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Le Parti de la France - Page 324

  • Sale temps pour les propriétaires immobiliers, sacrifiés à l’idéologie verte

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2023

    Le Parti de la France

    Depuis le maintien, en 2017, d’un impôt sur la fortune immobilière, on a compris que l’ancien banquier d’affaires Emmanuel Macron n’est pas favorable au placement dans la pierre, pourtant privilégié par de nombreux Français. Lorsqu’à cette hostilité de principe s’ajoute un enjeu écologique, les propriétaires fonciers ont tout à craindre.

    Ainsi le gouvernement a-t-il promulgué, le 22 août 2021, une loi « Climat et Résilience » qui s’inscrit dans la continuité du « Pacte vert pour l’Europe » adopté par l’Union européenne en 2020 pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Bon élève, le gouvernement français veut traquer les mauvais proprios coupables de mettre en location des logements considérés comme des « passoires thermiques ».

    Les bailleurs des biens les plus « énergivores », classés F ou G, se sont d’abord vu interdire, à partir du 24 août 2022, d’augmenter le montant des loyers. Mais depuis le 1er janvier 2023, les logements classés G+ (dont la consommation est supérieure à 420 kWh d’énergie finale par m² et par an), jugés « indécents », ne peuvent plus du tout être loués. Près de 200.000 biens sont concernés. Cette interdiction s’étendra, en 2025, à l’ensemble des logements classés G puis, en 2028, à ceux classés F et, enfin, aux classés E, en 2034. Des millions de biens sont concernés.

    À en croire le gouvernement, c’est une bonne nouvelle, à la fois pour la planète menacée par le réchauffement et pour les locataires de ces logements, dont les conditions de vie seront améliorées et les factures de gaz ou d’électricité diminuées. Mais encore faudra-t-il que les propriétaires réalisent les travaux (isolation, ventilation, remplacement du système de chauffage, double vitrage, etc.) qui leur permettront d’améliorer leur note, en vertu du nouveau diagnostic de performance énergétique (DPE) mis en place en juillet 2021.

    C’est ici que le bât blesse. Selon le rapport Sichel « Pour une réhabilitation énergétique massive, simple et inclusive des logements privés », le passage de la passoire thermique au label BBC coûte, en moyenne, 25.000 euros pour un logement collectif et 46.000 euros pour une maison. Certes, l’État propose des aides (MaPrimeRénov’, Prime Coup de pouce, éco-prêt à taux zéro, TVA à 5,5 %…) mais, pour beaucoup de propriétaires, la facture reste lourde. Et les règles du nouveau DPE n’arrangent rien. Il instaure, en effet, un nouveau mode de calcul, pénalisant notamment les propriétaires de petits logements et risque d’entraîner « la fermeture de millions de logements », selon le président de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), Christophe Demerson.

    À l’échelle nationale, 5,2 millions de résidences principales, soit 17 % d'entre elles, seraient en effet classées F ou G. S’y ajoutent deux millions de résidences secondaires ou de logements vacants qui sont dans le même cas. Sur le site Actu.fr, un autre responsable de l’UNPI, David Gonthier, indique qu’à Paris, 55 % des logements de moins de 18 m² sont classés en catégorie G. Ils ne devraient donc plus pouvoir être loués à partir de 2025… De nombreux propriétaires, qui ne pourront ou ne voudront pas réaliser les travaux nécessaires, les laisseront inoccupés ou les vendront. Selon une enquête menée en septembre 2022 par la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM), 26 % des bailleurs de biens classés F ou G envisageraient de vendre leur bien. 32 % seraient prêts à engager les travaux de rénovation exigés et 36 % voudraient « relouer en l'état », malgré la loi – et les sanctions encourues. Ceux qui mettront leurs biens aux normes devront, pour les rentabiliser, augmenter des loyers déjà élevés : un studio se loue en moyenne près de 850 euros par mois à Paris. Et les prix ne sont pas près de baisser si, de surcroît, l’offre se raréfie.

    À l'UNPI, David Gonthier prévoit une « catastrophe sociale » : « Notre inquiétude est pour les propriétaires, mais elle est encore plus grande pour les locataires. Comment vont se loger les étudiants, les salariés précaires ? » Bien que les rigueurs de la nouvelle loi ne s’appliquent pas aux logements dont le bail est déjà en cours, la recherche de logements par les étudiants, par exemple, risque en effet de devenir beaucoup plus difficile, alors que le marché est déjà saturé dans de nombreuses villes universitaires. Une fois de plus, le gouvernement (de même que l’Union européenne) met la charrue avant les bœufs et fait primer l’idéologie verte sur les réalités. Reste à savoir si le but réel de cette politique n’est pas de porter atteinte à la propriété privée immobilière. Mais ce soupçon relève sans doute du « complotisme »…

    Éric Letty

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Allemagne : un monument pour les victimes des vaccins anti-Covid

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2023

    Le 3 mai dernier, un premier monument aux “victimes de la terreur Corona” a été inauguré à Zinnwald-Georgenfeld en Saxe.

    Cela s’est passé dans un canton qui a battu le record de décès en Allemagne (1573 décès du Covid, soit 644 pour 100.000 habitants, selon les statistiques officielles) et qui a aussi été l’un des moins vaccinés du pays (65%).

    Le monument, érigé par les membres du collectif Saxe Libre, anti-vaccination, se trouve sur une propriété privée.

    La municipalité de Zinnwald Georgenfeld a déjà annoncé qu’elle chercherait les moyens de faire détruire ce monument. Le collectif Saxe Libre a prévenu qu’en cas de vandalisme, un monument plus grand le remplacerait.

    Un médecin, Karl Kohlmann, père du fondateur du collectif Saxe Libre, était présent lors de l’inauguration. Il a rappelé la mémoire des “victimes de cette violence qui nous a été faite” et fustigé “une politique sanitaire malavisée, un lobby pharmaceutique sans scrupule”. Il a affirmé que “le peuple [allemand] a été humilié par la domination étrangère” – nombre de vaccins et médicaments utilisés en Europe étant américains ou anglais.

    Source via medias-presse.info

  • Derrière le foot, trafic d’enfants et satanisme

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2023

    Une vidéo du journaliste spécialisé Romain Molina sur les histoires sombres derrière le foot – et notamment les histoires de famille, comme l’affaire Pogba – éclaire un peu les dessous sombres du sport mondialisé chéri des puissants.

    En ce moment, une enquête a été ouverte – poussivement – suite à des trafics d’enfants dans les instances de foot du Gabon – divers entraîneurs ont été écartés, tandis que dans d’autres pays en développement, des proches font des sacrifices humains ou des rites vaudous (sataniques) pour assurer la réussite de certains footballeurs ou l’envoûtement de leurs adversaires – deux footballeurs du Gabon (encore) ont été au centre d’affaires de cet acabit, Asamoah Gyan et l’ancien joueur du FC Nantes Shiva Star N’Zigou.

     

     

  • 28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français et rasait un village (et pour quel motif !)

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2023

    Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

    Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

    Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

    Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

    Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

    Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

    Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

     

    Source : contre-info

  • Mayotte : des collectifs de mahoraises bloquent l’accès des migrants comoriens aux centres de santé

    Publié par Guy de Laferrière le 27 mai 2023

    Soumis à la pression démographique et à une pénurie de soignants encore plus sévère qu’en métropole, le système de santé du 101ᵉ département français est l’objet d’un bras de fer inédit : des collectifs de Mahoraises bloquent depuis plusieurs semaines l’accès des Comoriens aux structures de soins.

    Vendredi 26 mai, le soleil n’avait pas encore atteint son zénith que l’atmosphère était déjà brûlante au dispensaire de santé de Jacaranda, sur les hauteurs de Mamoudzou, la capitale économique de Mayotte. De part et d’autre de la route, deux groupes de femmes : les unes, comoriennes pour la plupart, veulent accéder à la pharmacie centrale attenante au dispensaire ; les autres, mahoraises, ne veulent pas de leur présence ici. Elles portent les mêmes boubous, parlent souvent la même langue, vivent sur la même île, mais tout les sépare.

    […] Une migrante comorienne, Kamladi (les personnes citées par leur seul prénom ont souhaité rester anonymes) se faufile discrètement, récupère les médicaments que son fils épileptique attend depuis trois jours et dont sa fille asthmatique a besoin au quotidien : « Elles ne veulent pas que je vienne parce qu’elles disent que je vole la place des Français. Mais nous ne sommes pas venus ici pour souffrir, juste pour nous soigner. »

     

    Le Monde via fdesouche