Les gouvernements socialistes qui, depuis des décennies, se succèdent à la tête de la France distribuent chaque année des sommes gigantesques aux nécessiteux. La France devrait donc être une sorte de paradis, avec des riches, des pauvres n’étant plus pauvres grâce à l’État, tous vivant, sinon dans l’opulence, du moins dans une aisance confortable et sans souci. Eh bien, ce n’est pas du tout le cas!
a France de 67 millions d’habitants compte 9 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, soit 14% de la population. Parmi ces habitants figurent des Français, des vrais, qui vivent avec quelques centaines d’euros par mois. En réalité, ils survivent grâce à leur jardin et à leur poulailler, comme autrefois. Encore faut-il avoir la force suffisante pour cultiver son jardin et entretenir son poulailler. Ce n’est pas le cas de tous, âgés et de mobilité réduite. Ceux-là n’ont que le voisinage pour les assister, comme au Moyen Âge. Comment expliquer un tel phénomène en 2019?
Une partie des sommes énormes prélevées sur tous sert à payer d’abord les redistributeurs. Ce sont des fonctionnaires et ils sont plus de 5 millions en France ! C’est incohérent. Le monstre redistributeur aux multiples têtes coûte donc très cher. Il est multiforme et peut être parfois pas très éloigné de la corruption. Je relève notamment, à ce propos, les 1,3 million d’associations qui reçoivent, bon an, mal an, plus de 100 milliards de subventions. Les bras vous en tombent! Je connais personnellement le cas d’un groupe d’amis qui a créé une association de souvenirs coloniaux et qui bénéficiait d’une subvention du ministère des Colonies, que l’on appelle maintenant le ministère des DOM-TOM. Cette association n’a pas le moindre intérêt historique. Des cas comme celui-là, vous pouvez les multiplier presque à l’infini.
De façon générale, comme chacun le sait, une part importante de cette assistance va aux immigrés. Combien sont-ils en France? On n’en sait rien et on ne doit pas le savoir. L’établissement de statistiques ethniques et leur publication sont interdits par la loi. On ne peut donc se baser que sur des estimations.
Les clandestins, appelés aussi «sans papiers», sont chiffrés à 500 000. Les immigrés «officiels» à plusieurs millions (y compris leurs descendants), en augmentation constante, venant principalement du Maghreb et d’Afrique noire. On parle peu des Sud-Américains, mais ils viennent eux aussi fort nombreux, le plus souvent via l’Espagne.
Nombreux sont ces «voyageurs» venus de tous les horizons qui bénéficient du droit d’asile. C’est un droit et il est indiscutable. Ce «droit» est accordé à 130 000 immigrés par an, chaque année davantage, 22% en plus en 2018 par rapport à 2017. Beaucoup d’entre eux finissent par recevoir la nationalité française. Ça, c’est mieux encore qu’allocations et logement. Avec la nationalité française, on reçoit notamment la carte Vitale, une carte miraculeuse qui, avec la «compréhension» de médecins souvent eux-mêmes immigrés, soulage toute l’Afrique et l’Indochine, où les antibiotiques sont très appréciés …
Des milliers de fonctionnaires français travaillent dur pour créer plus de 100 000 nouveaux Français chaque année. Et qui paie tout cela?
Cette immense générosité socialiste puise-t-elle dans un trésor féerique? Pas du tout. La France socialiste est archi-endettée. Elle est pratiquement en faillite. «À ce jour, écrit fort bien Claude Goudron dans le n° 1211 des “4 Vérités” du 20 septembre, si on cumule les dettes de l’État, la dette sociale et les engagements pris, la dette publique française dépasse les 6 000 milliards d’euros.» Le comble de l’incurie! Au total, dans le monde entier, la dette publique et privée culmine à 250 000 milliards de dollars, soit 320% du PIB mondial, un beau château de cartes qui, en s’effondrant provoquera des crises désastreuses, surtout dans les pays surendettés comme la France.
Pays envahi, pays en état d’anarchie, pays géré en dépit du bon sens, pays en faillite, eh bien, pour autant, ça ne trouble pas le sommeil de ceux qui en sont responsables! Ils n’en ont pas pour autant perdu le langage, surtout celui des promesses séduisantes, sans oublier les menaces permanentes pour délit d’opinion contre les «mal-pensants».
De cet ensemble surgit la CAF. C’est la Tour Eiffel des immigrés. «Patron, la CAF, c’est où? Moi, je connais pas. À Bamako, il n’y a pas la CAF … – Tu vois la longue file, là-bas? Tu prends la file et ton tour viendra et tu recevras l’argent que tu attends. – Merci patron.»
Et voilà maintenant qu’on nous parle, ou plutôt qu’on nous reparle, de quotas. Quotas veut dire acceptation d’immigrés. Combien? C’est à voir. Il y a de petits quotas et de gros quotas. C’est bien sûr une façon de légaliser l’immigration. Si on veut être sérieux, il ne faut pas de quotas. Ni quotas ni droit du sol. La France est sur le point de disparaître, je dois le répéter, car la machine de l’invasion tourne à plein régime. La machine du verbiage politicien tourne aussi à plein régime, avec les résultats que l’on sait.
Il est vraiment désolant d’être le témoin impuissant d’une telle gestion qui peut, entre autres, vous enlever la presque totalité de vos avoirs – en tout cas, vous tourmenter sans arrêt. Que faut-il donc faire? Où faut-il se réfugier?
Source : les4verites