Publié par Guy Jovelin le 04 février 2022
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Publié par Guy Jovelin le 04 février 2022
Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021
Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2021
Le 23 août 2020, alors que les Etats-Unis étaient traversés par une vague de manifestations violentes cornaquées par l’extrême-gauche contre les Blancs (mouvement « Black lives matter« , des tirs résonnèrent dans la ville de Kenosha (région des Grands Lacs).
Un peu plus tôt, alors âgé de 17 ans, Kyle Rittenhouse s’était équipé d’un fusil semi-automatique et avait rejoint des groupes de citoyens armés venus protéger les commerces, face aux dévastations des émeutiers noirs et gauchistes, qui avaient déjà pillé et incendié, les nuits précédentes.
Dans des circonstances présentées comme confuses, il avait ouvert le feu, tuant deux hommes et en blessant un troisième. Les médias de gauche (presque tous, donc) en avaient fait un symbole d’une droite sanguinaire.
« Je n’ai rien fait de mal, je me suis simplement défendu » avait plaidé le jeune homme, lors de son procès, assurant avoir tiré après avoir été pris en chasse et attaqué par ces trois hommes.
Les douze jurés d’un tribunal de l’Etat du Wisconsin viennent de lui donner raison et de le déclarer « non coupable » des cinq chefs d’accusation qui pesaient sur lui, au quatrième jour de leurs délibérations. La justice a été rendue.
En France, il eût droit au pire (cf les jeunes patriotes qui se sont défendus face à l’agression de Clément Méric et ses compères, et qui se retrouvent ignoblement incarcérés).
« Les démocrates [gauche américaine – NDCI] avaient accusé le jeune homme d’être un suprémaciste blanc, et d’avoir tiré sur des manifestants tout en bénéficiant de la complaisance de la police à cause de sa couleur de peau. » (source) Tandis qu’une bonne partie du camp républicain l’avait défendu.
Le tribunal, s’appuyant sur les preuves et témoignages, a reconnu que le jeune homme s’était légitimement défendu face à trois agresseurs, trois « antifas » : Joseph Rosenbaum, le premier à avoir été abattu – qui avait poursuivi Rittenhouse et essayé de lui arracher son arme, probablement pour lui tirer dessus –, le deuxième, qui le frappait à la tête avec une planche à roulettes, et le troisième qui pointait vers lui… un pistolet.
Sur la video ci-dessous, on voit Rittenhouse poursuivit par des antifas. Il tombe à terre et on entend parmi ses poursuivants « Kill that dude ! « (« tuez ce mec ! ») :
Pour le profil de ces trois-là, on précisera, car les médias français ne le font pas, que Joseph Rosenbaum avait été condamné pour le viol de cinq enfants de 9 à 11 ans…
Le second, Anthony Huber, avait été condamné plusieurs fois pour violences conjugales et détention de drogue.
Le dernier, Gaige Grosskreutz, qui n’a été que blessé et qui pointait une arme sur le gamin, a aussi plusieurs condamnations, entre autres pour avoir tiré après usage de drogues.
Bref, des « antifas ».
La justice américaine est tout de même moins pourrie que la française
Source : contre-info
Publié par Guy Jovelin le 10 août 2019
La suédoise Greta Thunberg, oracle du réchauffement climatique, a enregistré une chanson avec le groupe The 1975. A cette occasion, elle a posé en portant un t-shirt de la mouvance antifa, extrême gauche connue pour ses violences répétées.
Dans un tweet, Greta Thunberg promet que tous les revenus tirés de l’enregistrement de cette chanson iront à l’organisation d’extrême gauche Extinction Rebellion.
En avril, ces extrémistes environnementalistes ont semé le chaos dans les rues de Londres. Cette organisation prévoit également de forcer à fermer l’aéroport d’Heathrow cet automne, à l’aide de drones venant perturber le trafic aérien.
Avec le groupe The 1975, Greta Thunberg prêche la fin du monde en affirmant que toutes les solutions à la crise climatique ont échoué.
Un suédois condamné pour des émeutes et n’excluant pas le meurtre
La section suédoise de Extinction Rebellion est dirigée par le militant d’extrême gauche Jonathan Pye, qui a participé aux émeutes de Göteborg en 2001 , lors d’un sommet européen dans la ville.
Jonathan Pye a été condamné à quatre ans de prison pour avoir jeté des briques et des pierres sur la police et incendié des meubles de restaurant dans la rue principale de Göteborg, Kungsportsavenyn.
À l’époque, Pye était un membre actif de l’AFA, une section antifa suédoise. Il n’a regretté aucun de ses actes, a-t-il déclaré à Sveriges Radio en 2006.
Il a confirmé qu’il utilisait consciemment la violence comme outil de lutte politique. «Si je commets des actes de violence, c’est comme une partie d’échecs. Ensuite, je réfléchis froidement et tactiquement », a-t-il déclaré lors de l’entretien. Cela ne le dérangeait pas non plus d’attaquer des policiers avec des briques et des pierres. Pye a également déclaré qu’il pourrait envisager un meurtre si cela convenait.
“Cela ne vaut pas la peine pour le moment, pas pour des raisons morales, mais avant tout pour des raisons pratiques”, a déclaré Jonathan Pye.
Suite à la controverse que cela suscite en Suède, le tweet de Greta Thunberg est maintenant effacé, de même que l’image de celle-ci portant le t-shirt antifa.
Par ailleurs, une autre photo de Greta Thunberg la montre arborant un drapeau LGBT. Décidément, cette adolescente est de tous les combats subversifs.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2019
21 juin 2019
21/06/2019 – 17h20 Montpellier (Lengadoc Info) – L’opération de gendarmerie menée cette semaine dans le quartier des Arceaux à Montpellier contre un réseau de cambrioleurs albanais a permis de révéler que certains des membres de ce réseau étaient, en fait, logés dans un squat tenu par des militants d’extrême gauche.
C’est un important coup de filet qui a eu lieu ce mercredi dans le quartier des Arceaux à Montpellier. La gendarmerie appuyée par le GIGN et la police nationale a mené une opération pour démanteler un réseau de cambrioleurs albanais qui sévissait dans le département de l’Hérault depuis un certain temps.
Cette opération a eu lieu dans deux squats. Le premier, situé rue du Faubourg Saint Jaumes a été expulsé et une dizaine de personnes ont été interpellées. Mais le deuxième squat, situé rue Bonnard, était en réalité un squat tenu par des militants d’extrême gauche : le Centre Social Autogéré (CSA) Bonnard.
Dans un communiqué publié sur leur page Facebook les squatteurs expliquent comment des policiers se sont présentés à l’entrée du CSA avec « un des habitants du CSA menotté car interpellé peu de temps avant pour une histoire de cambriolage afin de perquisitionner sa chambre ». Lors de cette perquisition ce sont en tout quatre squatteurs qui ont été interpellés, « essentiellement des Albanais » précise le communiqué.
Le « Centre Social Autogéré Bonnard » n’est pas un simple squat de SDF et de migrants comme il en existe plusieurs à Montpellier. Avec la disparition du squat le Royal, le CSA Bonnard est un squat « politique », c’est à dire qu’il sert de lieu d’habitation mais également de lieu de réunion pour certaines organisations d’extrême gauche.
Le CSA a, par exemple, servi de lieu pour des soirées des groupes antifa « Montellier Antifasciste et Populaire » et « Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault ». Le lieu a également servi à une soirée « contre la répression » organisée, entre autres, par l’Assemblée des Gilets Jaunes 34, une structure « gilet jaune » particulièrement infiltrée par des militants d’extrême gauche.
Photos : DR/ CSA Bonnard
Source : lengadoc-info