Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France - Page 315

  • Espagne, loi mémorielle liberticide : après Franco, la dépouille de José Antonio va être exhumée et déplacée

    Publié par Guy de Laferrière le 22 avril 2023

    La tombe de Jose Antonio Primo de RiveraLe gouvernement de gauche espagnol, qui a exhumé en 2019 la dépouille de Franco de la valle de los Caidos située près de Madrid, a décidé de faire de même avec celle de José Antonio Primo de Rivera, fondateur du parti d’inspiration fasciste de la Phalange, enterré dans le même mausolée. Cette exhumation, véritable profanation du corps, aura lieu lundi prochain.

    Une loi mémorielle liberticide qui prévoit la suppression de tous les symboles franquistes et l’exhumation et transfert des dépouilles du Général Franco et de Jose Antonio Primo de Rivera

    Voulue par le premier ministre socialiste de 2007, José Luis Zapatero, la loi idéologique Fiano autorise la censure historique et s’en prend aux symboles, aux monuments et aux hommes de Franco. Dite « loi de la mémoire historique », elle prévoit, entre autres, la suppression de tous les symboles franquistes et l’exhumation et transfert des dépouilles du Général Franco et de Jose Antonio Primo de Rivera, enterrés à la Valle de Los Caidos, la Vallée de ceux qui sont tombés, un complexe monumental non loin de Madrid construit entre 1940 et 1958 par la volonté du Caudillo lui-même qui s’était engagé à faire de ce lieu un mausolée pour les Espagnols tombés des deux côtés de la guerre civile, avec une claire intention de pacification nationale.

    Cette loi, appelée aussi loi de « Mémoire démocratique », rappelle la fureur iconoclaste et liberticide que l’État islamique affectionne. Elle divise dans un pays où les blessures du passé ne sont pas refermées. La droite a promis son abrogation si elle revient au pouvoir.

    En 2019, et malgré les nombreuses protestations des Espagnols qui accusaient le gouvernement socialiste de rouvrir les vieilles blessures, les restes du défunt Caudillo Francisco Franco, décédé en 1975, furent exhumés et transférés dans le cimetière de Mingorrubio, dans la banlieue nord de la capitale espagnole. Pour Pedro Sanchez à la tête du gouvernement de gauche de l’époque, cette exhumation, soutenue par l’extrême gauche de Podemo, mettait fin à « l’affront moral de l’apologie de la figure d’un dictateur dans un espace public » et à « une anomalie pour une démocratie européenne » bien qu’elle ravivât ce que Franco avait su clore intelligemment, les plaies de cette guerre civile.

    La dépouille du héros phalangiste José Antonio Primo de Rivera sera exhumée le lundi 24 avril pour être transférée au cimetière de San Isidro de la capitale espagnole

    Cette passion iconoclaste pour le passé espagnol n’a pas cessé depuis lors. Hier jeudi 20 avril, le gouvernement espagnol, du même socialiste Pedro Sanchez, a annoncé qu’en vertu de la loi dite de « Mémoire démocratique », la dépouille du héros phalangiste José Antonio Primo de Rivera sera exhumée le lundi 24 avril au matin du mausolée du Valle de los Caídos pour être transférée au cimetière de San Isidro de la capitale espagnole. Depuis sa mort, en 1936, Primo de Rivera a occupé quatre sépultures. En mars 1959, une fois achevée la construction de la Vallée des morts, Franco ordonna le transfert de la dépouille de Juan Antonio à une place d’honneur dans la basilique, au centre, sous une pierre tombale avec une croix et seulement avec le nom de José Antonio.

    José Antonio, né à Madrid en 1903, est le fils du général Miguel, qui a pris le pouvoir en Espagne de 1923 à 1930. Il est un catholique de fermes convictions. 

    Catholique de fermes convictions et fondateur de la Phalange espagnole, il sera exécuté par les Républicains 

    José Antonio fut le fondateur de la Phalange espagnole, créée à Madrid en octobre 1933, bouclier et épée du peuple espagnol. Il décrira son mouvement en décembre 1934 : « La Falange Española de las JONS n’est pas un mouvement fasciste, elle a avec le fascisme quelques coïncidences sur des points essentiels de valeur universelle ; mais elle développe chaque jour ses caractères propres et ainsi est sûre de trouver précisément selon ce chemin ses possibilités les plus fécondes ».

    Averti par Azaña, président de la République espagnole et membre de la gauche, de son arrestation imminente et invité à quitter l’Espagne, il a décliné l’offre prétextant que sa mère n’allait pas bien. Azaña a souligné que la femme était décédée des années plus tôt et Primo de Rivera de répondre que sa mère était l’Espagne et qu’il ne pouvait pas l’abandonner.

    Cet amour inconditionnel pour la patrie sera la cause de sa mort. Il sera fusillé dans la prison d’Alicante par un peloton d’exécution à l’issue d’un procès-spectacle. Un procès idéologique dont mêmes certains membres du gouvernement Républicain voulurent se démarquer : « l’exécution de Primo de Rivera par peloton d’exécution fut un motif de profond dégoût pour moi » écrira l’un d‘eux, Francisco Largo Caballero, membre du Parti socialiste ouvrier espagnol.

    « On vous a dit que je suis un ennemi à tuer, mais vous ignorez que mon rêve était une patrie, du pain et de la justice pour tous les Espagnols, spécialement pour les pauvres et les déshérités. Crois-moi ! Quand tu es sur le point de mourir, tu ne peux pas mentir. » Telles furent ses dernières paroles adressées au peloton d’exécution qui va l’exécuter pour ses idées.
    José Antonio écrivit l’hymne de la Phalange « Cara al sol », Face au soleil. Fidèle à l’idée jusqu’au bout, puisqu’il a été tué d’un coup de fusil alors qu’il tenait le regard levé et tourné vers le soleil.

    Les Républicains à l’origine de son exécution ont de « dignes » héritiers en les personnes du socialiste Pedro Sanchez et de son gouvernement : la mémoire même de José Antonio Primo de Rivera doit être exécutée !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Le nouveau piège Kennedy

    Publié par Guy de Laferrière le 22 avril 2023

    Robert Kennedy jr se déclare candidat à la présidence des Etats-Unis
    Robert F. Kennedy jr se déclare candidat à la présidence des Etats-Unis

    Apprécié pour son combat contre la dictature sanitaire durant l’épisode Covid 19, Robert F. Kennedy Jr., a annoncé mercredi qu’il se présentait à l’investiture présidentielle démocrate, avec l’engagement de “mettre fin à la fusion corrompue” du pouvoir de l’État et des entreprises.

    Kennedy, neveu de feu le président John F. Kennedy et fils de feu le procureur général Robert Kennedy, est le fondateur du groupe Children’s Health Defence, qui a pris de l’importance ces dernières années en raison de la controverse sur les “vaccins” contre le COVID-19. Dans ce domaine, il avait tenu des propos intéressants, dénonçant notamment le rôle de la Fondation Bill et Melinda Gates dans des campagnes de vaccination aux graves conséquences sur la santé et la fertilité.

    Pour autant, il ne faut pas s’illusionner sur Robert F. Kennedy Jr.

    “Toute ma famille, y compris moi-même, entretient de longues relations personnelles avec le président Biden“, a déclaré Kennedy lors de son annonce de candidature au Park Plaza Hotel dans le Massachusetts.

    Ses positions d’extrême gauche pourraient surprendre ses fans les plus récents .

    En 2014, il a déclaré que ceux qui nient le réchauffement climatique sont des criminels qu’il faut punir : ” J’aimerais qu’il y ait une loi pour les punir”.

    Il a déclaré dans le passé qu’il était favorable à l’avortement, s’oppose à l’abrogation d’Obamacare et soutient la redéfinition du mariage pour inclure les unions homosexuelles. Il soutient également le lobby transgenre.

    Robert F Kennedy Jr soutient le lobby transgenre
    Robert F Kennedy Jr soutient le lobby transgenre

    Il avait soutenu la candidature d’Hillary Clinton à la présidentielle de 2016.

    Il soutient François et critique une Eglise catholique trop “verticale”.

     

     

     

  • C’était un 22 avril…

    Publié par Guy de Laferrière le 22 avril 2023

    1961 : Alger est prise par les putschistes favorables à l’Algérie française. « L’armée s’est assurée le contrôle du territoire algéro-saharien. Je suis à Alger avec les généraux Zeller et Jouhaud, en liaison avec le général Salan, pour tenir notre serment: garder l’Algérie », déclare Challe à Radio-Alger. La confusion est totale en métropole.

    Le 25, Challe négocie malheureusement sa reddition tandis que Salan passe dans la clandestinité le 26.

     

    Source : contre-info

  • C’était un 22 avril…

    Publié par Guy de Laferrière le 22 avril 2023

    1182 : excédé, le roi de France Philippe Auguste expulse de ses états tous les Juifs, sans exception. Il les avait tous arrêtés, un jour de sabbat, dans toutes les villes du Royaume. Etant ainsi détenus dans leurs synagogues, ils n’obtinrent leur liberté qu’« en rendant l’or et l’argent qu’ils avaient extorqués par les usures les plus diverses ». Le roi anéantit toutes les créances et confisqua tous leurs biens.

     

    Source : contre-info

  • Les petits nervis du régime et leurs sales besognes

    Publié par Guy de Laferrière le 22 avril 2023

    synthesenationale

    3546018212.png

    Suite à la lâche agression dont il a été la victime, Pierre-Marie Bonneau, avocat réputé de nombreux militants de la cause nationaliste, vient de publier le communiqué ci-dessous.

    Un communiqué de Me Pierre-Marie Bonneau :

    Le dimanche 9 avril 2023, alors que je me trouvais, en compagnie d’un viel ami, bien paisiblement installé en terrasse d’un café, en plein centre-ville de Toulouse, j’ai été agressé par un « antifasciste » courageusement accompagné, évidemment, d’une dizaine de ses camarades. Je n’ai heureusement pas été blessé.

    L’impunité totale dont bénéficient ces groupes de nervis démontre simplement qu’ils ne sont que les auxiliaires zélés du système politique qui dirige notre société pourrissante. Loin de combattre le gouvernement, loin de servir une quelconque révolution, ils décrédibilisent par leur défense ridicule de tout ce qui peut être laid, sale ou stérile les révoltes populaires auxquelles ils se greffent, pour le plus grand profit de ceux qui les manipulent.

    Cela ne fait que me conforter dans mon engagement, professionnel tout autant que politique, et me confirme qu’effectivement, défendre les militants nationalistes chaque fois que cela est possible est toujours plus nécessaire. Que les roquets de garde du régime politique en place s’en prennent à moi vient encore le démontrer s’il en était besoin.

    Face à cette attaque, je tiens à remercier mes amis et camarades pour leur soutien et à leur rappeler que nous devons garder le calme des vieilles troupes, jusqu’à ce qu’enfin, un jour, le retour de nos Nations balaye ces scories toxiques du capitalisme apatride.

    Je vous invite donc toujours et de plus fort à rejoindre les Nationalistes et à soutenir l’action du CLAN.

    Nous sommes tous les maillons d’une même chaîne, serrons les rangs, ne lâchons rien et rendez-vous à la victoire !

    Source Jeune nation cliquez ici