Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

haute-garonne - Page 4

  • La liste des quartiers sensibles de Haute-Garonne

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Place des Faons Toulouse quartiers sensibles
    Bâtiment de la place des faons dans le quartier des Izards à Toulouse.

    La liste des quartiers sensibles a été mise à jour. En Haute-Garonne, pas moins de six zones sont définis par le ministère de la Ville. 

    Toulouse et Cugnaux sont principalement concernés par la liste établie par le ministère de la Ville. Six zones sont définies comme quartiers sensibles où délinquance, violences urbaines, règlements de compte, viols, trafics de drogue ou d’armes, ou encore implantation de l’islamisme bénéficient d’un terreau favorable. 

    Des quartiers où la vie est de plus en plus rythmée par les délinquants, et où la police est régulièrement prise pour cible par les trafiquants en tout genre. Des émeutes ont même éclatées épisodiquement dans ces territoires qualifiés de « non-droit » par une partie de la classe politique. Un climat dont les premières victimes sont les habitants eux-mêmes, souvent forcés de chercher à aller vivre ailleurs par tous les moyens possibles. 

    Les quartiers sensibles en Haute-Garonne

    Classés en quatre niveaux, selon la gravité de la situation, Toulouse compte pas moins de cinq zones répertoriées.

    Niveau 1:
    Toulouse: le Grand Mirail (Reynerie-Bellefontaine-Faourette-Bagatelle-Bordelongue)

    Niveau 2:
    Toulouse: Empalot
    Toulouse: les Izards

    Niveau 4:
    Cugnaux: Vivier
    Toulouse: Bourbaki
    Toulouse: Ginestous

    Lire aussi : On lui doit les quartiers du Mirail et d’Empalot

    Ailleurs en Occitanie 

    11 AUDE
    Niveau 2:
    Carcassonne: la Conte
    Carcassonne: Ozanam
    Niveau 3:
    Carcassonne: Cité saint Jacques
    Narbonne: Razimbaud

    30 GARD
    Niveau 1:
    Nimes: ZUP Pissevin-Valdegour
    Niveau 2:
    Nimes: Mas de Mingue
    Nimes: Chemin bas d’Avignon
    Niveau 3:
    Ales: les Cevennes-Prés saint Jean
    Niveau 4:
    Bagnols sur Cèze: les Escanaux
    Beaucaire: Centre
    Saint Gilles: Sabatot

    32 GERS
    Niveau 4:
    Auch: ZUP Garros

    34 HERAULT
    Niveau 1:
    Montpellier: la Paillade-Hauts de Massane
    Niveau 2:
    Beziers: la Deveze
    Montpellier: le Petit Bard-Pergola
    Sète: Ile de Thau
    Niveau 3:
    Béziers: les Arènes
    Montpellier: Cité Gely
    Montpellier: les Cevennes
    Niveau 4:
    Béziers: Centre-Faubourg
    Frontignan: Quartier Nord
    Lunel: la Roquette
    Montpellier: Pas du Loup-Val de Croze-Paul Valéry

    65 HAUTE PYRENEES
    Niveau 3:
    Tarbes: Laubadere

    81 TARN
    Niveau 3:
    Castres: Laden-Petit Train
    Niveau 4:
    Albi: Cantepau
    Albi: Lapanouse-Saint Martin
    Carmaux: Quartiers Nord (Cambous-Cerou-Europe)
    Castres: Aillot-Bisséous
    Gaillac: Vieux Gaillac

    82 TARN ET GARONNE
    Niveau 4:
    Montauban: les Chenes

    La rédaction d’Infos-Toulouse.

  • Les agriculteurs déversent 20 tonnes de fumier devant la permanence du député Monique Iborra

    Publié par Guy Jovelin le 02 août 2019

    Auteur : Michel Janva

    Les agriculteurs déversent 20 tonnes de fumier devant la permanence du député Monique Iborra

    Les agriculteurs de la FDSEA 31 déversent 20 tonnes de fumier devant la permanence du député LREM Monique Iborra à Tournefeuille près de Toulouse. Une action qu’ils comptent mener devant toutes les permanences des députés qui ont voté le CETA.

     

    France Bleu Occitanie @bleuoccitanie
    Vidéo intégrée
     
     
    FDSEA Haute-Garonne@FDSEA31
     

    Voici les députés de Haute-Garonne qui veulent nous faire manger une alimentation non sécurisée !
    Dites NON au CETA et NON au MERCOSUR !!!

    Voir l'image sur Twitter
     
     
    La FNSEA @FNSEA
     

    « La violence ce sont les agriculteurs qui la vivent en ce moment ; il n’y a pas de violence vis-à-vis des parlementaires, il y a une démonstration de la situation de difficulté que vivent les agriculteurs. » @JeromeDespey SG FNSEA au @France2tv

    Vidéo intégrée
     
    Source  :  lesalonbeige
  • Les routes secondaires de Haute-Garonne « pourraient revenir à 90km/h »

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2019

     
    90 km/h
    L’Assemblée nationale a validé l’article du projet de loi mobilité, jeudi 6 juin au soir, permettant de rétablir à 90 km/h les routes secondaires en France. 

    La limitation à 80 km/h sur toutes les routes secondaires n’aura duré qu’un an. Appliquée depuis le 1er juillet 2018, l’abaissement de la vitesse autorisée sur le réseau secondaire a été l’un des déclencheurs de la révolte des Gilets jaunes. Jeudi 6 juin, les députés ont voté l’autorisation de rendre à ces routes leur limitation initiale, soit 90 km/h. 

    La décision reviendra aux présidents de départements et aux maires des communes et ne concernera pas les routes nationales. Libre à chaque département de définir si les routes sont limitées à 80 ou 90 km/h. 

    Du cas par cas en Haute-Garonne

    En Haute-Garonne, le conseil départemental « prend acte » du vote des parlementaires. Selon Christian Sans, vice-président du conseil départemental en charge des routes, qui s’exprime dans La Dépêche, « les élus départementaux s’étaient exprimés en faveur d’une application différenciée en fonction du degré de dangerosité du réseau routier », lors d’une session le 27 mars 2018. Les 6 300 kilomètres du réseau routier de Haute-Garonne pourraient donc voir leur limitation de vitesse par défaut « revenir à 90 km/h sauf pour les zones accidentogènes reconnues ». Christian Sans précise qu’elles seront définit avec les services de l’État, « sur la base de statistiques d’accident ou des caractéristiques du réseau routier »

    Lire aussi : Les députés peuvent-ils comprendre les revendications des Gilets Jaunes ?

    Dans les départements voisins

    Dans les Hautes-Pyrénées, le président du conseil départemental, Michel Pélieu s’est déclaré à La Dépêche« favorable au principe du retour à 90 km/h sur plusieurs itinéraires structurants des Hautes-Pyrénées ». Il entrera en « concertation » avec ses homologues du Gers et des Pyrénées-Atlantiques, dont leurs intentions ne sont pas encore publiques. Le département de l’Aveyron devrait également revoir certaines de ses routes repasser à 90 km/h, mais « pas partout », a indiqué Jean-François Galliard au quotidien. 

    L’Aude, l’Ariège ou encore le Lot n’ont pas encore pris de décisions définitives. Ils devraient se positionner dans les semaines à venir. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Haute-Garonne : un migrant intercepté en pleine nuit sur l’autoroute, à vélo et en pantoufles. Il comptait se rendre à Marseille

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2019

    Par  le 05/05/2019

    Il voulait se rendre de Toulouse à Marseille et a choisi l’itinéraire le plus rapide : l’autoroute A61. Sauf qu’il était à vélo, dans la nuit, et pas vraiment dans des conditions optimales pour pédaler puisqu’il était chaussé de pantoufles. […] Les gendarmes ont établi que le voyageur était en situation irrégulière sur le territoire. […]

    [VIE DES UNITES]Le 2 mai a 23h, les gendarmes du PMo de Villefranche de Lauragais interviennent pour une personne…

    Posted by Gendarmerie de la Haute-Garonne on Friday, May 3, 2019

    20 Minutes via fdesouche