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  • Femmes trans ? CQFD

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2023

    « Placez cent femmes et dix hommes sur une île abandonnée et dans cent ans vous aurez une société d’hommes, de femmes, de filles et de garçons. Mettez cent femmes trans et une dizaine d’hommes sur une île déserte et dans cent ans vous trouverez les squelettes de cent dix hommes. C’est scientifique.
    Mentir n’aide pas votre santé mentale.”

    — Enzo Maccarinelli, boxeur britannique d’origine italienne, 42 ans

     

    Source : medias-presse.info

  • Des députés espagnols reçoivent des sacs contenant des répliques de fœtus humains avortés

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2023

    Espagne – Plusieurs députés ont dénoncé hier avoir chacun reçu un sachet contenant la répliques d’un fœtus humain ensanglanté de douze semaines. Cela leur a été expédié au cours de la semaine dernière dans le cadre d’une campagne contre l’approbation récente de la loi sur l’avortement.

    Cela a été confirmé par les groupes parlementaires du PSOE, Unidas Podemos et EH Bildu, trois des partis politiques qui ont voté en faveur de la nouvelle loi sur l’avortement à la Chambre basse le 16 décembre.

    Les envois, selon ces sources, sont accompagnés d’une lettre d’Ignacio Arsuaga, président des associations Derecho a Vivir et Hazte Oír, critiquant l’approbation de cette réforme. L’auteur de la lettre assure également que la nouvelle loi sur l’avortement promue par le ministère de l’Égalité est “plus atroce” que celle approuvée par le gouvernement socialiste de José Luis Rodríguez Zapatero et accuse les députés auxquels d’avoir permis “l’élimination d’êtres humains dans une intervention chirurgicale d’une violence et d’une cruauté extrêmes”.

    La lettre dénonce également le fait que le texte approuvé par le Congrès et entré en vigueur cette semaine encourage “le ciblage de ces médecins et agents de santé qui veulent s’opposer consciencieusement à l’élimination de vies humaines, par la création de listes noires”.

    La porte-parole du droit de vivre, Inmaculada Fernández, a reconnu que l’action est “très macabre” mais la justifie car “l’avortement est cruel, violent et sanglant puisqu’il consiste à démembrer, sucer un bébé dans le ventre maternel. C’est très macabre, mais c’est ce qu’ils ont approuvé ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Thierry Solère, multi-mis en examen et toujours conseiller officieux d’Emmanuel Macron à l’Elysée

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2023

    Même le journal Le Monde s’étonne qu’un tel personnage puisse conserver une place de choix dans l’ombre d’Emmanuel Macron.

    Le franc-maçon Thierry Solère est le politique le plus mis en examen de France, poursuivi pour 13 infractions.

    Il incarne la face cachée du macronisme : une propension à narguer la justice et à mélanger business et politique.
    Le conseiller d’Emmanuel Macron est poursuivi pour trafic d’influence, recel d’abus de biens sociaux, recel d’abus de confiance, financement illicite de campagne, détournement de fonds publics, manquement aux obligations de déclaration à la HATVP, fraude fiscale…

    La juge Anne de Pingon s’intéresse particulièrement à la société Aliapur, un éco-organisme spécialisé dans la collecte et le recyclage des pneus usagés en France et qui a grassement rémunéré M. Solère comme consultant pendant 10 ans : “près de 2 millions d’€”.

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Etat va ouvrir dix « sas » d’accueil de migrants dans dix régions pour désengorger l’Ile-de-France

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    Selon le quotidien 20 minutes, l’Etat va ouvrir dix sas dans dix régions françaises, qui recevront des migrants et migrantes issues de campements parisiens essentiellement. L’idée est de désengorger la capitale, dans une logique d’égalité territoriale, mais les associations s’inquiètent des effets de ce système, qui pourrait permettre selon elles de renvoyer dans leurs pays plus discrètement des migrants qui n’ont pas le droit de séjourner en France.

    Enfin, les associations dénoncent les conditions des « mises à l’abri » ou démantèlements aujourd’hui effectués, les personnes concernées n’étant pas informées des conditions d’accueil qui les attendent, alors qu’elles perdent tout droit à l’hébergement si elles refusent ce qui leur est proposé.

    Principe de justice territoriale ou volonté de « nettoyer » la capitale avant les JO ? […]

    « Ils ouvrent dix sas qui recevront 50 migrants venant des camps toutes les trois semaines », nous indique aussi Philippe Crémer, conseiller municipal délégué à l’accueil des sans-abri et l’accompagnement des migrants de la ville de Besançon. La capitale bisontine est en effet l’une des premières à ouvrir le bal. La région est la seule pour laquelle un avis d’appel à projets a été publié, pour une structure « d’une capacité de 50 places ». On y apprend que le plan du gouvernement prévoit d’accueillir « jusqu’à 600 personnes par mois ».

    Sollicitée par 20 Minutes, la direction générale des étrangers nous explique : « Des opérations de mise à l’abri sont régulièrement mises en œuvre, à l’initiative de la préfecture de région Ile-de-France, au bénéfice des personnes se situant dans des campements ou des hébergements précaires à Paris et en Ile-de-France. La création de ”sas” d’accueil et orientation en région actuellement envisagée vise à consolider le cadre de ces opérations de mise à l’abri et à permettre l’examen de la situation administrative des personnes qui en bénéficient ». Il s’agit de toutes les préfectures de région de France métropolitaine, hormis l’île de France, les Hauts de France et la Corse, ajoute la direction générale des Etrangers.

    La nouveauté de ce dispositif réside, selon la Cimade, dans ce que seront pris en charge non seulement des demandeurs d’asile et réfugiés, comme dans les centres d’accueil et d’examen de la situation (CAES) classiques, mais aussi des sans papiers, des personnes déjà déboutées, bref, toute personne acceptant de monter dans les bus mis à disposition par la préfecture de région et faisant l’objet d’une opération de « mise à l’abri » ou d’un démantèlement de campement, comme ce qui s’est produit le 27 octobre dernier porte de la Chapelle. « D’habitude, les personnes ont déjà été enregistrées comme demandeuses d’asile et sont orientées par l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration (Ofii). Là, l’orientation précède l’examen de situation administrative », explique Gérard Sadik, responsable des questions asile à la Cimade.

    A l’approche des Jeux olympiques, les dispositifs d’hébergement sont saturés. De nombreux hôtels qui accueillent des migrants ont décidé de se refaire une beauté avant l’arrivée du flot de touristes, et la préfecture peine à trouver des places d’hébergement. Sans parler du fait que Paris et l’Ile-de-France reçoivent déjà bien plus de migrants que le reste de la France. La volonté de répartir dans d’autres régions cette charge apparaît donc comme justifiée aux associations que nous avons contactées, mais celles-ci s’inquiètent de la façon dont ce dispositif est mis en œuvre, notamment pour les personnes qui ont déjà été déboutées du droit d’asile: « Nous craignons que ces orientations en région soient aussi faites pour remplir les centres de rétention administrative (qui retiennent les étrangers qui n’ont pas le droit de séjourner en France). Si l’objectif c’est de renvoyer derrière, c’est dégueulasse », explique Yann Manzi, cofondateur d’Utopia 56. « Qu’est-ce qui va se passer pour ces gens ? » s’interroge aussi Gérard Sadik.

    20 minutes via fdesouche

  • Montpellier : le nouveau phénomène des MNA, les majeurs non accompagnés ; des Marocains et des Algériens expulsés d’Espagne et à la recherche de larcins

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    Depuis ces dernières semaines, un nouveau phénomène est observé à Montpellier, celui des MNA, non pas mineurs, mais des majeurs non accompagnés, des Marocains et des Algériens expulsés d’Espagne.

    MNA : le sigle est identique, mais cette fois, il ne vise pas les mineurs non accompagnés. Le M fait référence à majeurs, en l’occurrence de jeunes adultes connus de la justice dans leur pays, au Maroc. Âgés de 18 à la trentaine d’années, ils fuient l’Algérie et le Maroc pour gagner l’Espagne, en traversant le détroit de Gibraltar depuis le port de Tanger ou depuis l’enclave de Ceuta, où, SDF, ils errent dans les rues des grandes agglomérations, notamment à Barcelone et Gérone, à la recherche de larcins, parfois violents.

    Il existerait une filière organisée pour permettre à ces jeunes sans emploi, commettant des délits et rompant leurs liens familiaux de s’enfuir. Mais en Espagne, à la première interpellation après un méfait, ces SDF marocains et algériens sont traduits illico en justice pénale et administrative et expulsés après un court délai en prison.

    « Comme ils redoutent de retourner dans leur pays, eh bien ils arrivent en France, par les frontières du Perthus, d’Andorre ou par des chemins de montagne et ils se retrouvent à la rue, à Montpellier, mais grâce à un bouche à oreille assurant qu’il existe des SDF étrangers en situation irrégulière susceptibles de les accueillir, notamment dans des squats, ils s’installent et vivent de rapines. C’est ainsi que depuis le début de l’année, nous avons des majeurs non accompagnés, une majorité d’Algériens, qui ont été interpellés pour des vols divers par ruse ou à la tire, des agressions pour dérober téléphones et cartes bancaires pour revendre aussitôt ces biens au marché sauvage de Plan Cabanes ou de la Mosson-la Paillade », révèle à Métropolitain une source de la Police aux frontières, la Paf.

    (…)

    Métropolitain via fdesouche