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  • Comme les satanistes, des groupes juifs revendiquent l’avortement comme une « liberté religieuse »

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    Etats-Unis – Nous vous avions signalé que la secte Le Temple Satanique avait revendiqué le droit à l’avortement au nom de la liberté religieuse, affirmant que l’avortement est l’un des rituels sataniques.

    Un lecteur nous a signalé qu’une synagogue du sud de la Floride avait, sur les mêmes fondements, intenté une action en justice l’année dernière contre l’interdiction de l’avortement après 15 semaines de grossesse en vigueur dans l’Etat de Floride, arguant qu’elle viole la « liberté religieuse » des Juifs.

    La congrégation L’Dor Va-Dor de Boynton Beach avait déposé plainte le 10 juin 2022, affirmant que la loi juive exige parfois un avortement, et donc que la nouvelle loi empêche les Juifs de pratiquer leur religion.

    La plainte affirmait également que la loi de Floride « menace le peuple juif en imposant les lois des autres religions aux Juifs » !

    En 2022, plus de 140 organisations juives, dont l’Anti-Defamation League, ont parrainé ce qu’elles ont appelé un « Rassemblement juif pour la justice de l’avortement » soutenant la plainte de L’Dor Va-Dor, déclarant que « l’accès à l’avortement est une valeur juive » et que « l’interdiction des avortements est une question de liberté religieuse ».

    Alors que 83% des Juifs américains croient que le meurtre d’enfants à naître devrait être légal dans tous ou la plupart des cas, ce n’est certainement pas le cas pour tous. En réponse aux affirmations du rassemblement juif, le rabbin orthodoxe Yehuda Levin a dénoncé le mouvement, le qualifiant de « blasphématoire », « malhonnête », « totalement fourbe » et « totalement faux ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Des Drag Queens racontent aux enfants de l’île de Man qu’il existe 73 genres !

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    Les enfants de l’île de Man, dépendante de la Couronne britannique, ont fait l’objet d’un plan éducatif aberrant. Drag Queens assurant qu’il y a 73 genres au lieu de deux, cours d’éducation sexuelle pour apprendre aux enfants à se masturber, utiliser des préservatifs et avoir des pratiques sexuelles déviantes, promotion de la transsexualité, etc. Certains parents ont finalement décidé de s’opposer à des activités pouvant être considérées comme de la corruption de mineurs.

    Pour une fois, les parents en ont eu marre et ont protesté. En conséquence, “l’éducation sexuelle a été suspendue dans les écoles de l’île de Man à la suite de protestations parentales concernant des cours inappropriés”.

    Si vous aviez soutenu il y a dix ans que les écoles inviteraient des drag queens pour enseigner aux enfants qu’il y a 73 genres, vous auriez été traité de fou. Cependant, c’est exactement ce qui s’est passé sur l’île de Man.

    Selon le Times, ces garçons de 11 et 12 ans “ont également vu comment une greffe de peau pouvait être prélevée sur le bras d’une fille pour créer un pénis artificiel”. Des parents ont expliqué que leurs enfants, en première année de lycée, “ont été traumatisés par l’enseignement du sexe anal et oral et de la masturbation”. C’est une attaque absolue contre la dignité, l’humanité et l’innocence des enfants.

    Eliza Cox a déclaré au Times que les problèmes ont commencé lorsque l’île a adopté en septembre dernier un nouveau modèle basé sur le programme écossais d’éducation sexuelle.

    Cox a été contacté par des familles qu’elle connaissait depuis des années et dont les enfants venaient de commencer les cours à l’école secondaire Queen Elizabeth II à Peel. L’une d’elles a signalé que leur fille était contrariée de devoir mettre un préservatif sur un pénis artificiel entourée d’un groupe de garçons. Une autre famille a déclaré que leur fils avait refusé de parler de ce qui s’était passé à l’école parce qu’il était tellement bouleversé.

    Un troisième enfant “qui a dit à la drag queen qu’il y avait deux sexes, pas 73, s’est fait répondre qu’il avait blessé les sentiments de l’orateur et qu’il devait quitter la pièce”.

    Il n’est pas nécessaire d’être catholique ou même chrétien pour s’opposer à ce genre de choses. La plupart des parents qui ont protesté ne l’étaient pas. Il suffit d’être un être humain décent pour savoir que c’est mal.

    Ces enfants ont également été encouragés à une activité sexuelle précoce, et il a été rapporté qu’un enseignant “devait apprendre à un groupe de garçons et de filles de 7e et 8e années à se masturber”.

     

    Source : medias-presse.info

  • Églises détruites, vandalisées ou laissées à l’abandon : la France tourne le dos à son passé

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    Chaque année, une poignée d’églises, laissées à l’abandon, doivent être détruites. Mais d’ici 2030, 2.500 à 5.000 églises seront menacées d’être démolies ou vendues.

    « La grue s’approche lentement de l’église. En quelques minutes, dans un silence assourdissant, le clocher du Genest-Saint-Isle (Mayenne) est désolidarisé de la structure. Pierre après pierre, l’église Saint-Sulpice, bâtie au XIXe siècle, se retrouve réduite en gravats. Désormais, les cloches ne sonneront plus dans ce petit village de Mayenne… Non loin de là, à La Baconnière, une autre église pourrait bientôt connaitre le même triste sort.

     

    Des églises laissées à l’abandon

    « À chaque fois qu’une église s’efface, c’est un fragment d’âme de la France qui s’évanouit. » Dans une indifférence médiatique totale, la lettre ouverte d’une centaine de parlementaires de droite résonne comme un avertissement. Alors qu’au Moyen Âge, les bâtisseurs détruisaient les édifices religieux pour en construire de plus beaux et de plus grands, désormais, en France, des églises sont démolies pour ne jamais être remplacées… Petit à petit, influencés par la cancel culture, certains élus, souvent encouragés par des associations et collectifs, laissent s’effacer toute trace de notre passé chrétien qu’ils ignorent ou honnissent tant.

    À 700 kilomètres de la Mayenne, Notre-Dame de Fourvière, qui surplombe et protège la ville de Lyon, ne résiste plus aux attaques du temps. Les tours de la basilique, consacrée en 1896, sont de plus en plus exposées. Des infiltrations et des fissures menacent la structure et nécessitent d’importants travaux d’urgence, rapporte Le Parisien. La fondation privée en charge de l’édifice recherche plus de 8 millions d’euros pour mener à terme ce chantier, dont 5 millions seulement pour la partie patrimoine. Quelques mécènes ont d’ores et déjà annoncé leur participation à la collecte de fonds. En revanche, la ville de Lyon, dirigée par l’écologiste Grégory Doucet, a fait savoir qu’elle ne débourserait pas un centime, considérant avoir déjà assez investi dans cet édifice. Ainsi, plutôt que de participer à la sauvegarde du premier site touristique de la métropole et de l’emblème de la ville des Lumières, la majorité écologiste semble préférer attribuer des subventions à des associations pro-migrants (SOS Méditerranée, notamment).

    L’indifférence contre les actes antichrétiens

    Quand elles ne sont pas laissées à l’abandon par des élus peu soucieux de défendre l’identité de la France, de (trop) nombreuses églises sont vandalisées ou profanées. Église fracturée et dégradée à Paris, ce 26 février, statue décapitée dans une église d’Orly, dix jours plus tôt, départs de feu dans une église des Yvelines, cocktail Molotov lancé contre le porche d’une église parisienne en janvier… Depuis le début de l’année 2023, la presse recense (de façon non exhaustive) déjà plus d’une dizaine d’actes de vandalisme contre des édifices religieux chrétiens. Au mieux, ces profanations remplissent la rubrique des simples « faits divers ». Mais, la plupart du temps, elles sont passées sous silence. À l’inverse, toute attaque contre une mosquée ou une synagogue déclenche – légitimement – une vague d’indignations et de réactions.

    Chaque année, une poignée d’églises, laissées à l’abandon, doivent être détruites. Mais d’ici 2030, 2.500 à 5.000 églises seront menacées d’être démolies ou vendues. Et alors, que restera-t-il du « blanc manteau d’église » qui couvrait la France jusqu’à l’aube du XXIe siècle ? Avant que des églises, vestiges cultuels et culturels de notre pays, ne deviennent des mosquées, comme ce fut le cas à Graulhet (Tarn), il n’y a qu’un pas. Sera-t-il bientôt franchi ? Seule une mobilisation des Français, et des catholiques en première ligne, pourrait inverser la tendance. »

    de Clémence de Longraye
    sur BVoltaire

  • Les Ulis (91) : une interpellation sur un point de deal dégénère, 6 policiers blessés ; ils ont été lynchés par une dizaine de jeunes

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

    Des policiers de la brigade anticriminalité des Ulis ont tenté d’intervenir lors d’une transaction de drogue à la résidence Chanteraine ce mardi midi. Un affrontement a eu lieu avec une dizaine de jeunes de la cité. Deux ont été interpellés.

    À la cité Chanteraine des Ulis (Essonne), ce mardi, les policiers ont eu droit à un comité d’accueil particulier. Selon une source policière, alors qu’ils intervenaient sur une transaction de stupéfiants, vers midi, six agents ont été blessés par un groupe d’une dizaine de personnes. Les blessures des policiers s’étendent de six à douze jours d’interruption totale de travail (ITT).

    Deux jeunes ont été placés en garde à vue et sont déférés ce soir au tribunal judiciaire d’Évry-Courcouronnes. L’un, pour trafic de stupéfiants et l’autre, pour rébellion et violences sur personne dépositaire de l’autorité publique, indique une source proche de l’enquête.

    (…) Un groupe de jeunes vient au contact des policiers pour empêcher l’interpellation. Un affrontement physique s’engage au cours duquel les policiers reçoivent des coups de pied et de poing. Un agent tire une fois au lanceur de balles de défense pour se dégager. (…)

    Le Parisien via fdesouche

  • Nantes : 5 ans de prison pour trois faux policiers au lourd casier judiciaire qui volaient des personnes âgées

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

    Le tribunal correctionnel de Nantes a condamné mercredi 1er mars au soir à cinq ans de prison trois hommes, issus de la communauté des gens du voyage, qui se déguisaient en policiers pour tromper leurs victimes, le plus souvent des personnes âgées. Les trois prévenus, un père de 55 ans, son fils de 31 ans et un troisième homme de 34 ans, marié à la nièce du premier, ont été reconnus coupables de vols aggravés et de transport d’arme. Les voleurs, munis d’une fausse carte professionnelle de police, d’un brassard ou d’une casquette se présentaient au domicile de leurs victimes en faisant croire qu’ils voulaient prévenir des cambriolages. Les trois accusés affichaient respectivement 19, 9 et 20 condamnations sur leur casier judiciaire.

    Ces vols ont été commis entre juillet et octobre 2022 dans diverses communes de Loire-Atlantique (La Baule, Pornichet, Vertou, Saint-Herblain, etc.) et du Maine-et-Loire, principalement au préjudice de personnes âgées. Le mode opératoire était toujours le même: les voleurs, munis d’une fausse carte professionnelle de police, d’un brassard ou d’une casquette se présentaient au domicile de leurs victimes en faisant croire qu’ils voulaient prévenir des cambriolages. Ils s’emparaient ensuite de leurs biens (bijoux, argent liquide, fusil…) par ruse mais aussi parfois par la force.

    Tout au long de l’audience, les trois accusés, issus de la communauté des gens du voyage et en détention provisoire depuis le fin novembre 2022, ont fermement nié les faits. Leurs avocats ont pointé les «nombreuses incohérences» de l’enquête et plaidé la relaxe pour la plupart des faits reprochés. «On a voulu faire un dossier d’envergure d’une enquête qui ne concerne qu’un petit nombre de faits», a affirmé à l’AFP Me Gwendoline Tenier, avocate du père et du fils, se disant «extrêmement choquée par la sévérité des réquisitions».

    Le ministère public avait requis des peines de 8 à 10 ans de prison contre les trois auteurs, dénonçant leur caractère «dangereux» en raison de leur ancrage «ancien» dans la délinquance et «sans aucun égard pour les personnes les plus vulnérables de notre société».

    L’une des victimes, une femme âgée de 83 ans, assistait à l’audience. En août 2022, les faux policiers lui avaient arraché du doigt une bague en diamant, l’avaient aspergée d’eau de Cologne et lui avaient dérobé un collier en or. «C’était un choc mais j’ai beaucoup de tristesse pour les personnes dans ce box, dont certaines ne savent ni lire ni écrire. Pourquoi tant de différence entre leur vie et la mienne?», a-t-elle déclaré à l’AFP.

    Le Figaro via fdesouche