Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 39

  • Lyon : un octogénaire meurt renversé par une voiture qui fuyait la police

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2023

    On en sait davantage sur le tragique accident qui a coûté la vie à un piéton âgé de 86 ans vendredi 3 mars au soir dans le 8e  arrondissement de Lyon au niveau de l’hôpital Saint-Jean de Dieu. Ce jour-là, route de Vienne, un peu avant 21 heures, un véhicule de type SUV a fauché l’homme, qui est décédé sur place.

    Selon nos informations, la voiture, une Peugeot 2008, fuyait à vive allure un contrôle de police qui avait débuté sur le boulevard périphérique. Il s’agissait d’un véhicule loué en autopartage. Après avoir percuté le piéton, la voiture a rapidement été retrouvée, mais vide, sur le quartier Moulin à Vent, tout proche de la route de Vienne. Grâce à une surveillance policière très vite mise en place, trois individus ont été interpellés. Deux à proximité du véhicule, le troisième était revenu l’ouvrir. Ils ont été placés en garde à vue.

    Le Progrès via fdesouche

  • “On a éliminé tous ces macaques” : après ses propos «racistes», la dirigeante PS du Rhône Christiane Constant démise de ses fonctions

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2023

    Rhône Parti socialiste : après ses propos «racistes», Christiane Constant démise de ses fonctions

    Sa réélection aura été de courte durée. Christiane Constant, qui avait été plébiscitée jeudi soir pour rester première secrétaire fédérale du parti socialiste du Rhône, vient d’être démise de ses fonctions.

    En effet, elle avait célébré sa victoire en envoyant des propos inappropriés sur WhatsApp. «On va se faire une fête… du tonnerre de zeus» ; «On a éliminé tous ces macaques» (sic), le message envoyé par Christiane Constant avait vite tourné à la polémique.

    Le Parti socialiste n’a pas manqué de réagir, dénonçant «un propos à caractère raciste». «Le combat anti-raciste est au fondement de l’identité du Parti Socialiste qui condamne avec la plus grande fermeté ces propos inacceptables et pénalement répréhensibles», indique-t-il dans un communiqué reçu ce samedi matin.

    Suspendue du parti

    La direction du PS aurait demandé la démission de Christiane Constant, mais n’ayant pas reçu de lettre de démission de sa part, le premier secrétaire Olivier Faure a décidé de la démettre de ses fonctions et de la suspendre du parti.

    «Le premier secrétaire proposera au bureau national, une fois installé par le conseil national du samedi 11 mars, de saisir la Commission nationale des conflits pour lancer une procédure interne de sanction pouvant aller jusqu’à l’exclusion», conclut le communiqué.

    Une nouvelle équipe de direction de la fédération du Rhône devrait être mise en place dans les jours à venir.

    www.leprogres.fr


    Réélue pour un second mandat comme secrétaire départementale du PS du Rhône ce jeudi soir grâce à une cinquantaine de voix d’avance sur la maire de Feyzin Murielle Laurent, elle avait laissé éclaté sa joie dans une boucle WhatsApp regroupant plusieurs de ses soutiens.

    Et ses propos douteux ont fuité : “J’ai dormi 3 heures mais on a gagné. On va se faire une fête… du tonnerre de Zeus. On a éliminé tous ces macaques”. Suivis par des émojis représentant des singes.

    Hélène Geoffroy, la maire de Vaulx-en-Velin

    Quand on sait que Christiane Constant porte la voix d’Olivier Faure à Lyon et qu’elle fait notamment face à Hélène Geoffroy, la maire de Vaulx-en-Velin qui milite pour la sortie de la NUPES, il est légitime de se demander pourquoi utiliser ce terme de “macaque” et à qui elle fait référence.

    (…) Lyon Mag

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2023

    332519182_533421965547171_2746261577267147644_n.jpg

  • « Il n’y a pas de sens de l’Histoire »

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2023

    Pour les 60 ans de l’exécution du colonel Bastien-Thiry, une soirée commémorative était organisée, au prieuré Saint-Irénée à Lyon (FSSPX).

    Après la messe célébrée par M. l’abbé Cyprien du Crest, le chant de la cavalcade résonna dans l’église, unissant les voix de toutes les générations.

    Après avoir écouté M. Louis de Condé déclamer avec émotion un poème en hommage au colonel, madame Hélène Bastien-Thiry donne une conférence retraçant la vie héroïque de son père.


    Quelque 200 personnes, pieds noirs, amis de l’Algérie Française auxquels se mêlaient de très nombreux étudiants étaient présents pour rendre hommage au colonel Bastien-Thiry, défenseur de la civilisation chrétienne et française comme son magnifique testament en témoigne:

     “Il n’y a pas de sens de l’Histoire, il n’y a pas de vent de l’Histoire, car ce qui fait l’Histoire, selon notre conception occidentale et chrétienne, qui est vérifiée par tous les faits historiques, c’est la volonté des hommes, c’est l’intelligence des hommes, ce sont leurs passions bonnes ou mauvaises”.
    (Colonel Bastien-Thiry)
     
    Source : lesalonbeige
  • En temps de guerre, le service national va devenir obligatoire dès janvier 2024

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2023

     

    Tout le monde est suspendu à la décision d’Emmanuel Macron. Le président doit depuis plusieurs semaines détailler la manière dont il compte généraliser le service national universel (SNU). En 2017 déjà, il promettait d’instaurer un « service national obligatoire » pour tous les jeunes Français.

    Un SNU basé sur le volontariat a depuis vu le jour. En 2022, seulement 32 000 adolescents y ont participé, sur les 50 000 attendus. Mais d’ici quelques années, ils pourraient bien être 25 fois plus nombreux. Car le gouvernement envisage sérieusement de rendre le SNU obligatoire pour tous les élèves en classe de seconde et en première année de CAP, soit 800 000 jeunes par an.

    C’est en tout cas ce que laisse entendre un document interne au ministère de l’Éducation nationale révélé il y a quelques jours par Politis. Cette note, datée du 2 décembre 2022, détaille la façon dont pourrait fonctionner ce service national imposé. Il consisterait en un séjour de cohésion de 12 jours, étalé sur plusieurs mois. Il aurait lieu pendant le temps scolaire, et non plus pendant les vacances.

    Téléphone interdit, uniforme requis

    Les jeunes concernés devraient se rendre par leurs propres moyens à l’emplacement du séjour, forcément situé en dehors de leur département ou de leur région. Le lieu et la date d’affectation seraient eux aussi imposés. Au programme sur place : un lever à 6h30 et un coucher à 22h30, ainsi qu’une levée du drapeau et une Marseillaise quotidiennes. Le document de travail prévoit le port d’une tenue « commune » à tous les participants et l’interdiction du téléphone portable en journée.

    Défense, sécurité intérieure, développement durable… Pendant l’ensemble du séjour, les adolescents se verraient dispenser des enseignements par des personnels volontaires de l’Éducation nationale, de l’éducation populaire et des militaires non actifs. Objectif affiché : « renforcer la résilience de la nation », « développer la cohésion sociale » et « promouvoir une culture de l’engagement ».

    Si cette version du SNU est retenue par l’exécutif, les jeunes les plus motivés verront leur permis de conduire ou leur Bafa (brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur) intégralement financé. Seule condition à respecter : suivre le parcours complet du SNU, dont le module permettant l’accès à une réserve en uniforme. Selon le Snes-FSU, premier syndicat des enseignants du second degré, les adolescents n’auraient par ailleurs pas la possibilité d’évoquer l’objection de conscience pour échapper au séjour de cohésion, puisqu’il ne s’agit pas d’un service militaire. Ils pourraient seulement bénéficier d’un report en cas de force majeure.

    La note du ministère de l’Éducation nationale prévoit un déploiement progressif de la nouvelle version du SNU. Si la piste d’un séjour obligatoire est retenue, celui-ci serait mis en place dans six départements pilotes à partir de janvier 2024. D’après le Snes-FSU, il serait d’abord expérimenté dans les Hautes-Alpes, les Vosges, le Cher, le Finistère, la Dordogne et le Var, avant une généralisation à l’ensemble du pays en 2026. Ce qui nécessiterait de présenter un projet de loi au Parlement.

    Le volontariat toujours envisagé

    La gauche est déjà vent debout contre le projet, tout comme les organisations de jeunesse. « Rendre obligatoire un engagement, c’est un oxymore. Ce n’est pas comme ça que fonctionne l’engagement », relève auprès de Politis Samuel Béguin, du Forum français de la jeunesse (FFJ). D’autres pointent le manque d’équipements disponibles pour accueillir 800 000 jeunes chaque année.

    Le Snes-FSU, lui, voit dans cette mesure un moyen d’« affaiblir l’Éducation nationale », avec « un calendrier scolaire désormais soumis aux contraintes du SNU ». Le syndicat critique aussi son coût, estimé à 2 milliards d’euros, alors que les enseignants réclament de longue date plus de moyens. « Plus généralement, [le SNU obligatoire] consacre l’idée que l’école de la République n’est plus le lieu par excellence de la fabrication de la nation », relève le Snes-FSU.

    Devant cette levée de boucliers, l’Élysée et le cabinet de Sarah El Haïry, la secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national universel, ont assuré ce jeudi au Figaro que « rien n’est (encore) décidé ». Si Sarah El Haïry est favorable à l’instauration d’un SNU obligatoire, une autre option est envisagée : le dispositif pourrait rester volontaire, mais devenir plus incitatif grâce au financement du permis de conduire et du Bafa.

    Emmanuel Macron devait initialement trancher et rendre son arbitrage au début de l’année. D’après le cabinet de Sarah El Haïry, il pourrait finalement prendre une décision « avant la fin de l’année scolaire ». On comprend pourquoi le chef de l’État ne se presse pas : le SNU, moqué et critiqué, pourrait pousser la jeunesse dans la rue s’il devenait obligatoire. En pleine mobilisation contre la réforme des retraites, le président fait donc profil bas.

     

    Source RLorrain  via lesmoutonsrebelles