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troupes américaines

  • « À l’automne 1944, Français et troupes américaines au bord de l’affrontement »

    Publié par Guy de Laferrière le 06 juin 2023

    Félicitations au Point qui ose une enquête à rebours de l’historiquement correct (il devrait faire attention, ça peut mener loin!) :

    « Trois mois après le jour J, les Normands n’en peuvent plus des exactions des soldats qui les ont libérés. Retour sur un épisode méconnu.Des scènes de sauvagerie et de bestialité désolent nos campagnes. On pille, on viole, on assassine, toute sécurité a disparu aussi bien à domicile que par nos chemins. C’est une véritable terreur qui sème l’épouvante. L’exaspération des populations est à son comble. » Le 17 octobre 1944, quatre mois et demi après le Débarquement en Normandie, La Presse cherbourgeoise, quotidien local de Cherbourg, publie cette mise en garde sous le titre « Très sérieux avertissement ».

    À l’automne 44, ceux qui pillent, violent et assassinent sont les Américains : le journal accuse les libérateurs de se comporter en soudards dans un pays conquis. Comment un tel paradoxe deux mois après la fin des combats en Normandie ? »

    Suite sur le site du journal

  • Europe occupée : «Les troupes américaines sont en Pologne pour longtemps», confie Joe Biden

    Publié par Guy de Laferrière le 04 novembre 2022

    Auteur : 

    «Mister President, combien de temps allez-vous laisser des troupes en Pologne et dans d’autres pays de l’OTAN?», a demandé Marek Walkuski, correspondant de la radio d’Etat polonaise à la Maison-Blanche.

    «Elles seront là encore longtemps», a répondu Biden.

    Fin juin, le dirigeant américain avait annoncé lors du sommet de l’OTAN à Madrid la création d’un QG permanent pour le 5e corps d’armée en Pologne, soit les premières forces américaines, permanentes, sur le flanc est de l’OTAN.

     

  • « À l’automne 1944, Français et troupes américaines au bord de l’affrontement »

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2020

    Félicitations au Point qui ose une enquête à rebours de l’historiquement correct (il devrait faire attention, ça peut mener loin!) :

    « Trois mois après le jour J, les Normands n’en peuvent plus des exactions des soldats qui les ont libérés. Retour sur un épisode méconnu.Des scènes de sauvagerie et de bestialité désolent nos campagnes. On pille, on viole, on assassine, toute sécurité a disparu aussi bien à domicile que par nos chemins. C’est une véritable terreur qui sème l’épouvante. L’exaspération des populations est à son comble. » Le 17 octobre 1944, quatre mois et demi après le Débarquement en Normandie, La Presse cherbourgeoise, quotidien local de Cherbourg, publie cette mise en garde sous le titre « Très sérieux avertissement ».

    À l’automne 44, ceux qui pillent, violent et assassinent sont les Américains : le journal accuse les libérateurs de se comporter en soudards dans un pays conquis. Comment un tel paradoxe deux mois après la fin des combats en Normandie ? »

    Suite sur le site du journal via contre-info

  • « À l’automne 1944, Français et troupes américaines au bord de l’affrontement »

    Publié par Guy Jovelin le 04 juin 2019

    Auteur : Rédaction

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    Félicitations au Point qui ose une enquête à rebours de l’historiquement correct (il devrait faire attention, ça peut mener loin!) :

    « Trois mois après le jour J, les Normands n’en peuvent plus des exactions des soldats qui les ont libérés. Retour sur un épisode méconnu.Des scènes de sauvagerie et de bestialité désolent nos campagnes. On pille, on viole, on assassine, toute sécurité a disparu aussi bien à domicile que par nos chemins. C’est une véritable terreur qui sème l’épouvante. L’exaspération des populations est à son comble. » Le 17 octobre 1944, quatre mois et demi après le Débarquement en Normandie, La Presse cherbourgeoise, quotidien local de Cherbourg, publie cette mise en garde sous le titre « Très sérieux avertissement ».

    À l’automne 44, ceux qui pillent, violent et assassinent sont les Américains : le journal accuse les libérateurs de se comporter en soudards dans un pays conquis. Comment un tel paradoxe deux mois après la fin des combats en Normandie ? »

    Suite sur le site du journal

    Source : contre-info