mercredi 8 mars par l’Agence de la biomédecine.

    Sur la seule année 2022, près de 9 300 demandes ont été enregistrées au premier semestre pour une première consultation en vue d’une AMP avec don de spermatozoïdes, suivies de 5 800 demandes au second semestre.

    Entre août 2021 et fin décembre 2022, près de 11 800 premières consultations ont été effectivement réalisées.

    Depuis l’entrée en vigueur de la loi, près de 2 000 premières tentatives d’AMP ont été réalisées au bénéfice de paires de femmes (47 %) ou de femmes non mariées (53 %). Et au 31 décembre 2022, près de 5 600 personnes étaient en attente d’une AMP avec don de spermatozoïdes.

    Et combien de naissances ? L’Agence de biomédecine ne le précise pas, mais il y a généralement 75% d’échecs, voire plus.

     

    Source : lesalonbeige

  • Dédollarisation : ruée vers l’or des banques centrales, de la Russie, de la Chine

    Publié par Guy de Laferrière le 08 mars 2023

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    Marc Rousset

    Même le FMI, entièrement contrôlé par les Occidentaux et l’Amérique, vient de l’avouer dans un rapport tout récent intitulé : « L’or, une réserve de valeur internationale et non plus une relique barbare » faisant allusion à la célèbre définition par Keynes, à Bretton Woods, en 1944.Tous les États dans le monde stockent massivement l’or : en 2022, les achats de 1132 tonnes d’or par les banques centrales n’ont jamais été aussi élevés depuis 55 ans. Ces achats représentent plus du double des achats de 2021 (450,1 tonnes).

    Selon le Conseil mondial de l’or, le WGC (World Gold Council), les banques centrales restent, début 2023, très intéressées par l’or. La plupart des achats ont été effectués par trois banques centrales, déjà très actives depuis de nombreuses années : la Chine, la Turquie et le Kazakhstan. La Turquie a été le plus grand acheteur d’or en 2022. En janvier 2023, la Turquie a encore acheté 23 tonnes d’or, portant ses réserves totales à 565 tonnes. La Chine, elle, a intensifié de manière agressive ses achats d’or fin 2022, ayant repris ses achats d’or pour la première fois depuis 2019. Elle a encore acheté 15 tonnes en janvier 2023, en plus des 62 tonnes de novembre-décembre 2022, portant ses réserves totales d’or nominales et officielles à 2025 tonnes, alors qu’elles sont dans la réalité infiniment plus élevées et qu’elles dépassent sans doute déjà les réserves d’or américaines de 8100 tonnes d‘or.

    Selon le dernier rapport du WGC « l’incertitude géopolitique et l’inflation élevée sont les principales raisons pour détenir de l’or ». Suite aux achats records des banquiers centraux, la demande globale d’or pour l’ensemble de l’année 2022 s’est établie à 4 740,7 tonnes d’or, en augmentation de 18 % par rapport à 2021. La demande des seuls particuliers européens en pièces et en lingots pour le quatrième trimestre 2022 est en hausse de 14 %, soit 314 tonnes.

    Quand l’heure des comptes et de la banqueroute sonnera pour régler toutes les âneries de nos dirigeants incapables depuis 40 ans, dont entre autres les 2 millions de fonctionnaires en trop, le passage aux 35 heures, l’abaissement de l’âge de la retraite de 65 ans à 60 ans par Mitterrand, l’ invasion migratoire extra-européenne qui continue de plus belle, la fermeture des deux réacteurs nucléaires rénovés de Fessenheim par Marcon, il ne restera plus véritablement pour les beaux yeux des Français que les actifs réels tangibles, c’est-à-dire l’immobilier, les terres, les forêts , les œuvres d’art, les métaux précieux tels que l’or et l’argent. De Gaulle n’hésitait pas à dire  que « celui qui parie sur les monnaies papiers parie contre 6000 ans d’histoire ! ».

    Selon le FMI, le regain d’appétit d’or des banques centrales date en fait de la crise financière de 2008. L’effondrement de Lehman Brothers a provoqué un véritable électrochoc. Wall Street a été touchée au cœur et l’or a retrouvé son rôle de valeur refuge en lieu et place des actions cotées en dollars. L’or ne rapporte rien, mais il n’expose pas son détenteur à un risque de non remboursement ; de plus l’or, comme une entreprise ou un État, ne peut pas faire faillite !

    Quant aux banques centrales des pays émergents exportateurs de pétrole, gaz, matières premières, minerais, métaux, elles sont désireuses de sécuriser leurs énormes excédents commerciaux en dollars. Acheter de l’or leur permet de réduire leur dépendance au dollar et à la puissance impérialiste américaine avec son droit extraterritorial. La décision suicidaire, ahurissante des pays du G7, digne des plus grands gangsters internationaux, de geler les réserves en devises de la banque centrale russe, n’a fait qu’amplifier le mouvement, plus personne n’ayant confiance dans l’euro et le dollar ! Dès l’annexion en 2014 de la Crimée par la Russie, cette dernière avait déjà troqué une partie de ses réserves de de change, libellées en dollars, contre de l’or qu’elle détient en sûreté dans ses coffres à Saint-Pétersbourg.

    Entre 2014 et 2020, la Russie, via sa banque centrale, a été le pays qui a également le plus acheté d’or au monde. En 2008, le stock stagnait autour de 500 tonnes seulement, et depuis cette date, elle a commencé à acheter de l’or, les achats s’accélérant à partir de 2014 (date du coup d’État de Maïdan par la CIA à Kiev ), pour s’arrêter en mars 2020. Selon le Conseil mondial de l’or, ses réserves s’élèvent à 2 361 ,64 tonnes d’or, soit le cinquième volume le plus élevé derrière les États-Unis, l’Allemagne, la France et l’Italie. Ce sont ces réserves en or qui permettent aujourd’hui à Poutine d’avoir des actifs et des moyens de paiement, pour soutenir son effort de guerre, malgré les sanctions des Occidentaux. Les réserves de change totales de la Russie s’élèvent à 630 milliards de dollars, mais toutes ses devises en dollars et en euros sont bloquées dans les banques occidentales.

    La Chine, avec ses créances énormes en milliards de dollars, suite à ses gigantesques excédents commerciaux, adopte une attitude identique à celle de la Russie. Les « 2000 tonnes bidon » officiellement déclarées représenteraient seulement 3 % des réserves monétaires totales du pays, contre 57 % pour la France et 65 % pour les États-Unis. Il y a donc milliers de tonnes d’or cachées en Chine !

    Il se trouve que l’Empire du Milieu est ausi le premier producteur mondial d’or, avec 15 % de l’extraction mondiale. Depuis 20 ans, 6 830 tonnes ont été produites. Et en Chine, l’exportation minière est interdite. De plus, la Chine a acheté de nombreuses mines d’or en Afrique et en Amérique du Sud. Depuis 2000, 700 tonnes d’or sont de plus entrées par Hong Kong. L’armée chinoise dispose de stocks d’or et les particuliers, selon le WGC, détiendraient 2 500 tonnes de lingots, pièces et bijoux en or. On estime donc qu’il y a déjà plus de 30 000 tonnes d’or en Chine, dont la moitié appartiendrait à l’État , soit environ 15 000 tonnes d’or, soit presque le double de la quantité d’or détenue par les États-Unis à Fort Knox.

    L’objectif de la Chine, c’est de dépasser les États-Unis et d’être la puissance dominante dans le monde en 2049. La Chine souhaite donc se dédollariser, c’est-à-dire remplacer le dollar par le yuan, nouvelle référence monétaire mondiale, en vue de l’hégémonie monétaire et commerciale. À terme, la Chine ne pourra garantir la force de sa monnaie qu’avec l’or, redevenu le seul étalon mondial universel. Le dollar non convertible depuis la décision prise par Nixon 1971, avec seulement 8100 tonnes d’or, ne sera plus alors, comme la livre sterling, l’euro et le yen actuellement, qu ’une monnaie de réserve parmi d’autres, avec les mêmes problèmes d’équilibre de la balance des paiements que les autres, la valeur du « greenback » devant alors littéralement s’écrouler ! La Chine va donc continuer sa stratégie d’accumulation d’or, au rythme des fluctuations, et plus particulièrement, des replis du cours de l’or.

    L’hégémonie monétaire américaine est de plus en plus critiquée et de moins en moins redoutée, puisque même le petit Ghana, producteur d’or et de pétrole en Afrique, a osé s’affranchir de la monnaie du monde, en payant son pétrole en or et non pas en dollars. En novembre 2022, le vice-président Mahamudu Bawumia a annoncé que pour enrayer l’effondrement de la devise nationale, le Cedi, son pays envisageait de payer le pétrole qu’il importe, non plus en dollars, mais en or !

    Dans un tel contexte, comment devraient évoluer à l’avenir les cours de l’or ? Les tensions géopolitiques restent très vives et la volonté de nombreux pays de s’affranchir du dollar ne devrait pas faiblir. Certains experts et économistes voient l’once d’or grimper d’au moins 10 % dans les prochains mois pour approcher de nouveau les sommets de mars 2022 à 2000 dollars l’once.

    Dans l’immédiat, à très court terme, les vents qui soufflent sur le marché de l’or sont plutôt défavorables car la menace d’un ralentissement mondial s’est éloignée, d’où la politique monétaire agressive de la Réserve fédérale américaine en matière de taux, et des rendements obligataires qui augmentent. Pour certains économistes, il ne s’agit pourtant pas de savoir si une récession surviendra, mais plutôt de savoir quand ?

    L’investisseur milliardaire John Paulson a récemment souligné le potentiel à long terme de l’or. Il a déclaré que les investisseurs devaient suivre la voie créée par les banques centrales, ces dernières ayant acheté une quantité record en 2022, comme explicitée ci-dessus. Selon Paulson, « Il y a une augmentation significative de la demande des banques centrales pour remplacer leurs dollars par de l’or, et nous ne sommes qu’au début de cette tendance. L’or va monter et le dollar va baisser ; donc vous feriez mieux de garder vos réserves d’investissement en or à ce stade ».

    Quant à l’auteur de « Rich Dad, Poor Dad », Robert Kiyosaki, il a publié un avertissement concernant une récession mondiale imminente, affirmant que c’est le moment d’acheter de l’or et de l’argent : « D’ici 2025, l’or à 5 000 dollars l’once, l’argent à 500 dollars. Pourquoi ? Parce que la foi dans le dollar américain, la fausse monnaie, sera détruite. ».

    La probabilité est donc élevée que l’or atteigne 2000 dollars l’once en 2023 et que l’économie américaine tombe en récession, ce que confirment les perspectives actuelles de Bloomberg Intelligence. Mais il importe de garder présent à l’esprit que, suite à la dédollarisation irréversible en cours, le potentiel d’augmentation et, en fait, de réévaluation de l’or, reste spectaculaire, ne serait-ce que parce que le commerce mondial a besoin de liquidités pour se développer ! N’oublions pas que lorsque Nixon a décrété unilatéralement, en 1971, la non convertibilité du dollar en or, la cotation était de seulement 35 $ l’once !

    L’expert Doug Casey estime que l’once d’or atteindra sans peine les 3 000 $. Et selon Jim Rickards, autre expert incontesté, auteur de plusieurs ouvrages sur l’or et les crises, l’once d’or pourrait même s’envoler jusqu’à 10 000 $ l’once !

    Le jour où l’or cotera à ces prix faramineux, cela signifiera la fin du « roi dollar », la fin de l’arrogance de Wall Street, la fin de l’extra-territorialité du droit américain, la fin de l’OTAN et de l’impérialisme américain !

     

    Source : synthesenationale