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halal

  • Halal-Casher : deux hontes françaises

    Publié par Guy de Laferrière le 18 avril 2024

    synthesenationale

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    Catherine Blein

    Ancien Conseiller régional de Bretagne, ancienne Présidente des Amis de Callac et de sa région

    Dans une tribune du Figaro, le 15 avril dernier, Brigitte Bardot renouvelle sa colère légitime contre l'abattage rituel, halal pour les musulmans, casher pour les juifs, abattage pratiqué dans les deux cas sans étourdissement préalable, et qui semble prendre possession progressivement de tous nos abattoirs.

    Cette pratique constitue l'une des exigences que les musulmans cherchent à nous imposer et si nous continuons à nous taire cela adviendra tout tranquillement (relisez Houellebecq ).

    Le droit européen interdit en principe ces pratiques particulièrement cruelles, mais bien évidemment, pour plaire aux 15% de musulmans, légaux ou illégaux, de notre pays, la France d'aujourd'hui toujours prête à se coucher, a demandé une dérogation, aussitôt acceptée !

    Et l'abattage halal, quasi inexistant il y a quarante ans, est en passe de se généraliser en France, par facilité, mollesse ou complaisance de nos élus et de nos dirigeants, et pour des raisons d'organisation simplifiée, donc moins onéreuse, dans les abattoirs.Toujours de nobles raisons...

    Le corollaire de l'extension de cette pratique étant le refus de l'étiquetage explicatif sur l'abattage des animaux, donc la traçabilité, laquelle révèlerait par exemple aux Franciliens qu'ils mangent tous de la viande halal, puisque dorénavant, et depuis déjà une bonne dizaine d'années, 100% des abattoirs d'Ile de France sont 100% halal !

    Outre la souffrance gratuite et intolérable que cette pratique d'un autre âge inflige à ces animaux, à une époque qui plus est où le thème de la souffrance animale est heureusement pris en compte dans beaucoup de domaines de réflexion, elle est aussi condamnable car extrêmement dangereuse pour la santé humaine.

    En effet, la gorge tranchée laisse s'écouler tout le contenu de l'estomac de l'animal et bien des infections bactériennes à l'Escherichia Coli, parfois mortelles, viennent de là.

    C'est le cas de nombre d'enfants ayant mangé du steak haché, lequel est en général constitué par la partie du « collier » de l'animal qui est ainsi souillée.

    Dès le début de mon mandat, en 2015 sous l'étiquette FN, j'avais attaqué sur cette question lors de l'une des sessions du Conseil régional de Bretagne .

    Le président d'alors, Jean Yves Le Drian, m'avait interrompue, ce qui ne se fait jamais, et m'avait fait huer par la bien-pensance socialiste majoritaire de l'hémicycle, mettant en doute mes propos, pourtant bien étayés. Je n'avais pas hésité à faire preuve d'autorité afin de faire taire ces gens et de terminer mon intervention mais ce comportement grégaire et borné m'avait permis de mesurer déjà à quel stade de soumission en étaient les élus socialistes et écolos.

    Bien évidemment, tous savaient que je ne disais que la vérité, mais le déni régnait déjà en maître et il fallait faire taire la dissidence!

    Nombre de mes informations m'avaient été transmises par notre ami Alain de Peretti, vétérinaire et Président de Vigilance Halal (1) qui se bat avec courage, constance et arguments juridiques pour faire fermer des abattoirs halal.

    Heureusement petit à petit certains Etats ou Régions prennent leurs distances avec ces pratiques. Ainsi la Région Wallonne en Belgique les a strictement interdites il y a peu.

    Au Sri Lanka l'abattage halal avait fini par s'imposer, de la même façon qu'il tente de s'imposer chez nous, mais les 70% de bouddhistes de l'île ont fini par se mettre très en colère, ils se sont révoltés contre cet état de fait, il y eut de nombreux morts et les musulmans, encore très minoritaires, avaient calé.

    Il n'y a plus, aujourd'hui, de halal au Sri Lanka et les 30% de musulmans continuent pourtant à se nourrir, ce qui prouve que le halal n'a rien d'obligatoire pour eux sur le plan religieux.

    En revanche, il constitue un marqueur de la charia que l'islam essaie de nous imposer, et l'accepter est ainsi le premier acte fou de soumission à celle-ci.

    L'abattage casher est exactement la même pratique, il existe en France depuis des décennies, il est pratiqué plus discrètement par une communauté qui, elle, ne cherche pas à nous l'imposer. Néanmoins il est tout aussi condamnable et doit être interdit. J'en appelle à Eric Zemmour qui a là une opportunité de nous manifester une fois de plus son respect pour notre Civilisation...

    J'ai, pour ma part, toutes les raisons de me battre contre cette pratique qui est en contradiction totale avec la Loi L214, votée en 2017, laquelle reconnaît que l'animal n'est pas une chose mais un être sensible, ce que je confirme !

    L'autre raison bien sûr est identitaire. L'abattage halal est un acte de mépris chaque jour renouvelé vis à vis de notre éthique de pays civilisé, il est une gifle à la Chrétienté qui a façonné ce pays dans sa noblesse et sa beauté et qui en reste l'âme.

    Nous faudra-t-il en arriver à une solution sri lankaise, en appui à une politique identitaire radicale ? pour ma part je l'appelle de mes voeux.

    (1) Le site de Vigilance Halal cliquez ici

  • O’Tacos, G La Dalle… Ces «bombes caloriques» XXL et 100 % halal qui cartonnent auprès des jeunes

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

    Ces chaînes ont connu un développement exponentiel en quelques années.

    Aux côtés des mastodontes américains McDonald’s ou Burger King, des chaînes de restauration rapide françaises comme O’Tacos ou G La Dalle, se répandent dans l’Hexagone et au-delà. Deux enseignes qui usent de la même stratégie pour séduire une clientèle jeune et populaire: des prix réduits pour des produits hypercaloriques avec des viandes 100 % halal, ainsi qu’une communication léchée sur les réseaux sociaux

    Facilement étiquetées « fast-food de banlieue » , elles ne renient pas leurs origines, mais refusent d’être « cataloguées ». « On ne peut pas nier que c’est en banlieue que nous avons commencé, c’est ce que nous étions au départ. Aujourd’hui, on est le fast-food de la jeunesse française. Les codes de la banlieue sont devenus ceux de la jeunesse tout entière. La plupart des restaurants  ferment d’ailleurs bien après minuit : 2 heures à Angers ou Bobigny, 3 heures à Dijon et même 4 heures à Aubervilliers ou Marseille. 

    Chez O’Tacos, comme chez G La Dalle, les produits sont par ailleurs composés à 100 % de viande halal, même si cette information n’est pas mise en avant. « Ce n’est pas un positionnement pour nous. Les fondateurs étaient de confession musulmane, pour eux c’était naturel, c’était leur façon de manger. Les gens qui ont besoin de le savoir le savent, les autres s’en fichent. On est dans l’inclusion mais pas dans le communautarisme » , explique Stéphane Cherel. « Eux ne communiquent pas sur ce sujet, mais le bouche-à-oreille le fait pour eux. Ils ont l’intelligence de ne pas trop insister sur ce côté-là pour ne pas rester sur une niche , analyse Marie-Ève Laporte.

    Le Figaro via fdesouche.com

  • Praud évoque un club de football (français ?) passé au 100% halal. Argument avancé : “Nous ne pouvons pas manger ce qui n’est pas halal, alors que les catholiques peuvent manger ce qui est halal”

    Publié par Guy de Laferrière le 14 novembre 2022

     

    Source : fdesouche
  • Le halal : le Grand Remplacement de nos pratiques sanitaires et alimentaires

    Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2021

    PAR  | 6 DÉCEMBRE 2021

    Le halal : le Grand Remplacement de nos pratiques sanitaires et alimentaires
     

    60 % des animaux de boucherie sont abattus selon le rite halal sans étourdissement préalable. Le Dr Alain de Peretti, vétérinaire, président de Vigilance halal, en souligne le quadruple danger : souffrance animale, risque sanitaire, financement de l’islamisation et contrôle des populations. Nos lecteurs pourront retrouver les analyses du Dr de Peretti dans L’islam sans voile : ouvrez les yeux, qui vient de paraître à la Nouvelle librairie, collection Cartouches de l’Institut Iliade), 7€.
    Polémia

    Les problèmes liés au halal

    L’abattage halal est en passe de devenir la règle, ce qui le différencie de manière fondamentale du casher (moins de 1% versus plus de 60% des cas).
    Ce mode d’abattage, régi par un système de dérogation, présente trois anomalies :
    a) Souffrance animale par non étourdissement.
    b) Énorme risque sanitaire du fait de la section de l’œsophage et de la trachée, interdits dans la méthode traditionnelle.
    c) Perception de sommes très importantes au profit de l’islam dans le cadre d’un un système opaque. Ces sommes mériteraient d’être tracées. Mme Baryza Khiari, vice-présidente LaREM du Sénat, lors d’une interview sur CNews en Décembre 2018, avait dit que les sommes très importantes du halal mériteraient d’être « tracées ». Le financement de groupes terroristes par l’intermédiaire de sociétés de charité islamique a été démontré aux USA et au Canada. En toute hypothèse c’est un moyen de financement de l’expansion islamique.
    d) C’est aussi un moyen de contrôle des populations.

    Le focus a été jusqu’à présent uniquement sur la souffrance animale.
    L’état des forces en présence fait que la liberté religieuse prévaudra toujours sur la souffrance animale, surtout vis-à-vis d’une population réputée ombrageuse…
    La question sanitaire par contre, dans notre système hygiéniste et régi par le principe de précaution a beaucoup plus d’efficacité en apportant des preuves scientifiques fortes et nombreuses.

    Les faits

    a) L’abattage rituel pratique une saignée par égorgement large, sectionnant toutes les structures anatomiques jusqu’aux vertèbres, artères carotides et jugulaires, mais aussi œsophage et trachée, avec régurgitations stomacales et inhalation de ces souillures (l’animal, encore conscient, respire). Sous l’effet du stress le sang gicle partout et se mélange aux déjections, urine et matières fécales.

    b) La méthode moderne consiste à saigner l’animal après étourdissement et suspension par 2 incisions précises de chaque côté de l’encolure épargnant l’œsophage et la trachée comme prévu par la législation. La saignée se fait proprement, du fait de la position verticale et le sang s’écoule dans une canalisation adaptée. Toutes opérations rendues possible par l’étourdissement.

    c) C’est donc une entorse grave aux principes de sécurité sanitaire, comme le préconise le règlement européen : CEE 853/2004, annexe, chapitre IV intitulé Hygiène de l’abattage, paragraphe 7, alinéa (a) : « LA TRACHÉE ET L’ŒSOPHAGE DOIVENT RESTER INTACTS LORS DE LA SAIGNÉE « (avec une dérogation pour l’abattage rituel….).

    d) On constate depuis 2005 et la généralisation progressive de l’abattage halal une augmentation régulière des cas de SHU (syndrome hémolytique et urémique) provoqué par la bactérie Escherichia Coli, maladie très grave et souvent mortelle chez les enfants et personnes immunodéprimées. Or ce sont ces groupes qui consomment le plus de steaks hachés, vecteur principal des cas de toxi infection. On voit de plus en plus la mention « bien cuire à cœur » sur les steaks surgelés du commerce, les industriels cherchant à se couvrir en cas de problème.

    e) Les autorités de santé ont constaté ces dernières années une forte augmentation des cas d’antibio-résistance en médecine humaine avec prédominance de souches d’origine animale. Or l’antibio-résistance est considéré comme le plus gros problème pour l’avenir de la médecine. L’hygiène de l’abattage influe obligatoirement sur ces phénomènes.

    L’angle sanitaire est donc indiscutable pour imposer une remise en cause de l’abattage halal. L’État est parfaitement dans son rôle qui est d’assurer la sécurité des citoyens. Il ne semble pas inenvisageable pour les religions de faire une mise à jour tenant compte des données scientifiques et de l’évolution des esprits. Accepterions-nous, au motif de la liberté religieuse, des sacrifices humains comme cela se pratiquaient dans les religions précolombiennes ?

    Et enfin, et surtout, l’abattage halal, comme le voile, ainsi que toutes les obligations liées à l’orthopraxie islamique (ramadan et autres prescriptions) sont des moyens puissants de contrôle social et de réislamisation : tout cela est bien décrit sur le site de l’ISESCO (Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture) dans la page stratégie pour les populations musulmanes en terre non musulmane. Nous sommes là au cœur notre combat et pour l’assimilation et notre identité. Lors de la visite d’Éric Zemmour à Drancy, d’ailleurs, dans une boucherie halal, le boucher a de façon très claire avoué qu’il n’y avait plus de « boucherie française » dans le quartier.

    Dr Alain de Peretti
    06/12/2021

     

  • Dramatique : le Blanc soumis qui ne “voit pas le problème” à manger halal avec ses amis maghrébins (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    Posté par Eric Martin  Il y a 8 heures

    Dramatique : le Blanc soumis qui ne “voit pas le problème” à manger halal avec ses amis maghrébins (VIDÉO)

     

    Ce type doit voter La France Insoumise :