Publié par Guy de Laferrière le 11 mars 2023
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Publié par Guy de Laferrière le 11 mars 2023
Publié par Guy de Laferrière le 11 mars 2023
Le 11 mars 1963, Bastien-Thiry est fusillé.
Le lieutenant-colonel Jean Bastien-Thiry, 35 ans, polytechnicien, ingénieur en chef de l’air, issu d’une famille appartenant à la grande bourgeoisie lorraine, est fusillé pour avoir voulu supprimer le président de la République française, le général De Gaulle. L’événement est entré dans l’histoire sous le nom d’attentat du Petit-Clamart.
Livres en famille marque cet anniversaire dans une lettre d’information toute spéciale. BASTIEN-THIRY HOMMAGE
Le matin du 11 mars : apprenant que ses compagnons d’armes avaient été graciés, il eut un soupir profond de soulagement. Puis il s’enquit de son épouse et de ses enfants et demanda à assister à la messe. Simple et pur, seul en face de Dieu il avait alors cessé les combats pour lesquels il avait choisi de donner sa vie …
Lorsque la salve eut déchiré l’aube naissante, son visage restait paisible, doux et généreux.
De toutes parts, des lettres innombrables, des milliers de messages bouleversés, sont venus apporter aux siens le réconfort de sentir leur peine et leur fierté partagées. La presse entière a manifesté l’étonnement douloureux du Pays en face de cette exécution que personne ne croyait possible -si ce n’est le colonel Bastien-Thiry lui-même, qui savait.
“Lui, qui avait choisi la vie simple et droite d’un homme de métier, d’un homme de foyer, a jugé qu’au-delà du métier et du foyer, un autre devoir s’imposait : – celui de se dresser pour défendre ceux que personne ne défend plus, celui de combattre pour sauver le patrimoine moral, l’héritage spirituel de la France ; – celui de tout risquer et de n’être plus l’homme d’un milieu, d’une famille, d’un métier mais un homme de fidélité.”
Ce 11 mars 1963, tombant sous les balles du peloton d’exécution le colonel Bastien-Thiry marquait ainsi de son sang un témoignage que l’histoire gardera.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 11 mars 2023
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Source : synthesenationale
Publié par Guy de Laferrière le 10 mars 2023
Ce vendredi 10 mars, la France et l’Angleterre ont conclu un accord pour mettre un frein à l’immigration illégale lors du sommet franco-britannique à Paris. Une réunion de “retrouvaille, reconnexion, et nouveau départ” a dit le président Emmanuel Macron, où il a beaucoup été question des migrants qui veulent traverser la Manche sur des bateaux de fortune. En 2022, 46.000 migrants ont réussi gagner les côtes anglaises de manière clandestine. Le Royaume-Uni va contribuer à hauteur de 550 millions d’euros, avec 500 agents supplémentaires sur les côtes françaises, un nouveau centre de rétention va être installé dans le Nord Pas-de-Calais.
Lors de cette réunion, le premier ministre Britannique Rishi Sunak a annoncé qu’au cours des trois prochaines années, le Royaume-Unis va contribuer à hauteur de 550 millions d’euros pour la lutte contre l’immigration clandestine. 500 agents supplémentaires vont ainsi patrouiller sur les plages françaises. Des drones et d’autres technologies de surveillance vont être mis en place pour augmenter le taux d’interception. Pour lutter contre la présence de migrants à Calais ou Grande-Synthe, il faut plus de coopération entre la France et l’Angleterre, estime Emmanuel Macron.
Un nouveau centre de rétention administrative va être installé dans le Nord-Pas-de-Calais comme l’a confirmé le ministère de l’Intérieur à France Bleu Nord. Le lieu reste à déterminer. Le président Emmanuel Macron a souligné que les deux pays voulaient “avancer de concert” dans la lutte contre l’immigration irrégulière tout en ayant “conscience des enjeux humains” et de “l’extrême sensibilité de ces sujets”.
France Bleu via fdesouche
Publié par Guy de Laferrière le 10 mars 2023
Auteur de deux agressions à Soissons en quelques jours, un trentenaire au casier judiciaire épais a été envoyé en prison par le tribunal, ce jeudi 9 mars. Deux sursis probatoire ont aussi été révoqués, ce qui porte la peine à trois ans et neuf mois de prison ferme.
Avec 19 condamnations dont deux pour viols (le premier commis en 2003), c’est un prévenu au casier judiciaire particulièrement lourd qui était jugé en comparution immédiate, jeudi 9 mars 2023. Vernon Mounkala était à la barre pour deux séries de faits commis à Soissons. Le 2 mars 2023, il a tenté de fouiller dans le véhicule d’un homme qui faisait des allers-retours entre sa voiture et son domicile. Il s’est montré très agressif envers la victime en lui proférant des menaces de mort. Par des coups de balai, le Soissonnais a réussi à mettre en fuite son agresseur. « Si je voulais le tuer, j’aurais pas pris la fuite », s’est défendu le prévenu. Ce dernier a assuré au tribunal qu’il n’était pas dans son état normal ce jour-là et qu’une personne l’avait sans doute drogué en boîte de nuit avant qu’il ne commette les faits.
À ce premier dossier s’ajoutait un second plus grave et plus récent. Encore à Soissons, un autre homme a été agressé par deux individus qui cherchaient à lui retirer son téléphone portable, mercredi 8 mars vers 16 heures. Essayant tant bien que mal de se défendre, la victime a subi un coup de couteau sur son avant-bras gauche, donné par l’un des assaillants, lesquels ont ensuite pris la fuite sans parvenir à récupérer l’objet qu’ils souhaitaient dérober. Le groupe de sécurité publique de la police soissonnaise a réussi à interpeller peu de temps après l’un des deux individus.
Après avoir décrit la scène aux policiers, la victime a reconnu le profil de Vernon Mounkala sur une planche photographique. Un homme de type nord-africain, cheveux noirs coiffés en tresses, habillé d’un blouson noir et d’un sweat orange.
(…)