Publié par Guy Jovelin le 27 août 2020
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Publié par Guy Jovelin le 27 août 2020
Publié par Guy Jovelin le 26 août 2020
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Prévu les 5 et 6 septembre à Paris (Espace Champerret), ce salon vise à promouvoir la GPA et la ROPA, procédés interdits en France. Le business de la procréation est un marché sordide qui n’a pas sa place au pays des Droits de l’Homme. Le gouvernement doit donc interdire ce salon contraire à la dignité des femmes et des enfants.
« La GPA en toute sécurité », « Le contrôle des coûts de la GPA : Réduire le stress et se sentir en confiance », « large gamme de traitements pour les femmes célibataires et les partenaires de même sexe comme la FIV ou la ROPA (Réception des Ovocytes de la Partenaire) », GPA : « Quels aspects importants les couples doivent-ils connaître pour choisir entre une clinique et une agence ? »... Les intitulés et présentations des conférences ne laissent aucun doute sur l’objectif de promotion du business de la GPA, de la ROPA et de la PMA sans père. Cette dernière reste également interdite en France à ce jour puisque l’examen du projet de loi bioéthique est loin d’être terminé.
Ludovine de La Rochère souligne :
« Alors que le gouvernement et la majorité entretiennent le flou en soufflant le chaud et le froid autour de la GPA pour mieux faire passer la PMA sans père, ce salon arrive à point nommé : c’est l’occasion pour le gouvernement de passer de la parole aux actes. Les femmes ne sont pas à louer, qu’elles soient françaises ou d’autres pays, et les enfants ne sauraient faire l’objet d’un trafic. La GPA est contraire à la dignité des femmes et des enfants. Elle doit donc continuer à être interdite en France. Le maintien de ce salon serait le signe d’une volonté du gouvernement d’avancer vers la banalisation et la légalisation de la GPA, c’est-à-dire le recours aux mères porteuses. L’exploitation reproductive est une nouvelle forme d’esclavage des femmes, inacceptable évidemment, quelles que soient ses modalités ».
La Manif Pour Tous étudie par ailleurs les recours juridiques possibles en vue de l’interdiction de ce salon par voie judiciaire si le gouvernement laisse faire et se plie devant les intérêts commerciaux gigantesques du business sordide de la procréation (GPA, ROPA, PMA sans père, choix du sexe, etc).
Le gouvernement, qui avait trouvé le temps de faire voter la loi de bioéthique un 1er août, n’en trouve pas pour préparer son plan de relance…
Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2020
À Strasbourg, 400 personnes ont assisté à un match de football inter-quartiers organisé illégalement.
Une patrouille de police est intervenue mais n’a pas pu empêcher le match.#CameliaJordana va sûrement nous expliquer que ces gens craignent la police ...
En toute illégalité, entre 300 et 400 personnes ont assisté à un match de football entre le Neuhof et Hautepierre, deux quartiers de Strasbourg, au stade Paco-Mateo du club Joie et Santé Koenigshoffen (JSK), dimanche 24 mai. Une rencontre annoncée quelques jours plus tôt sur Facebook et aussitôt condamnée par Serge Oehler, adjoint au maire de Strasbourg, et qui a également promis des sanctions.
Le plan de déconfinement progressif initié le 11 mai dernier pour éviter la propagation du coronavirus interdit les rassemblements de plus de 10 personnes au moins jusqu’au 1er juin partout sur le territoire. Une situation évolutive en fonction du contexte sanitaire.
Strasbourg meilleur ambiance que votre Paname là pic.twitter.com/yuvLumj7s9
— ?????? (@Yunss67) May 24, 2020
Sur place, la police municipale est intervenue, mais n’a pas pu empêcher la tenue de l’événement. « Nous avons des vidéos, nous allons vérifier et il y aura des sanctions », a prévenu Serge Oehler sur France Bleu dimanche soir. L’adjoint a expliqué que des responsables de clubs amateurs ont été rappelés à l’ordre ces derniers jours par la municipalité ainsi que par le district d’Alsace de football, parce que « plusieurs entraînements se sont tenus malgré l’interdiction ». La commune est allée jusqu’à retirer les buts de plusieurs stades strasbourgeois, par précaution.
Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2020
Samedi soir, 16 mai, une centaine de personnes étaient rassemblées au stade Soufflot, également appelé stade Virgile Dufosse, à Amiens pour un match de foot. Un rassemblement interdit puisque la pratique des sports collectifs en extérieur n’est toujours pas autorisée. Selon france3-regions, la police est intervenue dans un climat hostile. Selon Le Courrier picard « la Police nationale et les agents de la Ville ne sont pas intervenus ».
Ça a beau être grand un terrain de foot, difficile de garder ses distances avec les autres quand on est un spectateur campé derrière les barrières en béton typiques de stades de quartier. […]
Alertée par des habitants, la police nationale est venue une première fois sur place pour disperser ce rassemblement interdit. Les sports collectifs ne sont en effet toujours pas autorisés par les règles du déconfinement, même pratiqués en extérieur. « Deux équipages sont arrivés sur place pour constater la réalité de ce rassemblement, nous explique-t-on au commissariat d’Amiens. Cette première intervention s’est faite dans un contexte très hostile. Les agents sont donc revenus avec davantage d’effectifs. On a alors dispersé tout le monde dans le calme« . Et d’ajouter : « on ne tolèrera pas que tels rassemblements se reproduisent. On ne tolèrera pas que des gens, par leur inconscience, mettent en péril la santé des autres« .
Voir Le Courrier-picard
Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2020
Le préfet de l’Aisne Ziad Khoury a pris un arrêté visant à interdire la vente d’alcool dans son département, selon les informations de l’Union. « Il s’agit d’éviter les rassemblements et surtout les violences intra-familiales, qui pourraient être la conséquence d’une consommation abusive d’alcool », a-t-il expliqué. Il a également annoncé la fermeture des commerces à 20 heures. Dans l’Aisne, 22 personnes sont décédées du coronavirus depuis le début de l’épidémie.