Publié par Guy de Laferrière le 03 septembre 2023
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C’était un 3 septembre… 1792 : l’atroce assassinat maçonnique de la princesse de Lamballe
Publié par Guy de Laferrière le 03 septembre 2023
[Un texte tiré de la revue L’Héritage]
Parlant des Francs-Maçons et de leurs forfaits, dans son admirable encyclique Humanum Genus, le Pape Léon XIII a écrit ces lignes : « Il n’est pas rare que la peine du dernier supplice soit infligée à ceux d’entre eux qui sont convaincus, soit d’avoir livré la discipline secrète de la Société, soit d’avoir résisté aux ordres des chefs ; et cela se pratique avec une telle dextérité que, la plupart du temps, l’exécuteur de ces sentences de mort échappe à la justice établie pour veiller sur les crimes et pour en tirer vengeance. »
Rien n’est plus vrai, en effet.
La Franc-Maçonnerie profite de toutes les circonstances pour frapper ceux dont elle a décidé la mort.
Quand ses victimes sont des personnages en vue, elle prend, d’ordinaire, ses mesures pour que l’assassinat soit mis sur le compte des passions politiques ; ainsi elle opéra surtout pendant la Révolution. Par exemple, il est certain que plusieurs meurtres essentiellement maçonniques furent commis à Paris, à la faveur des horribles massacres de septembre.
Citons le cas de la princesse de Lamballe.
Cette infortunée princesse, qui fut – personne ne l’ignore – l’amie dévouée de la reine Marie-Antoinette, avait eu la faiblesse, en 1777, de se laisser affilier à la Franc-Maçonnerie, dont elle ne soupçonnait pas les tendances.
Le but de la secte était, à cette époque, d’accaparer quelques personnes de la Cour, surtout celles admises dans l’intimité des souverains. La princesse aimait les fêtes ; on la prit par son faible.Elle fut initiée par la Loge La Candeur, de Paris.
En 1781, elle fut élue Grande Maîtresse de la Mère Loge Ecossaise d’Adoption, c’est-à-dire qu’elle fut mise à la tête des Loges de Dames. Le jour de son installation, la « Sérénissime Sœur de Lamballe », le maillet en main, put entendre le Frère Robineau lui chanter, au nom du rite, des couplets fort galants :
« Amour, ne cherche plus ta mère/Aux champs de Gnide ou de Paphos/Vénus abandonne Cythère/Pour présider à nos travaux. Etc… »D’un esprit très léger, elle ne comprit pas ce qui se tramait dans les Loges et n’ouvrit les yeux que lorsque la Révolution eut éclaté.
Mais alors elle fit son devoir sans aucune défaillance. Elle s’efforça de réparer le mal dont elle avait été la complice inconsciente. En novembre 1791, elle prit l’initiative de la surveillance qu’il était nécessaire d’exercer sur tous les foyers de conspiration. La secte jura de lui faire payer de sa vie son loyal retour au bien.Au 10 août 1792, la princesse de Lamballe suivit, avec le plus grand courage, la famille royale à l’Assemblée, puis au Temple. Dans la nuit du 19 au 20 août, elle fut transférée à la Force.
Son sacrifice était héroïque ; elle savait, la malheureuse, quel sort l’attendait. On en a la preuve.
En effet, c’est après la fuite de Varennes (juin 1791) que la princesse avait eu les preuves du rôle joué par la secte. Chargée d’une mission en Angleterre, elle avait constaté, avec douleur, l’influence que les Loges exerçaient sur Pitt, le conseiller du roi Georges ; celui-ci avait refusé son intervention, Pitt avait été jusqu’à dire que Louis XVI n’avait que ce qu’il méritait. Après un court séjour en Angleterre, la princesse était passée à Aix-la-Chapelle ; c’est à ce moment qu’elle avait brisé les liens maçonniques. Elle avait rompu avec la secte, et, circonstance significative, fait aussitôt son testament ; ce document, qui a été publié, est daté du 15 octobre 1791. Puis, elle était rentrée en France, pour lier son sort à celui de la famille royale.
Le 3 septembre 1792, à la Force, elle comparut devant le tribunal de sang, présidé par le franc-maçon Hébert. Sa vaillante attitude a été immortalisée par Peltier et Bertrand de Molleville. Conduite dans la rue du Roi-de-Sicile, elle fut égorgée par les massacreurs. Un de ces misérables voulut lui enlever son bonnet avec la pointe d’un sabre et la blessa au front ; un autre la renversa d’un coup de bûche ; elle fut achevée à coups de sabre et de pique. Son corps fut mutilé, telle était la rage de ces scélérats ; on lui arracha le cœur ; on coupa sa tête, qui fut promenée, au bout d’une pique, jusque sous les fenêtres du Temple.
Plus tard, en 1796, ses assassins furent jugés. L’un des principaux, Nicolas Le Grand, franc-maçon, fut condamné à vingt ans de fers ; un autre, nommé Charlat, également franc-maçon, s’était engagé pour aller combattre les Vendéens, mais il fut tué par ses camarades, à qui il faisait horreur à raison de sa participation au crime.
Hiram
Source : contre-info
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La popularité du président tunisien, Kais Saied, a doublé après qu’il a parlé du Grand Remplacement
Publié par Guy de Laferrière le 02 septembre 2023
Le discours du président était une pure invention. Il n’y a pas de complot pour changer la démographie de la Tunisie. Les Africains noirs ne représentent qu’une infime partie de la population et ne sont pour la plupart que de passage. S’ils s’attardent, c’est tout simplement parce qu’ils économisent en vue de la périlleuse traversée de la Méditerranée.
Avant le discours, M. Saied était impopulaire, en raison d’une économie désastreuse. Après le discours, il semble avoir gagné plus de soutien. Les sondages ne sont pas fiables, mais l’un d’entre eux, réalisé en novembre, lui accordait moins de 30 % de soutien ; un autre, réalisé en juin, indiquait que 69 % des sondés voteraient pour lui.
En promettant de protéger les Tunisiens d’une menace fantôme, il les a ralliés à sa cause. Il a également détourné la responsabilité des maux du pays. Les économistes pensent que l’inflation en Tunisie est en grande partie due au gouvernement, mais Mustafa, de Sfax, accuse les Noirs qui, selon lui, font monter les prix en mangeant tout le pain. Il prévoit de voter pour M. Saied lors des prochaines élections.
L’incitation à la haine du président a également détourné l’attention d’autres actions controversées qu’il a entreprises, telles que le musellement de la presse, la purge du système judiciaire et la fermeture de l’organisme national de surveillance de la corruption. Il a démantelé les mécanismes de contrôle et d’équilibre qui favorisent une bonne gouvernance, avec des résultats prévisibles. La Tunisie est devenue plus craintive, moins libre et plus corrompue. Son score à l’indice de perception de la corruption (IPC) établi par Transparency International, un organisme de surveillance, s’est considérablement dégradé depuis 2021, date à laquelle M. Saied a commencé à démanteler sa jeune démocratie pleine d’espoir.
La Tunisie reflète une tendance mondiale : de plus en plus de dirigeants utilisent le nationalisme comme un outil pour accumuler du pouvoir – et pour en abuser. Alors que le nationalisme était autrefois un moyen de démanteler des empires coloniaux déplorables, il devient de plus en plus un moyen de supprimer les contraintes légitimes qui pèsent sur le pouvoir gouvernemental. Les dirigeants qui s’irritent des contre-pouvoirs ont besoin d’un prétexte pour les supprimer. Ils ne peuvent pas admettre qu’ils veulent museler la presse et purger les tribunaux parce qu’ils trouvent ennuyeux de suivre les règles et préfèrent gouverner sans entraves. Ils accusent donc les journalistes et les juges d’être des traîtres ou des agents de puissances étrangères.
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Remigration prioritaire pour toute cette racaille ! Rendons au Mali ses forces vives !
Publié par Guy de Laferrière le 02 septembre 2023
Thomas Joly
La justice a prononcé un non-lieu en faveur des trois gendarmes impliqués dans l'affaire du délinquant Adama Traoré, mort en juillet 2016 à la suite de son interpellation par des gendarmes à Beaumont-sur-Oise, dans le Val-d'Oise, selon une ordonnance des juges d'instruction.Ça fait donc 7 ans que la smala Traoré excite les banlieues afro-maghrébines contre les forces de l'ordre et la France en général pour que, finalement, la justice admette au bout du compte que ces mythomanes ont raconté n'importe quoi depuis le début.Remigration prioritaire pour toute cette racaille ! Rendons au Mali ses forces vives ! -
L'uranium français
Publié par Guy de Laferrière le 02 septembre 2023
(Dans Réalité actuelle) Bernard Lugan aborde l’interdiction d’exploiter de l’uranium sur le sol français à cause des écologistes :
"N'oublions pas que nous pourrions être autonome sur l'uranium. Le pays possédait 210 mines mais les choix politiques ont mené à l’interdiction de l’exploitation"
Et, surtout, si les escrolos et leurs alliés politicards socialos n'avaient pas saboté Super Phénix et Astrid, la France saurait re-traiter les déchets nucléaires (les MOX...), produisant finalement plus de matière qu'elle n'en consomme...
Source : lafautearousseau