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Le Parti de la France - Page 605

  • Paris : ils volent le téléphone d’un policier de la BAC dans le métro, puis tabassent un autre policier, qui tentait de les interpeller ; 3 migrants algériens arrêtés, dont deux clandestins, tous connus de la police

    Publié par Guy de Laferrière le 10 janvier 2023

    Trois hommes ont été interpellés gare d’Austerlitz à Paris (XIIIe) après avoir volé le téléphone et la montre d’un policier de la BAC en civil qui les suivait. Deux des trois suspects, en situation irrégulière sur le territoire, ont été placés en détention provisoire et seront jugés le mois prochain.

    Trois voleurs ont été interpellés dans le métro parisien jeudi 5 janvier après une filature des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) du Xe arrondissement. L’un des suspects a volé le téléphone et la montre d’un des fonctionnaires en civil qui les suivait, avant d’être maîtrisé tout comme ses deux complices. Deux policiers ont été frappés et blessés durant cette intervention, l’un sérieusement.

    (…) Soudain, l’un des trois suspects resté sur le quai attrape par le bras le policier de la BAC qui est toujours dans la rame de métro – sans savoir qu’il s’agit d’un policier – et l’entraîne sur le quai. “Il lui a demandé s’il allait bien et a passé son autre main dans son dos pour lui faire une prise. Une technique bien connue dite “du judoka” pour tromper l’attention de la victime avant de la dépouiller”, souligne une source proche de l’affaire. L’un des complices profite de la prise pour se saisir du téléphone et la montre du fonctionnaire. Ce dernier annonce sa qualité et tente de maîtriser le voleur en l’amenant au sol. Ses collègues interviennent également. Le voleur porte de violents coups aux agents. Les trois complices, qui se rebellent, sont difficilement arrêtés sous les yeux de nombreux usagers, avant d’être placés en garde à vue.

    Deux policiers ont été blessés lors de cette intervention : l’un s’est vu attribuer huit jours d’incapacité totale de travail (ITT), le second quatre jours. Les fonctionnaires intervenants ont déposé plainte.

    Interrogés, les trois interpellés ont affirmé avoir 17, 22 et 24 ans, et être de nationalité algérienne. Ils sont déjà connus des services de police précise la même source.

    (…)

    Actu 17 via fdesouche

  • “Ne privons pas l’Afrique de ses médecins” : des sommités de la médecine appellent le gouvernement à retirer son projet de loi sur l’immigration, visant à créer un titre de séjour spécial pour les médecins étrangers

    Publié par Guy de Laferrière le 10 janvier 2023

    « Ne privons pas l’Afrique de ses médecins », c’est le titre d’une tribune publiée, ce week-end, en France. Elle est signée par d’importants professeurs de médecine et également par des défenseurs des droits de l’homme qui estiment que le projet de loi sur l’immigration proposé par le gouvernement français, fin décembre, pour faire venir du personnel de santé qualifié, n’est pas acceptable.

    Le projet de loi doit être présenté en janvier et prévoit, notamment, la création d’une carte de séjour spéciale pour les professionnels de santé.

    (…) Nombre de syndicats ont fustigé ces propositions. Ils estiment que la formation doit être améliorée en France. Actuellement, près de 5 000 médecins étrangers exercent dans l’hexagone. Ils n’ont pas le même statut et ont des salaires plus faibles que leurs confrères français.

    Le professeur André Grimaldi est l’un des signataires de la tribune : « Ne privons pas l’Afrique de ses médecins » Il estime que la France ne peut pas, une fois de plus, piller les compétences scientifiques et intellectuelles du continent africain et appelle les autorités à retirer ce projet de loi sur l’immigration.

    Voilà des gens qui ont été formés par leur pays et qu’on veut récupérer en France parce qu’on manque de médecins, sans se poser la question: Et leurs malades, dans leur pays, qui va les soigner ?

    RFI


    André Grimaldi, Jean-Paul Vernant, Xavier Emmanuelli et Rony Brauman, respectivement professeur émérite de diabétologie ; professeur émérite d’hématologie, membre du comité des sages de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) ; ancien secrétaire d’État, président du comité des sages de l’Ofii ; ancien président de Médecins sans frontières, s’opposent à la création d’une carte de séjour dénommée « talent-professions médicales et de pharmacie » et demande au gouvernement de retirer cette proposition du projet de loi sur l’immigration. 

    (…) Le nombre d’étudiants admis en faculté de médecine est passé de 8 500 au début des années 1970 à seulement 3 800 en 2000 tandis que la Sécurité sociale a payé jusqu’à cette date la retraite anticipée de près de 10 000 médecins pour réduire la supposée “pléthore médicale”. La fin du numerus clausus ne mettra pas un terme aux inégalités territoriales d’accès aux soins.

    Le gouvernement pense donc que pour répondre à cette situation, il ne s’agit pas de changer de politique de santé mais, en améliorant l’“attractivité nationale”, de recruter encore plus de médecins, en provenance pour la plupart du Maghreb et d’Afrique subsaharienne, qui accepteront de travailler pour des salaires moindres dans les lieux délaissés par les médecins français. Ce faisant, il entend profiter sans frais de professionnels formés par ces pays avec comme conséquence une réduction de l’accès aux soins de leurs populations.

    (…) Nous demandons au gouvernement de retirer de son projet de loi cette proposition de titre de séjour spécifique pour attirer les personnels médicaux, et de négocier avec les gouvernements concernés des accords pour aider au développement de la santé sur leur territoire.

    Le JDD

  • « Protégez nos enfants des migrants ! » Une lettre ouverte au Préfet de Loire Atlantique au sujet de Saint-Brévin-les-Pins

    Publié par Guy de Laferrière le 10 janvier 2023

    Ci-dessous une lettre ouverte adresse au Préfet de Loire Atlantique et rédigée par le Collectif Préservation de l’École de la Pierre Attelée au sujet de la réalisation du Centre d’Accueil pour Demandeurs d’Asile (CADA) de SaintBrevin-lesPins.

    Monsieur Le Préfet,


    Devant la réalisation d’un CADA à proximité de l’école de la Pierre Attelée, nous ressentons un 
    vif sentiment d’indignation suscité par la menace qui pèse sur nos enfants. Nous avons encore en mémoire l’enlèvement et le meurtre du petit Jonathan COULOM dans le quartier du Menhir.

    Jusqu’ici, dans un but de sécurité, le principe élémentaire de séparation des enfants et des 
    adultes prévalait. Alors, pourquoi héberger 110 migrants avec vue plongeante sur une école maternelle 
    En effet, l’actualité se charge malheureusement de confirmer que l’emplacement désigné pour accueillir ces étrangers est vraiment très mal choisi !

    Nous avons appris
     que « la moitié des centaines de migrants clandestins qui survivent dans des camps de fortune autour de Paris souffrent de troubles psychiatriques ». (1) Encouragés par l’épreuve de la migration et du déracinement, « les troubles psychiques graves s’élèvent à 16,6 % » sur ce groupe de personnes, estime Santé Publique France
    Les psychologues décrivent la migration comme un traumatisme et « une perte du cadre culturel à partir duquel était décodée la réalité ». C’est d’ailleurs ce qu’affirment les magistrats qui défendent les migrants : ils ne possèdent pas nos codes.

    De fait,
     des migrants se rendent coupables d’actions parfois très graves relevant d’esprits perturbés. Certains d’entre eux semblent même animés d’une furie assassine dont les enfants font les frais, y compris dans le voisinage de nos écoles. 
    Le mois dernier, dans une petite ville d’Allemagne, un migrant a été arrêté pour le meurtre au couteau d’une collégienne de 14 ans qui se rendait dans son établissement scolaire situé à proximité du centre du foyer de demandeurs d’asile. Une autre adolescente qui l’accompagnait a aussi été poignardée mais n’est pas morte. L’homme est un Érythréen de 27 ans. Deux autres hommes du foyer de migrants ont aussi été arrêtés.

    Monsieur le Préfet, estce que les circonstances de ce drame ne vous rappellent pas quelque chose ? On y trouve :

     Une petite ville
     Un établissement scolaire

     À proximité, un centre pour demandeurs d’asile

    S’agitil d’un cas isolé Il semble que non, au vu d’autres faits divers atroces.

    Ainsi, en juillet dernier, en Suède, une enfant de 9 ans nommée Luna a été violée, étranglée et laissée pour morte par un migrant éthiopien. Elle se rendait sur une aire de jeu située à proximité de son école. Elle a été retrouvée attachée à un arbre par le cou, avec ses propres lacets, nue. Elle est aujourd’hui en fauteuil roulant, handicapée à vie. Or cet homme était déjà connu de l’établissement scolaire et de la police pour ses agressions sexuelles répétées !

    Et combien d’autres faits d’attouchements au cours des dernières années !

    Ajoutons que les personnes vulnérables, dans leur ensemble, semblent les victimes désignées de ces personnes qui ne possèdent pas nos codes.
     Tout récemment, le 31 décembre, nous apprenons qu’à Reims, une joggeuse a reçu un coup de couteau à la gorge, de la part d’un afghan « qui semblait souffrir de troubles mentaux » 

     Le mois dernier, à Nanterre, deux patientes de 70 et 78 ans ont été violées à l’hôpital par un migrant congolais de 27 ans. Quelques jours plus tard, il récidivait sur une adolescente de 12 ans !

     Le 1er décembre comparaissait un migrant lybien pour avoir violé la femme qui l’hébergeait.

     Le 12 novembre dernier, à MaugessurLoire, une jeune femme handicapée a été violée, dans un parc, par un migrant hébergé dans un centre.

     Toujours en novembre, à Paris, Isabelle, 34 ans, patiente de l’hôpital Cochin, a été violée par un Jordanien sous le coup de deux OQTF.

     Le 24 septembre, une femme de 40 ans a été frappée et violée à Nantes par trois Soudanais.

     En juillet, à Montpellier, une femme de 47 ans, attablée en terrasse de café, a été poignardée par un migrant érythréen.

    Des faits divers sans signification statistiqu
    e 
    Vous êtes bien placé, Monsieur le Préfet, pour savoir qu’en France la délinquance migratoire est systémique. Monsieur DARMANIN a rappelé récemment la proportion inquiétante de la délinquance étrangère. Cependant, elle semble particulièrement gratuite et désaxée chez les clandestins, même accueillis.

    La question est alors de savoir,
     Monsieur le Préfet, si vous allez livrer au hasard de mauvaises rencontres les enfants de nos écoles et les joggeuses de notre forêt ? Allezvous prétendre que vous êtes certain que des déments criminels, ne seraitce qu’un seul, ne seront pas en train de les épier pour les massacrer ? Ils auront toute la journée pour les observer, et toute la forêt pour agir. Par ailleurs, le quartier est isolé et mal éclairé.


    Au nom de notre Collectif
    , nous vous adressons, Monsieur le Préfet, nos sincères salutations.


    LE COLLECTIF

    collectifnonaucada@outlook.fr

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

  • Des zomos du Marais rappellent au monde qu’ils sont des gros pervers

    Publié par Guy de Laferrière le 10 janvier 2023

    Posté par Eric Martin 

    Certains avaient oublié :

     

  • Le moment arrive où l’OTAN ne pourra plus dissimuler la catastrophe

    Publié par Guy de Laferrière le 10 janvier 2023

     

    « Le moment arrive où l’OTAN ne pourra plus dissimuler la catastrophe, c’est un désastre ».

    « Les Russes n’ont pas grand-chose à faire et ils ne le font pas pour le moment », analyse le colonel à la retraite de l’armée américaine Douglas MacGregor.

    « La grande majorité de leurs forces se préparent pour l’offensive qui sera lancée quand le commandant du théâtre militaire décidera que c’est le bon moment. Il attend une amélioration de la météo et que le sol gèle. Il attend que tous les réservistes soient pleinement intégrés ».

    L’armée de Kiev perd, « elle perd des milliers de soldats. Les Russes, quant à eux, ont très peu de victimes », poursuit-il, évoquant un « rapport de 1 pour 8 ou 1 pour 10 ».

    Et de conclure : « Nous allons arriver à un moment où nous ne pourrons plus dissimuler la catastrophe sur le terrain en Ukraine ».