Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France - Page 312

  • Communiqué de Jason Cazaurang membre du Conseil National du Parti de la France

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

     
    Je ne savais plus trop où m’engager et donner de ma personne pour la cause de la Patrie et le bien commun, c’est à dire en politique. Puis somme toute, j’ai retrouvé un parti national et nationaliste sympathique, en pleine croissance, solide et sérieux.
    On ne renie aucune conviction pour s’adonner à une quelconque quête électoraliste. La compromission n’existe pas au parti de la France. Le républicanisme et la démocratie universaliste ne sont pas nos dogmes. Le laïcisme, l’athéisme d’Etat encore moins.
    Le Parti de la France est l’héritier direct du Front National dans son canal historique. C’est en quelque sorte la Tradition du FN qui, comme la FSSPX fondée par Mgr Lefebvre, a toujours refusé « l’aggiornamento » et le modernisme.
    Comme pour les affaires spirituelles, la vérité doit aussi être défendue dans les affaires temporelles.
    Fondé par Carl Lang et présidé aujourd’hui par Thomas Joly, j’y ai trouvé lors de ce congrès un chef simple, chaleureux, vigoureux et équilibré dans les idées, éloquent et énergique contribuant à la progression du parti de la France depuis quelques années et donc à la croissance de la vraie droite nationale en France !
    « La politique a pour fin, non pas la connaissance, mais l’action ». Aristote
     
    Jason Cazaurang cadre de la Haute-Garonne et membre du Conseil National du Parti de la France
     
    Aucune description de photo disponible.
     
     
     
     
     
     
     
  • A lire dans Madame Figaro : “Comment rendre mon enfant plus féministe ?”

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

    Un enfant sur cinq est confronté au sexisme *. Voici comment les sensibiliser dès le plus jeune âge.

    Cultiver l’amitié mixte

    «C’est ton petit fiancé ?» «Oh, il a une amoureuse !» Dès la crèche, les parents s’extasient sur les soi-disant «petits couples». Mais si nous érotisons leurs relations, nous créons d’emblée une norme hétérosexuelle qui entache les relations homme-femme… On peut être simplement amis – et plus tard, collègues.

    Halte au «body negative»

    «Elle est jolie.» «Elle est ronde…» À force de juger les femmes sur leur physique, on leur fait croire qu’une fille est d’abord un corps. En outre, on crée des complexes chez les filles, pour qui la mauvaise image de soi a des répercussions sur l’estime de soi.

    Lutter contre le boyspreading

    Dès la maternelle, les garçons envahissent la cour de récréation. Aidons nos filles à prendre leur place dans l’espace public, à faire du foot, des courses d’orientation. Suggérons à nos fils d’intégrer des filles dans leurs équipes.

    Encourager nos fils à investir le «féminin»

    Ça débute par la couleur rose, ça se poursuit par les jeux (poupée, dînette…) et enfin par une vraie discussion sur les métiers du care et de la petite enfance. Un « impensé » aux yeux de la sociologue du masculin, Christine Castelain Meunier. Rappelons que le nombre d’hommes en crèche est inférieur à 2 %.

    (…) Madame Figaro via fdesouche

  • Ecole : exigeons la fermeture de ce cloaque !

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

    Ces écoles de la république qui choisissent de choquer les enfants
    Ces écoles de la république qui choisissent de choquer les enfants

    Le 13 avril 1946, Marthe Richard, une ancienne prostituée devenue conseillère municipale de Paris – surnommée « la veuve qui clôt » – impose la fermeture des maisons closes dans tout le pays au motif que « c’est la société qui est responsable de la débauche organisée et patentée ».
    Si nous suivons l’esprit de cette loi, il apparait urgent d’envisager la fermeture définitive de l’Ecole publique, devenue un véritable cloaque organisé, prompt à déboussoler nos enfants de la maternelle à l’université et à susciter la débauche.

    Programme officiel : éducation sexuelle sans finalité normative

    L’éducation sexuelle sans finalité normative est devenue la pièce maîtresse du programme scolaire.
    C’est tout ce qu’il y a de plus officiel : sous le ministère de l’affreux Blanquer, a été produit, sous l’égide de Dominique Schnapper, sociologue, présidente du conseil des sages et de la laïcité (tout un programme!)… le « vademecum de la laïcité » applicable dès la maternelle, dans lequel est stipulé noir sur blanc que l’éducation sexuelle sans finalité normative fait partie du programme, pouvant par ailleurs, être dispensée aux enfants par des personnalités extérieures.
    Là où l’apprentissage de la langue française est totalement dévoyée par des méthodes destructrices qui perdurent et qu’en conséquence, sont passés à la trappe les œuvres littéraires, l’histoire, la géographique, les sciences,, l’institution dite encore et abusivement scolaire, est devenue l’école du sexe qui génère des situations ahurissantes.
    Ainsi, il est rapporté qu’une infirmière scolaire intervenant en classe de CM2 à l’école des Ovides à St Etienne, explique qu’une fille peut sucer le pénis du garçon et caresser les testicules… à l’inverse, le garçon peut sucer le vagin de la fille… également que l’on peut faire le sexe par les fesses.., abordant aussi la possibilité de changer de sexe ! Enfin bref, un véritable festival sexuel ! Il est relaté que les enfants en sont sortis profondément choqués.
    Pour autant, il faut bien réaliser que ce n’est pas un cas marginal mais un exemple parmi d’autres, puisque cela fait officiellement partie du programme.
    Où sont les syndicats ?
    Alors, où sont les syndicats ?
    Les « bons » syndicats ? Ceux si soucieux du bien-être de nos enfants ?
    Assurément au même endroit que pendant la période de la pseudo-pandémie du covid au cours de laquelle les enfants ont été outrageusement maltraités sans que les syndicats ne lèvent le petit doigt, autrement dit ils croupissent dans les allées du pouvoir qui leur verse des subventions suffisamment copieuses pour qu’ils en soient les obligés, ce qu’ils acceptent sans sourciller.
    Et nous, Français ?
    Et nous parents, grand-parents, tous les Français, comment ne pas opposer un refus farouche à cette politique qui nuit gravement à nos enfants et à l’avenir de notre société ?
    Pourquoi les associations ne se regroupent-elles pas pour organiser le refus massif de la pseudo-scolarisation de leurs enfants dans ces conditions ? Ce n’est pas un courrier au ministre de l’Education nationale ainsi que le prévoit l’une d’entre elles, qui risque de changer quoi que ce soit ! Ne nous laissons pas leurrer !
    Pourquoi n’exigent-elles pas, par des manifestations massives, la liberté scolaire, qui ne peut être acquise que par l’obtention d’un bon scolaire attribué à chaque famille ?
    Qu’attendent les associations ?

    Une décision salutaire : la fermeture de ce cloaque

    Ce n’est qu’une fois obtenu ce bon, que pourrait être envisagée la fermeture officielle et salutaire de ce cloaque qu’est devenue l’Ecole publique, institution de perversion par excellence, génératrice de débauche organisée, ruinant ainsi l’avenir de notre société quand par ailleurs, se développe depuis de nombreuses années, une école d’excellence en faveur d’un contingent massif de populations issues.de l’immigration organisée par ceux-là même qui organisent la débauche pour nos enfants.

     

    Source : medias-presse.info

  • Grand remplacement : à Versailles aussi

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

    Grand remplacement : à Versailles aussi

    La fête de l’Aïd permet aux nombreux musulmans de sortir du bois et de manifester leur puissance démographique. A Versailles, le maire leur a mis à disposition le gymnase de Rémilly. Même les fillettes sont voilées.

     

    Source : lesalonbeige

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

    339403234_761722772214572_1529327129024615363_n.jpg