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  • Attaques contre l’école catholique : les franc-maçons à la manoeuvre

    Publié par Guy de Laferrière le 14 octobre 2024

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    Dimanche 13 octobre, l’ensemble des présidents des Loges paloises du Grand Orient de France a cosigné une tribune qui, au nom de la laïcité à l’école, soutient la décision du renvoi du directeur de l’Immaculée Conception Christian Espeso.

    « Face à l’effervescence qui entoure actuellement les questions liées à l’enseignement privé sous contrat en Béarn, face à la pression de certaines communautés religieuses conservatrices », les Francs-maçons « fervents défenseurs des valeurs de l’idéal républicain – la fraternité, l’égalité, la liberté – […] tiennent à rappeler leur indéfectible attachement à toutes ces valeurs essentielles au sein de tous les établissements du système éducatif, dans le respect des principes fondamentaux de la laïcité, clé de voûte de notre République. La laïcité à l’école a pour raison d’être d’émanciper les enfants, d’aiguiser leur esprit critique et aussi de les préparer à être des citoyens libres et éclairés ».

     

    Source : lesalonbeige

  • A la vôtre les vaches à lait.

    Publié par Guy de Laferrière le 14 octobre 2024

    Sur ce coup-là, difficile de ne pas dire : "Nous sommes tous des "fred le gaulois" !!!!!"

    "Budget 2025 :

    • L'Elysée : + 3 000 000 €;

    • L'Assemblée Générale : + 10 300 000 €;

    Sénat : + 6 000 000 €...

    A la vôtre les vaches à lait."

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    Source : lafautearousseau

  • Pour Emmanuel Macron, ça commence à sentir le goudron et les plumes…

    Publié par Guy de Laferrière le 13 octobre 2024

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    Maurice Bernard

    Hier matin, vendredi 10 octobre, à l’Heure des pros, le journaliste Gauthier Le Bret révèle, à propos du dérapage budgétaire (180 milliards de déficit cette année, au lieu des 128 milliards initialement annoncés) que le littérateur Bruno Le Maire, accessoirement ancien ministre des Finances, « contacté par le service public », a répondu au journaliste, par un texto : « La vérité finira par éclater. Je ne peux pas parler maintenant mais la vérité finira par éclater »…

    Réaction à chaud, sur le plateau, du socialiste André Vallini, ancien secrétaire du gouvernement Valls : « (…) On se rend compte aujourd’hui que les services de Bercy avaient alerté les ministres, et donc le président, du dérapage qui se profilait, du dérapage qui se confirmait, et pendant des mois et des mois, les ministres ont ignoré les notes qu’on leur faisait passer, l’Élysée a refusé de voir la réalité en face… Le rapporteur général du budget au Sénat, Husson, et le président de la commission des finances, tous les deux, ont dit : "on nous cache des choses". Bercy a dit : "Non, non, on ne peut pas vous en parler" et Le Maire et d’autres ont dit : "Il faut un projet de loi de finances rectificative au printemps parce que ça dérape", avant les européennes, et l’Élysée a dit : "Non, parce qu’il y a les européennes qui arrivent". Donc pendant six mois, on a dissimulé la réalité aux parlementaires. C’est très grave, ce qui s’est passé. (…) il y a peut-être une saisine de la Cour de justice de la République qui est dans l’air ».

     On le voit, ça commence à sentir à plein nez la fin de règne (même s’il y en a encore, en principe, pour un peu plus de deux ans), le coup de pied de l’âne, le règlement de comptes… Pour le shérif Macron, c’est déjà O.K. Corral. Le goudron et les plumes ne sont plus très loin… « Vae victis » (Malheur aux vaincus) !

     

    Source : synthesenationalel

  • La Pologne veut suspendre temporairement le droit d’asile et menace de ne respecter ni de mettre en œuvre aucune idée du Pacte migratoire européen menaçant la sécurité de son pays

    Publié par Guy de Laferrière le 12 octobre 2024


    Polen will Asylrecht vorübergehend aussetzen

    Le Premier ministre polonais Donald Tusk a annoncé un changement de cap radical : le droit d’asile devrait être temporairement suspendu et l’Europe devrait l’accepter.

    La Pologne veut limiter l’immigration clandestine et suspendre au moins temporairement le droit d’asile. C’est l’un des éléments de sa nouvelle stratégie migratoire, a déclaré le chef du gouvernement libéral-conservateur Donald Tusk, selon l’agence de presse PAP de Varsovie. “J’exigerai la reconnaissance de cette décision en Europe.” Il n’a pas fourni plus de détails sur les projets.

    Lors d’une conférence de son parti, la Coalition des citoyens (KO), Tusk a déclaré que l’État devait reprendre le contrôle à 100 % sur qui vient en Pologne et qui entre dans l’État membre de l’UE. Il a accusé le président russe Vladimir Poutine et le dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko d’utiliser les réfugiés et les migrants pour faire pression sur son pays. Cela est « contraire à l’essence du droit d’asile », a déclaré le chef du gouvernement polonais.

    « Nous réduirons au minimum l’immigration clandestine vers la Pologne », a promis Tusk. Il souhaite présenter mardi la nouvelle stratégie migratoire au cabinet. Concernant le pacte migratoire de l’UE, Tusk a menacé de ne respecter ni de mettre en œuvre aucune idée européenne menaçant la sécurité de son pays. Il n’a pas été plus précis que ça. Tusk est le nouveau Premier ministre de Pologne depuis décembre 2023 , après avoir occupé ce poste entre 2007 et 2014. Il a ensuite été président du Conseil européen et président du Parti populaire européen à Bruxelles.

     

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  • Ce n’est pas la crise pour tout le monde

    Publié par Guy de Laferrière le 12 octobre 2024

     

    L’Élysée augmente son budget 2025 de plusieurs millions d’euros. L’Élysée justifie cette  hausse (+2,5 % soit trois millions d’euros) par l’inflation sur les dépenses de personnel (+3,1 %) et de fonctionnement (+1,6 %). Sept nouveaux postes seront créés à la Maison Élysée.

    Malgré une hausse de 11 % par rapport à 2023, le budget de 2024 a dérapé en cours d’année, les dépenses atteignant 126,3 millions d’euros, au lieu des 125,1 millions prévus.

    La dotation attribuée à l’Assemblée nationale et au Sénat connaîtra une hausse de 1,7 %. En 2024, l’Assemblée a dû faire face aux conséquences de la dissolution, qui a engendré un coût net de 28,5 millions d’euros, principalement lié aux licenciements des collaborateurs parlementaires. Ce montant a été compensé par une dotation complémentaire de l’État.

     

    Source : lesalonbeige