Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2022
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Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2022
Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2021
« Cela fait deux semaines que nous sommes privés de cours d’histoire-géo », regrettent des élèves devant le collège Lucie et Raymond-Aubrac à Pont-Sainte-Maxence, dans l’Oise. Voilà plus de trois semaines, un élève a menacé cet enseignant, lui disant qu’il allait l’égorger, « pour une histoire de copie non rendue », précise une source proche de l’enquête. La victime de ces menaces de mort a finalement déposé une main courante à la gendarmerie. Peu après, l’enseignant a été mis en arrêt maladie. « À ce jour, il n’est toujours pas revenu », indiquait un personnel du collège, lundi 18 octobre.
L’élève, lui, n’a été exclu que trois jours de l’établissement et a repris les cours. « C’est pas normal, c’est grave. Il aurait dû être exclu définitivement, estiment des élèves de troisième. En plus, c’est un prof super-gentil, qui connaît bien ses élèves. » « C’est un collège calme, affirme une autre adolescente. Mais il faudrait retirer certains éléments qui fument, se bagarrent ou nous harcèlent pour avoir des photos de nudes. »
[…]
Du côté de certains syndicats, le constat est amer. « Nous avons le sentiment que le pas de vagues reste de mise et que la gravité de la menace n’a pas été prise en considération, estime l’un d’eux. Dans ce collège, beaucoup d’enseignants n’étaient même pas au courant de ces menaces de mort. Il n’y a même pas eu de conseil de discipline pour l’élève. Seul un changement de classe a été envisagé, un temps. »
Le professeur, lui, s’est contenté de déposer une main courante au lieu de porter plainte pour « protéger » l’élève qui évolue « dans une sphère familiale difficile », indique une source proche du dossier.
[…]
Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2021
A Villeneuve-d’Ascq, Christophe Fauquenoy, 45 ans, a été égorgé dans un hall d’immeuble. Il n’avait pas d’antécédents judiciaires.
Une riveraine évoque
« un climat d’insécurité grandissant dans ce quartier, qui ne date pas d’hier. La situation devient insupportable. Il y a du grand deal, du petit deal, du trafic dans les couloirs ». « Christophe ne supportait plus ce que l’on vit ici tous les jours ».
La presse nationale n’en parle pas. Parce que Christophe Fauquenoy n’est pas issu d’une minorité visible et qu’il n’a, semble-t-il, pas été tué par un policier ?
Source : lesalonbeige