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collégien

  • Surveillante de 31 ans sauvagement poignardée

    Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2025

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    Mardi 10 juin, une surveillante de 31 ans a été sauvagement poignardée à mort par un collégien de 14 ans devant le collège Françoise-Dolto de Nogent (Haute-Marne). Le tueur, lui, est en garde à vue, silencieux, et protégé par une justice complice de l’impunité des mineurs.
    Face à ce drame, le président de la République n’a rien trouvé de mieux que de proposer d’interdire les réseaux sociaux aux mineurs. François Bayrou, Premier ministre par défaut, parle lui d’interdire les couteaux aux mineurs. D’autres — dans un délire sécuritaire vide de sens — veulent installer des portiques de sécurité dans les écoles. Voici le plus haut degré de la répression que peuvent envisager les individus qui nous gouvernent.
    Ces réponses sont aussi absurdes que lâches.
    Ce ne sont pas les objets qui tuent. Ce sont les individus.
    Le véritable problème n’est ni un réseau social, ni un couteau.
    Le véritable problème, c’est l’effondrement de l’autorité, de la morale et de la justice pénale, orchestré par des décennies de gauchisme éducatif et judiciaire. Et aucun portique de sécurité ne réglera le véritable problème.
    Ce criminel ne risque aucune peine réellement dissuasive.
    En vertu du droit actuel, un mineur de 14 ans ne peut encourir que la moitié de la peine prévue pour un adulte.
    La peine maximale théorique pour un mineur de 14 ans, c’est 20 ans de réclusion criminelle (contre 30 en droit commun).
    Dans les faits, les cours d’assises des mineurs prononcent rarement plus de 10 à 12 ans de détention.
    Avec les remises de peine automatiques, ce meurtrier pourrait sortir à 24 ans.
    Après avoir tué une mère de famille et privé un enfant de sa mère, le message que l’on va adresser à ce criminel, c’est qu’il passera dix ans dans un centre pour mineurs à jouer à la PlayStation ou à la Xbox. Puis, à 24 ans, il pourra ressortir et recommencer à faire des conneries, et la société lui ouvrira les bras. Au prochain crime, son avocat expliquera, devant la justice des majeurs, qu’il n’a pas eu de chance étant petit, qu’il a connu la prison et qu’il a de nouveau déconné. Et naturellement, on va vous demander encore un petit peu de pognon pour le réinsérer.
    Voilà où nous en sommes.
    Le délire rousseauiste doit cesser.
    À chaque drame, l’Éducation nationale, les ministres et les syndicats pleurnichent :
    « Il n’avait pas de profil à risque »,
    « Il était ambassadeur contre le harcèlement »,
    « Il faut comprendre ce qui a pu le pousser à ça ».
    Non. Il ne faut pas comprendre. Il faut punir.
    La France s’est perdue dans une idéologie éducative rousseauiste, qui croit que l’homme est naturellement bon et que la société le corrompt. C’est faux. Il existe des adolescents violents, haineux, délinquants, parfois tueurs. Et ce n’est pas en leur expliquant les valeurs de la République qu’on les civilisera.
    Une société sans répression est une société sans loi. Et une loi sans sanction est une société dangereuse et injuste.
    Ce que propose le Parti de la France :
    1. Suppression de l’atténuation automatique des peines pour les mineurs.
    • Un mineur assassin doit être jugé comme un majeur.
    • La minorité ne peut pas être un bouclier contre la justice.
    2. Rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus graves, y compris ceux commis par des mineurs, lorsque la préméditation et la barbarie sont établies.
    3. Réforme radicale du système éducatif et judiciaire :
    • Rétablissement de l’autorité, des punitions immédiates, des internats disciplinaires.
    • Expulsion automatique de tout élève violent et placement en structure fermée.
    Les Français veulent vivre en paix. Ce n’est ni en supprimant TikTok, ni en interdisant les couteaux qu’on y parviendra.
    C’est en rétablissant l’ordre, la peur du châtiment et le respect de la vie humaine… qui va d’abord à celle du bon citoyen et dont le criminel se coupe par ses agissements !
    Juste avant d’écrire ce communiqué, j’ai lu un article du Figaro titré « Iran : les autorités procèdent à l’amputation des mains de deux condamnés pour vol ».
    C’est très bien. Il ne faut avoir aucune pitié pour les délinquants et criminels. Et ces deux voleurs-là, nous savons qu’ils ne recommenceront pas.
     
    Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
  • Toulouse (31) : un collégien de 14 ans menace son professeur et le gifle à quatre reprises ; converti récemment à l’islam, il est absent de son domicile et est recherché par les policiers

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2024

    Selon les informations d’Europe 1, un élève de 3e d’un collège toulousain a giflé à quatre reprises son professeur de technologie et l’a menacé de mort. L’enseignant et le principal du collège ont déposé plainte. L’élève quant à lui est recherché par les policiers.

    Il s’est récemment converti à l’islam. Un élève de 14 ans, “aux lourds antécédents disciplinaires” selon une source policière, a menacé de mort son professeur de technologie ce lundi. Scolarisé en 3e au collège Bellevue de Toulouse, l’adolescent a été repris par son professeur au sujet de son attitude, jugée irrespectueuse lors du cours.

    […]

     

    Europe1 via fdesouche

  • Bénévent-l’Abbaye (23) : un collégien, qui portait également sur lui un couteau, exhibe une machette pendant un cours d’éducation physique

    Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2022

    Le procureur de la République de Guéret a confirmé les faits. Un élève du collège Jean-Monnet de Bénévent-l’Abbaye (moins de 800 habitants) est bel et bien venu dans son établissement, lundi 10 janvier 2022, avec une machette, qu’il a ensuite exhibée lors d’un cours d’éducation physique et sportive. Il portait également sur lui un couteau, qu’il n’a pas sorti. Le professeur a pu discuter avec l’élève pour ne pas que la situation ne dégénère.

    Une enquête pénale est ouverte. Des investigations sont en cours, dont des auditions, pour préciser et qualifier les faits. A ce stade, aucune information judicaire n’est ouverte. Le parquet n’avance aucun autre élément car le mis en cause est un mineur de moins de 15 ans, protégé de ce fait par l’ordonnance de 1945.

    france3-régions via fdesouche

  • Pont-Sainte-Maxence (60) : un collégien menace de l’égorger, le professeur mis en arrêt maladie depuis, ne veut pas porter plainte pour « protéger » l’élève

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2021

    «  Cela fait deux semaines que nous sommes privés de cours d’histoire-géo », regrettent des élèves devant le collège Lucie et Raymond-Aubrac à Pont-Sainte-Maxence, dans l’Oise. Voilà plus de trois semaines, un élève a menacé cet enseignant, lui disant qu’il allait l’égorger, «  pour une histoire de copie non rendue », précise une source proche de l’enquête. La victime de ces menaces de mort a finalement déposé une main courante à la gendarmerie. Peu après, l’enseignant a été mis en arrêt maladie. «  À ce jour, il n’est toujours pas revenu  », indiquait un personnel du collège, lundi 18 octobre.

    L’élève, lui, n’a été exclu que trois jours de l’établissement et a repris les cours. «  C’est pas normal, c’est grave. Il aurait dû être exclu définitivement, estiment des élèves de troisième. En plus, c’est un prof super-gentil, qui connaît bien ses élèves.  » «  C’est un collège calme, affirme une autre adolescente. Mais il faudrait retirer certains éléments qui fument, se bagarrent ou nous harcèlent pour avoir des photos de nudes. »

    […]

     

    « Pas de vagues »

    Du côté de certains syndicats, le constat est amer. «  Nous avons le sentiment que le pas de vagues reste de mise et que la gravité de la menace n’a pas été prise en considération, estime l’un d’eux. Dans ce collège, beaucoup d’enseignants n’étaient même pas au courant de ces menaces de mort. Il n’y a même pas eu de conseil de discipline pour l’élève. Seul un changement de classe a été envisagé, un temps. »

    Le professeur, lui, s’est contenté de déposer une main courante au lieu de porter plainte pour «  protéger  » l’élève qui évolue «  dans une sphère familiale difficile  », indique une source proche du dossier.

    […]

     

    Courrier Picard via fdesouche