Publié par Guy de Laferrière le 21 octobre 2024
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Publié par Guy de Laferrière le 21 octobre 2024
Publié par Guy de Laferrière le 21 octobre 2024
L'affaire de la cathédrale de Strasbourg... Lorsque les églises ou les cathédrales ne brûlent pas, dans cette république anti-chrétienne, anti-Racines, anti France...., la mairie escrologiste de Strasbourg fait le choix d’invisibiliser la cathédrale datant du XIIème siècle, dès 23 heures. "C'est d'une tristesse sans nom…" disent les habitants. Et cela, soi-disant, pour... faire des économies dérisoires (4,80 euros par jour !) et montrer l'exemple !
Dans le JDD :
Publié par Guy de Laferrière le 21 octobre 2024
Depuis deux ans, l’influenceuse néerlandaise Eva Vlaardingerbroek intervient à la grande réunion conservatrice CPAC (Conservative Political Action Committee) qui se tient chaque printemps, pour l’Europe, à Budapest, avec une importance croissante : en 2023, elle n’était qu’une intervenante parmi d’autres dans un panel sur la liberté d’expression, mais en 2024, elle avait son propre slot et son discours alarmiste sur le Grand Remplacement et la transformation civilisationnelle de l’Europe occidentale avait atteint le nombre énorme de 45 millions de vues sur X, deux jours après le CPAC, et près de 60 millions aujourd’hui.
Son style offensif la conduit à ne pas y aller de main morte : « Je dis la vérité interdite : le Grand Remplacement n'est plus une théorie, c'est la réalité. Les Européens blancs sont remplacés dans leur propre pays à un rythme de plus en plus rapide, et cela signifiera la fin de notre civilisation si nous ne renversons pas les choses. » Tandis qu’il faut rejeter totalement le mensonge selon lequel « c’est le nationalisme qui cause la guerre ; ce ne sont ni le nationalisme ni la souveraineté nationale qui causent la guerre, c’est l’expansionnisme, et le lieu de cet expansionnisme est Bruxelles ».
Elle se définit elle-même comme activiste et commentatrice politique. Nous avons donc demandé à ChatGPT qui elle était et la réponse donnée est le suivante : « Eva Vlaardingerbroek est une commentatrice politique et activiste néerlandaise. Née le 3 septembre 1996 à Amsterdam, elle s'est imposée comme une figure marquante dans les cercles conservateurs. Connue pour ses positions tranchées sur des sujets controversés comme l'immigration de masse, la souveraineté nationale et l'Union européenne, elle ne laisse personne indifférent. Ancienne membre du Forum pour la démocratie (FvD), elle a quitté ce parti en 2020. Elle a su bâtir une large audience en ligne et participe régulièrement à des débats et discussions sur des questions politiques et sociales. »
Nous savons, par ailleurs, qu’elle a fait des études juridiques. Nous constatons qu’elle a, comme tout Néerlandais qui se respecte, une aisance totale en anglais et une très bonne maîtrise du français. Elle s’est, en outre, récemment convertie au catholicisme et voit dans la défense de ses positions de droite tout simplement le combat du bien contre le mal, considérant que ses positions ne sont pas dures mais nécessaires face à l’accélération du glissement vers la gauche de l’ensemble du spectre politique traditionnel aux Pays-Bas et dans tout l’Occident.
Quels sont donc les dossiers qui l’on fait connaître ? Le premier est la « crise des nitrates », qui a fait suite à la décision du gouvernement Rutte, confronté aux injonctions et procès d’activistes écologistes, de demander aux fermiers hollandais, pour beaucoup éleveurs, de réduire drastiquement leurs rejets de nitrates. Cette crise a conduit à la création d’un nouveau parti politique et a donné énormément de visibilité à Eva Vlaardingerbroek, qui s’oppose également fermement aux vagues migratoires et au fédéralisme rampant de Bruxelles.
Il n’est pas très facile de trouver des points de comparaison, en France. Elle n’a jamais fait de politique électorale, donc la comparaison avec Marine Le Pen, Marion Maréchal ou même Éric Zemmour ne tient pas. Son profil métapolitique la rapproche davantage de personnalités comme Mathieu Bock-Côté ou Laurent Obertone. En définitive, la dimension activiste la rapproche beaucoup plus de l’Américain Christopher Rufo, qui a fait l’objet d’une chronique sur Boulevard Voltaire. Mais son exposition internationale (elle a été reçue par Tucker Carlson) la fait battre nettement tout le monde sur les réseaux sociaux : elle a ainsi 970.000 followers sur X (+ 385.000 sur Instagram), à comparer aux 700.000 de Rufo, 500.000 de Zemmour ou 170.000 de Bock-Côté.
Un profil à suivre pour les lecteurs de Boulevard Voltaire, sachant qu’Eva Vlaardingerbroek à également appelé, lors du CPAC Budapest 2024, à combattre fermement le nouvel ordre mondial qui est « un état permanent d’isolement, de confusion et de désorientation » et de reconstruire « une Europe forte et chrétienne d’États-nations souverains ».
Georges Le Breton
Source : https://www.bvoltaire.fr
Publié par Guy de Laferrière le 21 octobre 2024
La persécution des paysans et de la ruralité par le Système continue de plus belle...
De Coordination rurale :
"On est traité pire que des délinquants alors que les agriculteurs créent de la richesse, de la valeur, de l’emploi. » - Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination Rurale « L’agriculture croule sous 200.000 normes. Le contrôle annuel se transforme en descente d’une cinquantaine de policiers, c’est disproportionné. » Cessez le surcontrole ! Nous sommes les hommes et les femmes qui font l'agriculture en France !"
PAS DE PAYS
SANS PAYSANS !
Publié par Guy de Laferrière le 21 octobre 2024
Ce jour-là, en Inde, trois siècles de souveraineté française prenaient fin.
Le gouvernement français abandonnait ses comptoirs, réunis sous le nom d’Établissements français. Cinq noms que des générations d’écoliers avaient égrenés : Pondichéry, Yanaon, Karikal, Mahé et Chandernagor, qui étaient devenus français en 1763, lors de la signature du traité de Paris.
Au devant la pression et les menaces du gouvernement de l’Inde moderne (immense état né en 1947), de la trahison de certains Français – souvent communistes ou socialistes -, et en dépit de la vision pro-française de certains de ces territoires, le gouvernement français (le même qui avait lâché l’Indochine aux communistes), abandonnera les comptoirs indiens… sans même demander de compensation !
L’Inde française 1741-1754 :
Et les cinq comptoirs rescapés jusqu’en 1954, lieux de rencontre entre deux cultures :
• Chandernagor, la ville de la lune, enfouie sous les cocotiers au plus profond du Bengale.
• Karikal, célèbre pour ses rizières et ses plantations d’arachide.
• Mahé, sur la côte de Malabar, où les bateaux chargeaient du poivre, du bois de santal et de la cardamone.
• Pondichéry, qui n’était q’n village lorsque Bellanger de Lespinay s’y installa en 1673 dans une maison abandonnée, à deux cents mètres de la mer. La ville connut son âge d’or sous le gouvernement de Dupleix, qui rêva pour la France un empire colonial en Inde (carte ci-dessus). Aujourd’hui, l’ancienne capitale des « Etablissements français de l’Inde », avec ses rues tracées au cordeau et son atmosphère créole, rappelle parfois la Nouvelle Orléans.
• Yanaon, enfin, le plus petit des comptoirs, au bord de l’embouchure du grand fleuve Godavari.
Source : contre-info