Publié par Guy Jovelin le 16 février 2025
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Attentat en Autriche : le Syrien rigolard qui vient de planter 4 personnes, la fliquette à gros cul complètement dépassée. Allégorie parfaite de l'Europe de l'ouest en 2025...
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Prison de Seysses (31) : le service de massages proposé aux détenus pour la Saint-Valentin met les surveillants en colère
Publié par Guy Jovelin le 16 février 2025
Selon La Dépêche, des détenus de la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse, ont bénéficié de massages et de cours de danse country à l’occasion de la Saint-Valentin. Ces activités, destinées à favoriser le bien-être des prisonniers, ont suscité l’indignation des surveillants pénitentiaires. Jérôme Combelle, secrétaire FO pénitentiaire Seysses, a déclaré : « Je trouve ça choquant qu’un violeur, qu’un kidnappeur puisse bénéficier de ça. Ils sont punis pour des faits graves, nous devons aussi penser aux victimes. » Les surveillants dénoncent également un manque de moyens et estiment que ces initiatives se font à leur détriment. David, membre du Syndicat Pénitentiaire des Surveillant(e)s, confie : « Quatre surveillants ont dû payer le repas, faute d’un budget nécessaire. » Il regrette que « les délinquants semblent passer avant la société ».
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Les complotistes font leur cinéma
Publié par Guy Jovelin le 15 février 2025
Trois semaines après sa sortie, le film Toutes pour une, version des Trois Mousquetaires incarnée par des femmes, affiche une fréquentation calamiteuse: moins de 15 000 entrées, synonyme de débâcle commerciale, pour un film qui a coûté dix millions d’euros.
Selon la Société des réalisatrices et réalisateurs de films (SRF) et l’Union des producteurs de cinéma (UPC), ce « flop » a une cause qui s’appelle la strème-droâte ! Dans un communiqué, ils déclarent :
« une fois de plus, un film français est attaqué par la fachosphère… c’est au tour du film de Houda Benyamina, Toutes pour une, d’être la cible d’une nouvelle offensive. »
Le communiqué évoque des « débats télévisés sans nuance » et « des insultes racistes, grossophobes et sexistes ».
Les coups d’épées «idéologiques» contre le film existent peut-être. Mais ils ne sauraient masquer les approximations d’une mise en scène qui manque cruellement de finesse. « Le scénario pèche par sa faiblesse. Cela part dans tous les sens, multiplie les dialogues gravés dans le marbre. On passe sans raison valable du noir et blanc à la couleur. On comble les vides par des ralentis. Les intermèdes comiques ne sont pas drôles. Les duels sont cafouilleux », écrit Éric Neuhoff dans sa critique publié dans Le Figaro .
Après cinq jours d’exploitation, Toutes pour une totalisait seulement 9 407 entrées pour 155 copies. C’est peut-être le pire bilan pour un film français ces dernières années.
Ne rigolez pas, ils ont tourné ce film avec notre pognon : 850 000 euros du CNC, 2,6 millions d’euros par France Télévisions et 550 000 euros par les régions de France dans lequel le film a été tourné.
Source : lesalonbeige
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"Vivre ensemble"
Publié par Guy Jovelin le 14 février 2025
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13 février : le bombardement de Dresde, une démonstration d’éthique démocratique
Publié par Guy Jovelin le 13 février 2025
Dans la ville de Dresde, joyau architectural, s’étaient réfugiés pas moins de 750 000 civils qui avaient fui devant l’invasion de l’armée soviétique et campaient dans les parcs, sur les trottoirs, dans les rues. Chacun se sentait en sécurité puisque Dresde n’était pas une cible militaire, c’était une ville hôpital qui pouvait se vanter de posséder 25 grandes installations médicales. La ville ne fabriquait pas de matériel de guerre, et par conséquent était laissée sans défense.
Mais, ce 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (exceptées les bombes atomiques sur le Japon).
7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur Dresde et des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants meurent (entre 200 000 et 400 000 tués), souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances terribles.La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.
Plus précisément :
« À 22h15, 800 bombardiers britanniques, avions d’escorte et de diversion convergeaient sur Dresde et larguaient des bombes incendiaires qui mettaient le feu à la ville d’une extrémité à l’autre. Une fois le ciel dégagé des avions ennemis, ceux qui avaient survécu dans des abris ressortaient dans les rues pour aider les blessés et enlever les morts. Des unités de service de secours de la région environnante se précipitaient dans la ville détruite pour apporter leur aide.Les Anglais faisaient alors croire aux Allemands que le raid était terminé pour la nuit, mais ils envoyèrent une deuxième vague de bombardiers pour « faire coup double » en revenant piéger les secouristes dans les rues en feu.
Ce deuxième raid allait tuer des milliers de personnes qui se trouvaient en plein air, et eut aussi pour effet de produire la tempête de feu planifiée par les Anglais, provoquant dans la vieille ville des températures atteignant le niveau incroyable de 3 000 degrés Fahrenheit [1 600°C].
Ce crime contre l’humanité était tel que les victimes étaient aspirées dans un mur de flammes par un vent si puissant qu’il en avait renversé des wagons. Les sauveteurs découvriront dans les caves, à plusieurs pieds de profondeur, de la chair humaine fondue et des os.
En tous les cas, de toutes les horreurs que peut produire une tempête de feu dans une ville surpeuplée, la plus déchirante est quand des milliers d’enfants ont perdu leurs parents dans la panique et, essayant de fuir les incendies, se sont retrouvés les pieds englués dans le goudron et l’asphalte en fusion. « Ils empoignaient leurs membres torturés puisque leurs toutes petites jambes brûlées ne les tenaient plus debout … puis ils s’effondraient jusqu’à ce que la mort vienne les libérer de leur misère physique. »
Le massacre continuait le lendemain matin, avec une troisième attaque de 400 avions américains qui larguaient des bombes sur la ville déjà détruite, et des avions de combat, volant à basse altitude, mitraillaient le personnel médical et leurs patients étendus sur des couvertures le long de l’Elbe.
Mais ce n’était pas tout. Dresde était bombardée encore trois fois, par un total de 1 172 avions : le 15 février, le 3 mars et le 17 avril 1945. » (Source : Richard Odorfer)