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halal

  • O’Tacos, G La Dalle… Ces «bombes caloriques» XXL et 100 % halal qui cartonnent auprès des jeunes

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

    Ces chaînes ont connu un développement exponentiel en quelques années.

    Aux côtés des mastodontes américains McDonald’s ou Burger King, des chaînes de restauration rapide françaises comme O’Tacos ou G La Dalle, se répandent dans l’Hexagone et au-delà. Deux enseignes qui usent de la même stratégie pour séduire une clientèle jeune et populaire: des prix réduits pour des produits hypercaloriques avec des viandes 100 % halal, ainsi qu’une communication léchée sur les réseaux sociaux

    Facilement étiquetées « fast-food de banlieue » , elles ne renient pas leurs origines, mais refusent d’être « cataloguées ». « On ne peut pas nier que c’est en banlieue que nous avons commencé, c’est ce que nous étions au départ. Aujourd’hui, on est le fast-food de la jeunesse française. Les codes de la banlieue sont devenus ceux de la jeunesse tout entière. La plupart des restaurants  ferment d’ailleurs bien après minuit : 2 heures à Angers ou Bobigny, 3 heures à Dijon et même 4 heures à Aubervilliers ou Marseille. 

    Chez O’Tacos, comme chez G La Dalle, les produits sont par ailleurs composés à 100 % de viande halal, même si cette information n’est pas mise en avant. « Ce n’est pas un positionnement pour nous. Les fondateurs étaient de confession musulmane, pour eux c’était naturel, c’était leur façon de manger. Les gens qui ont besoin de le savoir le savent, les autres s’en fichent. On est dans l’inclusion mais pas dans le communautarisme » , explique Stéphane Cherel. « Eux ne communiquent pas sur ce sujet, mais le bouche-à-oreille le fait pour eux. Ils ont l’intelligence de ne pas trop insister sur ce côté-là pour ne pas rester sur une niche , analyse Marie-Ève Laporte.

    Le Figaro via fdesouche.com

  • Praud évoque un club de football (français ?) passé au 100% halal. Argument avancé : “Nous ne pouvons pas manger ce qui n’est pas halal, alors que les catholiques peuvent manger ce qui est halal”

    Publié par Guy de Laferrière le 14 novembre 2022

     

    Source : fdesouche
  • Le halal : le Grand Remplacement de nos pratiques sanitaires et alimentaires

    Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2021

    PAR  | 6 DÉCEMBRE 2021

    Le halal : le Grand Remplacement de nos pratiques sanitaires et alimentaires
     

    60 % des animaux de boucherie sont abattus selon le rite halal sans étourdissement préalable. Le Dr Alain de Peretti, vétérinaire, président de Vigilance halal, en souligne le quadruple danger : souffrance animale, risque sanitaire, financement de l’islamisation et contrôle des populations. Nos lecteurs pourront retrouver les analyses du Dr de Peretti dans L’islam sans voile : ouvrez les yeux, qui vient de paraître à la Nouvelle librairie, collection Cartouches de l’Institut Iliade), 7€.
    Polémia

    Les problèmes liés au halal

    L’abattage halal est en passe de devenir la règle, ce qui le différencie de manière fondamentale du casher (moins de 1% versus plus de 60% des cas).
    Ce mode d’abattage, régi par un système de dérogation, présente trois anomalies :
    a) Souffrance animale par non étourdissement.
    b) Énorme risque sanitaire du fait de la section de l’œsophage et de la trachée, interdits dans la méthode traditionnelle.
    c) Perception de sommes très importantes au profit de l’islam dans le cadre d’un un système opaque. Ces sommes mériteraient d’être tracées. Mme Baryza Khiari, vice-présidente LaREM du Sénat, lors d’une interview sur CNews en Décembre 2018, avait dit que les sommes très importantes du halal mériteraient d’être « tracées ». Le financement de groupes terroristes par l’intermédiaire de sociétés de charité islamique a été démontré aux USA et au Canada. En toute hypothèse c’est un moyen de financement de l’expansion islamique.
    d) C’est aussi un moyen de contrôle des populations.

    Le focus a été jusqu’à présent uniquement sur la souffrance animale.
    L’état des forces en présence fait que la liberté religieuse prévaudra toujours sur la souffrance animale, surtout vis-à-vis d’une population réputée ombrageuse…
    La question sanitaire par contre, dans notre système hygiéniste et régi par le principe de précaution a beaucoup plus d’efficacité en apportant des preuves scientifiques fortes et nombreuses.

    Les faits

    a) L’abattage rituel pratique une saignée par égorgement large, sectionnant toutes les structures anatomiques jusqu’aux vertèbres, artères carotides et jugulaires, mais aussi œsophage et trachée, avec régurgitations stomacales et inhalation de ces souillures (l’animal, encore conscient, respire). Sous l’effet du stress le sang gicle partout et se mélange aux déjections, urine et matières fécales.

    b) La méthode moderne consiste à saigner l’animal après étourdissement et suspension par 2 incisions précises de chaque côté de l’encolure épargnant l’œsophage et la trachée comme prévu par la législation. La saignée se fait proprement, du fait de la position verticale et le sang s’écoule dans une canalisation adaptée. Toutes opérations rendues possible par l’étourdissement.

    c) C’est donc une entorse grave aux principes de sécurité sanitaire, comme le préconise le règlement européen : CEE 853/2004, annexe, chapitre IV intitulé Hygiène de l’abattage, paragraphe 7, alinéa (a) : « LA TRACHÉE ET L’ŒSOPHAGE DOIVENT RESTER INTACTS LORS DE LA SAIGNÉE « (avec une dérogation pour l’abattage rituel….).

    d) On constate depuis 2005 et la généralisation progressive de l’abattage halal une augmentation régulière des cas de SHU (syndrome hémolytique et urémique) provoqué par la bactérie Escherichia Coli, maladie très grave et souvent mortelle chez les enfants et personnes immunodéprimées. Or ce sont ces groupes qui consomment le plus de steaks hachés, vecteur principal des cas de toxi infection. On voit de plus en plus la mention « bien cuire à cœur » sur les steaks surgelés du commerce, les industriels cherchant à se couvrir en cas de problème.

    e) Les autorités de santé ont constaté ces dernières années une forte augmentation des cas d’antibio-résistance en médecine humaine avec prédominance de souches d’origine animale. Or l’antibio-résistance est considéré comme le plus gros problème pour l’avenir de la médecine. L’hygiène de l’abattage influe obligatoirement sur ces phénomènes.

    L’angle sanitaire est donc indiscutable pour imposer une remise en cause de l’abattage halal. L’État est parfaitement dans son rôle qui est d’assurer la sécurité des citoyens. Il ne semble pas inenvisageable pour les religions de faire une mise à jour tenant compte des données scientifiques et de l’évolution des esprits. Accepterions-nous, au motif de la liberté religieuse, des sacrifices humains comme cela se pratiquaient dans les religions précolombiennes ?

    Et enfin, et surtout, l’abattage halal, comme le voile, ainsi que toutes les obligations liées à l’orthopraxie islamique (ramadan et autres prescriptions) sont des moyens puissants de contrôle social et de réislamisation : tout cela est bien décrit sur le site de l’ISESCO (Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture) dans la page stratégie pour les populations musulmanes en terre non musulmane. Nous sommes là au cœur notre combat et pour l’assimilation et notre identité. Lors de la visite d’Éric Zemmour à Drancy, d’ailleurs, dans une boucherie halal, le boucher a de façon très claire avoué qu’il n’y avait plus de « boucherie française » dans le quartier.

    Dr Alain de Peretti
    06/12/2021

     

  • Dramatique : le Blanc soumis qui ne “voit pas le problème” à manger halal avec ses amis maghrébins (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    Posté par Eric Martin  Il y a 8 heures

    Dramatique : le Blanc soumis qui ne “voit pas le problème” à manger halal avec ses amis maghrébins (VIDÉO)

     

    Ce type doit voter La France Insoumise :

  • Musulmans et Juifs s’inquiètent : le vaccin anti-Covid est-il halal et casher ?

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2021

     
     
    Les télévisions belges RTBF et VRT font état d’un débat éthique qui se développe dans les communautés musulmanes et juives au sujet du vaccin contre le Covid-19.

    Beaucoup de musulmans de Belgique s’interrogent. Est-ce que se faire vacciner pendant le ramadan est considéré comme une “entorse au jeûne” ? Et surtout ces vaccins sont-ils halal ?

    Le doute sur l’éventuelle présence de gélatine de porc dans les vaccins contre le coronavirus est né notamment suite à une demande du président indonésien Joko Widodo en juillet 2020. Il avait exhorté le Conseil théologique de son pays à examiner en profondeur le vaccin chinois contre le coronavirus Sinovac pour lequel le pays avait déjà passé commande.

    La plus haute instance islamique du pays a déclaré en janvier que le vaccin chinois était “halal”. Mais les musulmans vivant en Europe se posent la question au sujet des vaccins utilisés chez nous.

    D’autre part, les campagnes de vaccination vont prendre plusieurs mois dans les différents pays d’Europe et vont donc chevaucher le mois de ramadan (qui débutera à la mi-avril).

    Certains vaccins peuvent en effet contenir de la gélatine de porc, ce qui est de nature à contrarier tant les musulmans pratiquants que les juifs pratiquants..

    En raison des compositions différentes des différents vaccins qui sont utilisées dans le monde entier, le débat oppose les théologiens musulmans  dans plusieurs pays.

    La controverse fait également rage au sein de certaines communautés juives au sujet des vaccins et de la gélatine. Septante médecins juifs britanniques ont signé une lettre ouverte à la fin de l’année dernière. Ils y ont affirmé que le vaccin Pfizer-BioNTech était casher et ne rendait pas infertile.

     

    Source : medias-presse.info