Publié par Guy de Laferrière le 21 juin 2023

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Publié par Guy de Laferrière le 21 juin 2023

Publié par Guy de Laferrière le 06 juin 2023
Félicitations au Point qui ose une enquête à rebours de l’historiquement correct (il devrait faire attention, ça peut mener loin!) :
« Trois mois après le jour J, les Normands n’en peuvent plus des exactions des soldats qui les ont libérés. Retour sur un épisode méconnu.Des scènes de sauvagerie et de bestialité désolent nos campagnes. On pille, on viole, on assassine, toute sécurité a disparu aussi bien à domicile que par nos chemins. C’est une véritable terreur qui sème l’épouvante. L’exaspération des populations est à son comble. » Le 17 octobre 1944, quatre mois et demi après le Débarquement en Normandie, La Presse cherbourgeoise, quotidien local de Cherbourg, publie cette mise en garde sous le titre « Très sérieux avertissement ».
À l’automne 44, ceux qui pillent, violent et assassinent sont les Américains : le journal accuse les libérateurs de se comporter en soudards dans un pays conquis. Comment un tel paradoxe deux mois après la fin des combats en Normandie ? »
Publié par Guy de Laferrière le 03 juin 2023

Une anxiété financière majeure. Selon une enquête de l’Ifop pour le site MonPetitForfait en date du 25 mai dernier et rendue publique cette semaine, un tiers des Français ne dispose plus que de 100 euros le 10 du mois au titre du reste à vivre.
« Au 10 du mois, c’est-à-dire après le prélèvement des dépenses contraintes sur les comptes bancaires, 31 % des Français se retrouvent avec un reste à vivre de moins de 100 euros sur leur compte en banque, dont 10% à découvert », précise l’enquête.
Ces résultats ont été obtenus grâce à un échantillon national représentatif de 1500 Français, mettant en lumière les conséquences réelles, relevant donc non pas de l’irrationnel, mais bel et bien de l’ampleur des dégradations dues à l’inflation sur le niveau de vie des citoyens, qu’elles soient physiques mais aussi psychiques.
Des dépenses rognées sur tout
Et pour cause, les sacrifices en matière de consommation n’ont jamais été aussi importants d’après l’enquête. Ils sont particulièrement conséquents chez les Français les plus modestes, sachant que ceux qui ont réduit leurs dépenses alimentaires pour des raisons financières ces douze derniers mois ont doublé en une quinzaine d’années, passant de 29 % en 2007 à 58 % en 2023.
Ces chiffres sont d’autant plus inquiétants qu’un Français sur deux (soit 51 %) en viendrait même à « sauter des repas » régulièrement ou occasionnellement par manque d’argent. Cela représente une hausse de 7 points depuis 2022, toujours selon l’enquête.
[…]
Des conséquences sur la santé mentale
[…]
En effet, cette face cachée est pourtant palpable comme l’indique l’enquête, notamment pour les Français qui ont de grosses difficultés financières, touchés par les troubles anxiodépressifs les plus répandus tels que l’anxiété́ (54 %) ou la dépression (31 %).
Lire l’article entier sur cnews.fr
Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

Dans Contrepoints du 9 mars 2023, notre confrère Yves Bourdillon écrivait :
“Il y a trois ans jour pour jour, les bureaucraties sanitaires occidentales ont imposé en mode panique et Panurge le confinement anti-covid. Une prophylaxie pourtant jamais utilisée et donc encore moins évaluée dans l’Histoire. Copier une méthode inventée par un régime totalitaire chinois aux données notoirement trafiquées aurait pourtant dû paraître peu judicieux. Mais la boîte de Pandore de ce genre de mesures hyper liberticides a été ouverte. C’est une date historique et funeste, quoique peu s’en souviennent, à commémorer ce 9 mars. Une date qui fera peut-être jurisprudence pour justifier les plus démentes atteintes à vos droits et libertés et un contrôle social numérisé digne d’un roman de Georges Orwell, ou d’Evgueni Zamiatine.
La version dure du confinement, avec l’exigence d’une auto attestation datée, sous peine d’amende, pour travailler, s’approvisionner, ou se faire soigner n’a été pratiquée, contrairement à ce qu’a prétendu l’Elysée, que par six pays au monde : Italie, Espagne, France, Belgique, Roumanie et Maroc. Vous pourrez raconter à vos petits-enfants, qu’on peut espérer incrédules, qu’on a pourchassé en hélico des promeneurs sur une plage. Les villes de la moitié de la planète ressemblaient au décor muet d’un film catastrophe arpenté par des survivants et des zombies… mais des zombies dérogatoires.
Cette prophylaxie n’avait pourtant JAMAIS été appliquée NULLE PART et donc encore moins testée ou validée dans l’Histoire de l’humanité. Cette dernière pratiquait jusqu’alors la méthode éprouvée et robuste « tester-isoler-soigner » face aux nombreuses épidémies qu’elle a dû affronter.
Si des villes ont été mises en quarantaine au Moyen Âge et jusqu’au XIXe siècle pour peste, ou choléra, cela n’avait rien à voir avec l’interdiction de sortir de chez soi. “
En mars 2020 nous avons collectivement mis le doigt dans un engrenage dévastateur. Les pires dictatures n’auraient jamais osé imaginer pouvoir nous interdire de sortir de chez nous, travailler, recevoir nos amis, imposer de porter un bavoir inutile dans la rue, présenter notre statut vaccinal pour s’asseoir à une terrasse de café.
Et pour répondre au tweet ci-dessus – “Comment a-t-on pu admettre cette folie“, souvenons qu’avoir peur de façon irrationnelle, c’est se préparer à obéir . Voilà pourquoi les gouvernants politiques mais surtout économiques mondiaux utilisent la peur pour nous faire adopter des comportements dociles et même serviles où nous acceptons sans riposte les directives les plus déshumanisantes.
Paul DEROGIS
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 31 mars 2023

De Philippe Mesnard dans Politique Magazine :
Bizarrement, les Français ne sont pas contents. Voilà 150 ans qu’on leur dit qu’ils sont représentés, c’est-à-dire qu’ils ont le droit de voter et de se taire, puisque les bons démocrates ont décidé qu’il ne pouvait pas y avoir de mandat impératif et que des démocrates encore meilleurs ont décidé qu’on ne ferait jamais de référendums sur rien et que le plus démocrate d’entre nous, Manu, a décidé de réinventer la démocratie directe (après l’histoire de France et juste avant la diplomatie africaine, avec le même succès) à l’aide de conventions citoyennes encadrées et de grands débats contrôlés. Les Français ont désormais le sentiment qu’ils sont très mal représentés, par des gens élus par une minorité, qu’on ne peut pas dégager, même quand ils sont nuls, et ils sont nuls, même s’ils prétendent en permanence le contraire en sous-entendant que le peuple est bête, ce qui est énervant. Voter ne suffit donc plus au bonheur citoyen du peuple. Désormais, les Français sont prêts à puiser dans le vieux répertoire de la violence. Ils trouvent pour moitié que « les actions militantes violentes pour contraindre les politiques à prendre en compte l’avis de la population » sont plutôt (29 %) ou tout-à-fait (23 %) légitimes (ObSoCo, enquête, mars 2023). On mesure ici, après ses incroyables succès industriels, économiques et diplomatiques, tout le mérite social et politique, stricto sensu, de Macron. 28 % des 25-44 ans sont tout-à-fait d’accord, surtout les plus pauvres, à qui on promet depuis quelques décennies que l’Union européenne, l’immigration et la République vont les enrichir mais qui s’obstinent, bêtement, à regarder leur pouvoir d’achat se racornir. Il est temps, en effet, de contraindre les politiques à écouter la population, qui pense mieux que les privilégiés qu’elle entretient.
Source : lesalonbeige