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israël - Page 6

  • Face à Omicron, Israël décide d’abandonner presque complètement le pass sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2022

    Depuis ce lundi, les gens ont à prouver qu’ils ont été vaccinés ou guéris uniquement lorsqu’ils assistent à des événements majeurs, tels que des mariages. Chacun peut dès à présent aller au restaurant, au cinéma ou à l’hôtel sans avoir à montrer un document attestant qu’il s’est remis ou qu’il a été vacciné contre le coronavirus.

    Le changement de règle signifie également que les personnes non vaccinées n’ont plus à prouver qu’elles ont été testées négatives lorsqu’elles quittent Israël.

    L’assouplissement intervient malgré l’hospitalisation actuelle de plus de 1 200 personnes pour une infection au Covid-19, le nombre le plus élevé depuis le début de la pandémie dans ce pays de 9,4 millions d’habitants.

    La vague provoquée par le variant omicron a atteint son pic il y a environ deux semaines, avec notamment un chiffre de 85 000 nouveaux cas en une seule journée. Hier/dimanche, 33 394 nouveaux cas ont été signalés.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Israël, l’un des premiers pays à avoir vacciné sa population, bat un record de décès quotidiens

    Publié par Guy Jovelin le 04 février 2022

    Israël, l’un des premiers pays à avoir vacciné sa population, bat un record de décès quotidiens

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    La Dépêche serait devenu un journal complotiste ?

    En moyenne, 60 décès de patients Covid sont recensés chaque jour en Israël, d’après le site Our World in Data.

    Des chiffres qui interrogent alors qu’Israël était présenté comme le pionnier mondial de la vaccination contre le Covid-19. La très grande majorité des adultes ont reçu trois doses et la campagne de quatrièmes injections pour les plus de 60 ans a démarré début janvier.

    C’est pourquoi, en janvier, le gouvernement israélien avait choisi d’alléger les restrictions. Toutefois, la part de malades infectés par le Covid mais hospitalisés pour un autre motif a augmenté ces dernières semaines en Israël.

    “Une grande partie de la population hospitalisée va être infectée avec Omicron, et une partie d’entre elles va décéder. Mais distinguer les décès à cause du Covid et ceux avec le Covid comme facteur aggravant (ou pas), cela prendra du temps”, indique à nos confrères du Parisien Michaël Edelstein, épidémiologiste à l’Université Bar-Ilan de Tel-Aviv.

    Après deux injections, les études montrent que l’efficacité des vaccins diminue au fil des mois, y compris contre les formes graves. Une efficacité mise à mal face aux variants, dont Omicron. Pfizer a d’ailleurs lancé un essai clinique pour un vaccin contre le variant Omicron du Covid-19.

    Concernant les quatrièmes doses, elles ont déjà été administrées à plus de 600 000 habitants âgés ou fragiles en Israël. Mais le succès n’est pas là.

     

    Source : lesalonbeige

  • En Israël des experts sanitaires appellent à l’annulation du passeport vert

    Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2022

    Selon certains experts sanitaires, le passeport sanitaire serait même devenu « dangereux »

    Alors que la validité légale du passeport vert en Israël expire à la fin du mois de janvier, son utilité est de plus en plus remise en question.

    De nombreux experts sanitaires appellent à son annulation, affirmant qu’il est devenu obsolète étant donné que le fait d’avoir été déjà contaminé ne protège pas d’une infection contre le variant Omicron.

    Selon eux, le passeport sanitaire serait même devenu « dangereux », en raison du fait que dans les endroits où il est requis, les gens se sentent en relative sécurité et négligent les gestes barrières.

    Ces lieux seraient donc propices aux contaminations d’après les experts, qui recommandent d’exiger un test négatif en plus du passeport vert notamment à l’entrée des maisons de retraite.

    Plus de 83.000 nouveaux cas ont été recensés en 24h et le taux de positivité dépasse les 23%, un nouveau record depuis le début de la pandémie. Selon les spécialistes, le pic de la vague actuelle d’Omicron est attendu d’ici la fin de semaine.

    Plus de deux millions d’Israéliens ont été officiellement infectés par le coronavirus depuis son apparition mais selon les scientifiques, plus de trois millions l’auraient en réalité déjà contracté. Un nombre qui pourrait même atteindre les quatre millions, d’après les prévisions.

     

  • Sous la direction d’Israël, un « jeu de guerre » financier mondial simule l’impact perturbateur potentiel d’une cyberattaque

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2021

    Les États-Unis et le Royaume-Uni faisaient partie des 10 pays participant à une simulation organisée par Israël présentant des scénarios susceptibles de provoquer un chaos majeur pour le système monétaire.

    Israël a dirigé une initiative de 10 pays au début du mois qui a simulé une cyberattaque financière mondiale visant à créer un scénario réel qui pourrait résulter de la panique et du chaos engendrés.

    L’exercice s’appelait « Collective Strength » et s’est déroulé début décembre. Le « jeu de guerre » mondial comprenait du personnel du Trésor de 10 pays – Israël, États-Unis, Royaume-Uni, Émirats arabes unis, Autriche, Suisse, Allemagne, Italie, Pays-Bas et Thaïlande – ainsi que des représentants du Fonds monétaire international, de la Banque mondiale et de la Banque des règlements internationaux.

    Reuters a rapporté que les participants avaient assisté à la projection d’un film dans le cadre de la simulation d’un système financier mondial paralysé.

    « Les banques demandent une aide d’urgence en liquidités dans une multitude de devises pour mettre un terme au chaos alors que les contreparties retirent leurs fonds et limitent l’accès aux liquidités, laissant les banques dans le désarroi et la ruine », commentait le narrateur du film projeté.

    Cette simulation évoquait diverses attaques, notamment des violations des marchés des changes et des obligations, ainsi que la sécurité des données partagées entre les importateurs et les exportateurs du monde entier.

    Si une telle attaque devait avoir lieu, les participants ont averti que les gens ne pourraient pas accéder à leurs fonds et actifs électroniques pendant un certain temps, ce qui conduirait à une situation où les achats seraient effectivement arrêtés. La plupart des transactions financières étant liées à la technologie Internet et impliquant des informations sécurisées, telles que les cartes de crédit et PayPal, toute violation majeure provoquerait un chaos absolu.

    Comme solutions potentielles à un tel scénario, les responsables participants ont suggéré des mesures telles qu’un jour férié coordonné au niveau mondial, des délais de grâce pour le remboursement de la dette et une dissociation coordonnée des principales devises.

    Un cyber-responsable financier israélien a déclaré qu’une telle attaque ne pouvait être menée que par des « attaquants sophistiqués ».

    Une aide d’urgence en liquidités dans une multitude de devises entraînerait d’importantes impressions de monnaie. Imprimer de l’argent à des taux élevés peut contribuer à l’hyperinflation. À la suite des mesures de confinement et des mesures d’assouplissement quantitatif qui ont eu lieu depuis l’avènement de l’officielle pandémie Covid, une inflation record a été observée aux États-Unis.

    En novembre, l’indice des prix à la consommation (IPC), une mesure importante de l’inflation, a grimpé à 6,8 % en glissement annuel, et l’IPC de base, qui n’inclut pas les aliments et l’énergie, a atteint 4,9 % en glissement annuel. Ces hausses de ces taux sont les plus rapides enregistrées en 39 ans.

     

    Source : medias-presse.info

  • Israël autorise une agence d’espionnage à accéder aux données des téléphones portables privés « pour surveiller Omicron »

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2021

    Les Israéliens qui ont été testés positifs au variant Omicron du COVID-19 verront leurs mouvements et leurs contacts personnels suivis par l’agence d’espionnage nationale du pays au moins jusqu’à vendredi, a rapporté le New York Times.

    Cette décision intervient après le lancement par Israël d’un scénario de « jeu de guerre » d’une journée au début du mois pour proposer des stratégies pour lutter contre « un nouveau variant mortel du COVID-19 », avec simulation de la mise en œuvre de nouveaux blocages, couvre-feux et rappels de campagnes de « vaccination ».

    « Nous avons en effet atteint un point où nous avons besoin d’un ‘Big Brother’ pour savoir où nous allons », a déclaré le professeur de criminologie Limor Yehuda dans un article publié lundi dans Maariv, un journal israélien.

    Selon le Times, l’agence de renseignement israélienne, le Shin Bet, a temporairement eu accès aux données téléphoniques privées des citoyens israéliens lorsque le cabinet du pays a voté dimanche pour autoriser cette décision en vertu de la législation d’urgence.

    Le média israélien Haaretz a rapporté que « les personnes soupçonnées d’avoir été en contact avec un patient omicron » via l’analyse des données de leur téléphone portable « seront invitées à se rendre immédiatement à la station de test la plus proche pour déterminer si elles étaient réellement infectées ».

    L’autorisation de surveillance par l’agence d’espionnage pourrait être prolongée plus longtemps que la fin de la semaine si le parlement israélien votait pour autoriser une prolongation de deux semaines. Un vote sur la question devrait se dérouler au plus tard cette semaine.

    Une porte-parole du Premier ministre israélien Naftali Bennett a déclaré au Times que la nouvelle législation, si elle est approuvée, pourrait permettre le renouvellement indéfini des pouvoirs de surveillance du Shin Bet toutes les deux semaines.

    L’avocat des droits civiques Gil Gan-Mor a critiqué la décision d’employer des agences de renseignement pour espionner des citoyens privés, une tactique utilisée par Israël l’année dernière au début de l’épidémie de COVID-19.

    « Aucun autre pays démocratique n’a choisi d’utiliser son service de sécurité pour suivre les gens« , a écrit Gan-Mor à Maariv lundi, qualifiant le retour de l’exploitation des données des téléphones portables de « décision terrible et illégale« .

    Selon le Times, « la réponse rapide d’Israël à la découverte du nouveau variant du virus a été influencée en partie par un « jeu de guerre » à l’échelle du gouvernement organisé plus tôt en novembre. »

    Ce soi-disant scénario de « jeu de guerre » d’Israël , selon le gouvernement, consistait en « des préparatifs pour le déclenchement d’une nouvelle variante mortelle du COVID-19 ».

    Nommé d’après une nouvelle souche fictive du coronavirus, le soi-disant « exercice Omega » a été annoncé le 10 novembre sur le site officiel du gouvernement israélien et a eu lieu le lendemain au Centre national de gestion d’Israël à Jérusalem.

    L’exercice d’une journée s’est déroulé en trois sessions conçues pour simuler le passage entre divers scénarios, y compris les mesures de confinement et de quarantaine, la fermeture des écoles, les restrictions de rassemblement, les couvre-feux, les tests de masse, les campagnes de rappel de vaccins, etc.

    Selon le Times, « de hauts responsables ont simulé comment ils réagiraient à un scénario fictif qui présentait des similitudes frappantes avec ce qui se passe réellement actuellement ».

    On ne sait pas si la stratégie de surveillance aura un impact mesurable sur la propagation de la variante du virus.

    Les tactiques agressives d’Israël pour tenter de suivre et de contrôler la propagation du COVID-19 et de ses variantes depuis l’année dernière en ont fait l’un des pays les plus réglementés au monde.

    Le pays a été l’un des premiers à imposer un passeport vaccinal à ses citoyens.

    Cependant, malgré sa précipitation à vacciner la majorité de sa population contre le coronavirus, Israël a récemment enregistré l’ un des taux d’infection au COVID les plus élevés au monde.

    En août, Becker’s Hospital Review a rapporté qu’environ 60% des personnes hospitalisées avec COVID-19 en Israël avaient été « complètement vaccinées« .

    Pendant ce temps, l’accent mis par Israël sur la variante Omicron vient en dépit du fait qu’un médecin sud-africain qui a été parmi les premiers à identifier et à annoncer l’existence de la nouvelle variante a déclaré que le virus provoque des symptômes « très légers » qui peuvent être facilement traités à domicile.

     

    Source : medias-presse.info