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  • Bourbon-Lancy (71) : Afin d’octroyer une subvention pour réhabiliter un bâtiment, la CAF exige le retrait d’une statue de Saint Louis et d’une croix pourtant historiquement présentes

    Publié par Guy de Laferrière le 22 avril 2023

    Le bâtiment apparaît désormais comme une coquille vide prête à recevoir son nouvel habillage pour sa nouvelle fonction : accueillir le centre d’animation sociale et culturelle. Mais sur la façade de la rue des Enclos qui donne vers la maison paroissiale il y a deux éléments, issus de l’affectation d’origine du bâtiment qui suscitent bien des commentaires.

    Il y a tout d’abord la statue de Saint-Louis, installée dans sa niche et la croix qui la surplombe au faîte du bâtiment.

    Le Cercle Saint-Louis, avant de devenir un théâtre, était à l’origine une école libre. Certains anciens Bourbonniens se souviennent de l’avoir fréquentée dans leurs jeunes années. Mais afin de respecter la charte de laïcité permettant l’obtention de subventions, la commune s’est vue dans l’obligation de décider de la dépose de ces deux éléments.

    Marcel Stanio, conseiller d’opposition, s’en est ému. Pour lui, la statue faisant partie de l’histoire du bâtiment.

    La maire Édith Gueugneau justifie ce choix : « C’est la CAF qui l’exige et je ne peux pas me priver d’une subvention de 400 000 €. » Il a donc été décidé, à l’unanimité, de déposer la statue et la croix et d’en faire don à la paroisse Saint-Jean l’Évangéliste. Elle sera installée dans la cour de la maison paroissiale.

    […] Le Journal de Saône-et-Loire

  • « La CAF doit cesser de promouvoir l’idéologie trans ! »

    Publié par Guy de Laferrière le 17 février 2023

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    Dans une lettre ouverte au ministère de la Santé, 80 signataires professionnels de santé mais aussi des intellectuels et des universitaires, parmi lesquels Elisabeth Badinter, Jean-François Braunstein, Caroline Eliacheff, etc., demandent au ministre François Braun de faire cesser cette désinformation.

    Nous tenons à alerter M. le ministre de la Santé, François Braun, de la diffusion par un organisme dont il a la tutelle – la Caisse nationale d’allocations familiales – d’un texte dont la subjectivité et la dangerosité nous ont interpellés.

    La page du magazine Vies des familles du site internet caf.fr intitulée « Mon enfant est transgenre. Comment bien l’accompagner ? » , mise en ligne le 25 janvier 2023, présente la théorie de l’affirmation du genre comme un fait avéré. Or, non seulement cette théorie ne repose sur aucun fondement scientifique, mais en outre elle rejette une donnée biologique, scientifique, incontestable : l’espèce humaine est constituée de deux sexes, mâle et femelle, et de deux genres, le féminin et le masculin. À ce titre,  la phrase du premier paragraphe « Et le genre n’a rien à voir avec la sexualité » ne peut que laisser perplexe. Avec quoi le genre aurait-il à voir, alors ?

    D’autre part, les seules références, les seules paroles exposées sont celles de deux militantes des droits des personnes transgenres. Jamais il n’est fait référence à de véritables spécialistes de l’enfance et de l’adolescence, psychologues, médecins ou biologistes.

    Jamais il n’est fait mention d’un soutien psychologique que des professionnels pourraient apporter aux enfants et aux parents, conformément aux recommandations de l’Académie de médecine : « (...) une grande prudence médicale doit être de mise chez l’enfant et l’adolescent, compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles. (...)

    Aussi, face à une demande de soins pour ce motif, est-il essentiel d’assurer, dans un premier temps, un accompagnement médical et psychologique de ces enfants ou adolescents, mais aussi de leurs parents, d’autant qu’il n’existe aucun test permettant de distinguer une dysphorie de genre “structurelle” d’une dysphorie transitoire de l’adolescence. »

    Jamais il n’est fait état des causes et vecteurs de diffusion de cette mode délétère. Or, via les réseaux sociaux, ce sont pour l’essentiel des « vlogueurs » et blogueurs militants trans-activistes qui propagent cette vague de « conversions » socialement destructrice.

    Par des allégations mensongères, ces « influenceurs » induisent des enfants et des adolescents fragiles à s’engager dans de longues et coûteuses thérapies physiologiquement et psychologiquement invalidantes. Et irréversibles. Compte tenu de ces remarques, nous demandons au ministre :  - de faire retirer sans délai du site internet de la CAF cette page de désinformation dont les lacunes et la partialité déshonorent l’organisme émetteur et par conséquence votre ministère ; - compte tenu de la gravité du problème de santé publique que représente la multiplication instrumentalisée des demandes d’inversion de sexe chez les préadolescents et les adolescents, d’engager la rédaction d’une nouvelle page d’information, sous l’égide de véritables spécialistes – psychologues, médecins, biologistes... – en tenant compte des prudentes recommandations de l’Académie de médecine. Cette page d’information alerterait les familles sur les manipulations mentales dont sont victimes les jeunes par le biais des réseaux sociaux et proposerait des aides préventives que ces professionnels seraient à même d’apporter aux parents et aux enfants.

    La liste complète des signataires est à retrouver sur lefigaro.fr

    Source : Figaro 17/2/2023

  • Juristes pour l’Enfance demande le retrait à la CAF d’une page militante sur la transidentité chez les enfants

    Publié par Guy de Laferrière le 14 février 2023

    Juristes pour l’Enfance demande le retrait à la CAF d’une page militante sur la transidentité chez les enfants

    Communiqué des Juristes pour l’Enfance :

    En effet, cet article manque aux principes de neutralité, d’impartialité et d’indépendance du service public :

    • Sous-couvert d’apporter une aide aux parents confrontés aux difficultés de leurs enfants, cet article se fait le porte-parole d’associations militant pour banaliser et encourager la “transidentité” chez les enfants, sans faire référence au débat contradictoire qui existe sur ces questions. Il donne la parole à trois intervenantes appartenant toutes les 3 aux associations militantes GRANDIR TRANS et OUTRANS .
    • En outre, l’article renvoie immédiatement aux sites de ces associations militantes dont la CAF se fait ainsi le “relais” :

    Juristes pour l’Enfance interroge sur les motivations voire les intérêts (financiers ? Lobbying ?) en jeu : quels ont été les critères de choix des intervenants et des associations vers lesquelles les parents sont dirigés ? Ce parti-pris de la CAF est d’autant plus inacceptable à l’heure où la transparence de l’action publique est une préoccupation importante des Français.

    • Enfin, cet article donne aux parents une information partisane et biaisée, de nature à les induire en erreur et à priver les enfants des soins adéquats et appropriés auxquels ils ont droit.

    Juristes pour l’Enfance met par conséquent la CAF en demeure de retirer, sans délai, cette page de son site internet.

    A défaut, « l’association Juristes pour l’Enfance envisage une suite judiciaire », conclut Maître Charlotte Balique, avocate de l’association, membre du Collectif Justitia de l’Institut Thomas More.

     

    Source : lesalonbeige

  • La CAF atteste qu’une famille du Bas-Rhin composée d’un couple et de leurs dix enfants a bien reçu 5789,53 euros de diverses allocations sociales au mois d’août

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    Au moment où le débat sur l’assistanat est étrangement relancé par le secrétaire général du Parti communiste, Fabien Roussel, qui défend «une gauche du travail et pas des allocs», une photographie partagée sur les réseaux sociaux génère l’indignation de certains internautes, qui dénoncent les «allocations généreuses transférées de la poche de ceux qui travaillent du matin au soir vers celle de ceux qui sont au foyer et au chômage».

    L’image présente une feuille de prestations supposément versée par la CAF du Bas-Rhin au mois d’août 2022, et dont le montant total des prestations atteint 5 789,53 euros. Selon le détail présenté sur cette feuille, la famille a bénéficié de l’aide personnalisée au logement (APL), de l’allocation de base de prestation d’accueil du jeune enfant (Paje), de l’allocation de rentrée scolaire ainsi que des allocations familiales avec conditions de ressources et du revenu de solidarité active (RSA).

    Contactée par CheckNews, la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) indique que cette feuille est authentique et correspond bien à une famille vivant dans le Bas-Rhin. Elle précise qu’il s’agit d’une famille composée «d’un couple et de leurs dix enfants, âgés de 0 à 19 ans». Les parents sont tous deux bénéficiaires du RSA, et leurs enfants sont tous à charge.

    […]

     

    Libération

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  • Des ados âgés de 13 à 15 ans venus par le biais de la CAF permettant à des jeunes issus de milieux défavorisés de partir en vacances l’été sèment la terreur dans une colonie à Saint-Lary (65)

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2022

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    Vidéo intégrée

     

    Une violence verbale inédite

    Mais cette année, la colonie commencée le 2 août dernier a tourné court. “On a reçu des jeunes qui n’avaient rien à faire sur ce type de séjour traditionnel, encadré par des animateurs diplômés BAFA, explique Jean-François Arrivé-Beylot. Tout était prêt, avec la même équipe que l’année dernière. Mais on a dû faire face à une violence verbale de la part de jeunes qu’on n’a pas l’habitude d’avoir.”

    Deux jours après, l’organisateur dénonce un manque d’informations sur les jeunes inscrits en Occitanie. “On reçoit une liste avec leurs noms et on n’a que des informations générales, les allergies alimentaires par exemple, mais rien sur d’où ils viennent ou leurs parcours.” Et estime que certains devraient être encadrés par des éducateurs spécialisés.

    C’est par le biais de la Caisse d’allocations familiales (CAF) que les familles d’Occitanie peuvent inscrire leurs enfants à ces séjours, dans le cadre du dispositif “Premier départ en vacances” qui permet à des jeunes issus de milieux défavorisés de partir en vacances l’été.

    […]

     

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