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israël - Page 9

  • Une entreprise israélienne refuse l’accès à l’entreprise au personnel non-vacciné

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2021

    Auteur : 

    Israël – Mobileye, un développeur de voitures autonomes israélien et filiale d’Intel, interdira aux employés qui refusent la vaccination contre le coronavirus de travailler sur place, a déclaré le PDG Amnon Shashua.

    Dans une lettre interne divulguée à la presse israélienne, Shashua a révélé que Mobileye s’attend à ce qu’environ 10% des travailleurs refusent le vaccin COVID-19, rapporté mercredi le Jerusalem Post.

    L’entreprise interdira à ces employés de travailler dans les bâtiments de l’entreprise, bien que certains jugés indispensables puissent être autorisés à revenir s’ils présentent des résultats négatifs au test COVID-19, indique la lettre. L’exigence de dépistage s’appliquerait aux travailleurs qui avaient déjà le virus.

    «Je suis fier que 90% des employés de @Mobileye soient déjà totalement ou partiellement vaccinés. Nous allons «passer au vert» la première semaine d’avril avec seulement des employés vaccinés qui viennent au bureau », a tweeté Shashua la semaine dernière.

    Mobileye, qui emploie environ 1.500 travailleurs à Jérusalem, est la première grande entreprise israélienne à annoncer une exigence de vaccination, selon le Jerusalem Post. Bien qu’aucune loi en Israël n’autorise les employeurs à exiger la vaccination contre le COVID-19, les hauts responsables auraient examiné une nouvelle législation pour changer cela.

    «Il est possible que les enseignants qui refusent de se faire vacciner aient à payer de leur poche des tests privés toutes les 48 heures», a-t-il ajouté. «Je ne vais renvoyer personne, mais si quelqu’un n’est pas vacciné, c’est son problème.»

    Israël a déployé des mesures COVID-19 particulièrement dures, y compris plusieurs confinements à l’échelle nationale et des interdictions de voyager à l’étranger. La semaine dernière, le pays a promulgué une loi permettant au gouvernement de partager des informations personnelles sur les personnes qui refusent le vaccin anti-COVID-19 et a restreint la réouverture économique à ceux qui ont un «laissez-passer vert» pour la vaccination.

    Divers experts de la santé ont dénoncé les tentatives de contraindre les gens à recevoir ces vaccins.

    «Les vaccinations expérimentales doivent toujours être une décision éclairée entre un médecin et son patient qui prend en considération une pluralité de facteurs de risque, y compris l’âge du patient, les comorbidités et les risques d’exposition», a déclaré le Dr Simone Gold, fondateur de America’s Frontline Doctors.

    Les entreprises américaines sont généralement autorisées à exiger des vaccinations, ce qui a entraîné de multiples licenciements récents.

    Environ 56% seulement des adultes qui travaillent aux États-Unis sont prêts à se faire vacciner, et des chiffres encore plus bas ont été rapportés dans d’autres pays, selon les sondages. Les minorités raciales se sont constamment avérées particulièrement réticentes à accepter le vaccin COVID-19, ce qui soulève des préoccupations supplémentaires concernant la légalité des exigences de vaccination.

     

    Source : medias-presse.info

  • Billet progressiste : Israël officialise l’apartheid sanitaire et l’étoile de couleur qui l’accompagne

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2021

    PAR  LE  

    Badge vert pour les vaccinés, badge rouge pour les non vaccinés : Israël, décidément à la pointe du progressisme, réussit l’exploit d’imposer à la fois le retour de l’étoile à sa population et l’apartheid sanitaire. Sans aucune critique audible dans les milieux politico-médiatiques, pourtant tellement attachés aux droits de l’homme. Les droits, tout comme l’homme, s’arrêtent manifestement aux portes du monde merveilleux du Covid. Puisque vous avez docilement porté les masques, préparez-vos étoiles.

    Je me suis toujours demandée comment autant de personnes pouvaient rester enfermées dans des ghettos avec si peu de gardes … En voyant ce qui se passe en Israël, et qui doit logiquement se propager dans le monde progressiste, il est évident que les gens, non seulement ont tendance à obéir sans se poser de questions, mais avec un petit effort, peuvent construire eux-mêmes leur ghetto. Pour leur bien.

    Israël est présenté comme étant le pays, où la vaccination contre le Covid est la plus en avance, ce qui va lui permettre de sortir de manière « responsable », je cite, de son troisième confinement. Passons sur le fait que, en Russie, la vaccination se porte également à merveille, que tout est ouvert après un confinement et que, logiquement, le virus recule. Passons, c’est la Russie.

    Voyons, ce que le monde progressiste covidé entend par « responsable » :

    « Le gouvernement a annoncé un système de « badge », pourpre pour les personnes qui ne sont pas vaccinées ou n’ont reçu qu’une dose et vert pour ceux qui se sont vu administrer leur seconde injection ou sont « rétablis » du Covid.Les centres commerciaux, les bibliothèques, les musées, les cafés et certains lieux de culte seront ouverts en mode « pourpre ». Donc, pour tous. Et les gyms, les événements sportifs et culturels, les restaurants (avec réservation) seront ouverts pour les détenteurs du « badge vert », c’est-à-dire ayant une attestation de double vaccination ou de rétablissement…. »

    La population est donc divisée en deux catégories, les personnes saines et celles potentiellement dangereuses et les droits de ces femmes et de ces hommes ne vont pas dépendre de leur condition humaine, mais d’un critère « sanitaire ». L’accès à la vie sociale va dépendre de l’appartenance à une catégorie, verte ou rouge, dite sanitaire. Israël est le premier pays à officialiser aussi ouvertement l’apartheid sanitaire. Ce qui est revendiqué par … le ministre de la Défense – car le Covid est bien une guerre, menée contre les hommes :

    « Nous allons de l’avant avec un déconfinement responsable sous la forme de “Si vous êtes vaccinés, vous pouvez entrer” », a résumé le ministre de la Défense Benny Gantz 

    A n’en pas douter si les populations ne se révoltent pas, ce système pourra être appliqué dans les pays progressistes, la France prépare d’ailleurs sa législation à ce sujet (voir notre texte). Puisque vous avez accepté le port du masque pour aller dans les magasins, les transports ou sortir dans la rue, le premier pas est fait. Le principe d’obéissance est posé.

    En plus de cela, le marquage de la population rappelle dangereusement le port de l’étoile : le Juif était dangereux, parce qu’il était juif, il devait donc en raison de cela être stigmatisé dans la société propre du nazisme. Israël reprend le même principe à l’égard des personnes non vaccinées ou de manière incomplète – elles présentent un risque potentiel pour la société propre des individus propres.

    Si vous ne voulez pas que cela arrive chez vous, reprenez votre vie en main. Désobéissez massivement et vivez. Sinon, vous construisez le ghetto global du Covid de vos propres mains. 

    Un pouvoir a peur de la désobéissance, car alors il s’écroule. Il se nourrit de notre peur, de notre faiblesse, de notre obéissance. En temps normal, les populations ont un devoir d’obéissance envers l’Etat et ses représentants, sinon c’est l’anarchie. Mais quand le pouvoir gouverne contre les populations, il perd sa légitimité, ces populations ont alors le devoir de désobéir – pour sauver leur pays. Sinon, préparez votre badge, votre étoile, votre ghetto.

    Publié par Karine Bechet-Golovko

     

    Source : leblogalupus

  • Israël – 4.500 personnes infectées par le Covid après avoir été vaccinées – 17% des hospitalisés israéliens sont des vaccinés contre le Covid…

    Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2021

    Israël – Le site communautaire juif et sioniste Europe-Israël, reprenant des informations de la télévision israélienne i24News, souligne que 4.500 personnes ont été infectées par le Covid après avoir reçu le vaccin.

    Parmi ces personnes, 375 ont été hospitalisées. 244 l’ont été dans la première semaine suivant leur vaccination, 124 au cours de la deuxième semaine et 7 plus de quinze jours après avoir reçu le vaccin.

    Selon le Docteur Sharon Elrai-Price qui dirige les services de santé publique au ministère israélien de la Santé, 17 % des patients hospitalisés en ce moment en Israël avaient reçu une première dose du vaccin anti-Covid avant de tomber malades.

    Israël est le pays qui a vacciné le plus de personnes à ce jour. Sur ses neuf millions d’habitants, deux millions ont déjà reçu une première dose du vaccin Pfizer. Et paradoxalement, le gouvernement israélien annonce que l’épidémie n’y a jamais affecté autant de personnes.

     

    Source : medias-presse.info

  • Guerre dans le Haut-Karabakh arménien : Israël du côté des musulmans contre les chrétiens

    Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2020

    Dans la guerre qui a été imposée par l’Azerbaïdjan à l’Arménie pour la conquête du Haut Karabakh, Israël a choisi son camp : celui de l’islam conquérant, soutenu par le Turc Erdogan qui se rêve en nouveau sultan, contre les chrétiens arméniens.

    Mais le Haut-Karabakh a toujours été une terre arméniene, même si Staline l’a donné à l’Azerbaïdjan en 1923 : la population, l’histoire, la langue, la culture, l’architecture, l’art, tout est arménien et donc chrétien (3 000 monuments dont 500 églises sont arméniens). Après la chute de l’URSS, la population totalement chrétienne-arménienne a voté pour l’indépendance. L’Azerbaïdjan, courroie de transmission des volontés hégémoniques turques, n’a jamais accepté l’indépendance de la région arménienne après le « cadeau » de Staline, ce qui a conduit à la guerre de 1992-1994, qu’il a perdue. Et pour lequel il a méconnu quatre résolutions de l’ONU sur la cessation du conflit après l’armistice de 1994, continuant à provoquer le long de la frontière jusqu’à ce jour.

    Les Arméniens ont toujours été un grand obstacle au rêve turc. Le seul facteur qui a jusqu’à présent arrêté les Turcs est la Russie. Ce que craignaient les Arméniens depuis le début de la guerre en Syrie est ainsi devenu réalité. Les chrétiens arméniens et alliés des Russes ne pouvaient pas rester indemnes longtemps compte tenu de l’attitude que la Turquie avait dans cette guerre et ses nouveaux mouvements géopolitiques. Ces derniers jours, la responsabilité de la Turquie dans le déclenchement par l’Azerbaïdjan du conflit qui a débuté fin septembre est devenue de plus en plus claire.

    La rhétorique antiterroriste azerbaïdjanaise et turque a bien fonctionné pour présenter les Arméniens comme des sécessionnistes, des agresseurs, des occupants et des terroristes. Pour mettre le plus de pays possible contre l’Arménie, l’Azerbaïdjan a déclenché en juillet le conflit à proximité des oléoducs qui acheminent les hydrocarbures vers l’Europe.

    Les combats se poursuivent et les bombardements ont impliqué des cibles civiles dans la capitale du Haut-Karabakh et dans de nombreux villages. La Turquie a envoyé des mercenaires arabes utilisés dans la guerre en Syrie, comme elle l’a fait avec les Kurdes pour perpétrer le génocide arménien en 1915, a abattu un avion arménien, et beaucoup pensent que les drones utilisés dans le conflit sont exploités par des officiers turcs. Avec la syrification du conflit, la Turquie veut étendre son influence dans le sud du Caucase et a adressé un message clair à la Russie et à l’Europe, en particulier à la Grèce et à la France avec lesquelles elle s’est récemment affrontée, sur sa détermination. Avec la progression de la guerre, les images des têtes coupées de civils et de soldats arméniens ont également commencé à circuler, comme à l’époque du génocide.

    Après la récente escalade, tous les États ont appelé à un cessez-le-feu : le Canada a suspendu les livraisons d’armes à l’Azerbaïdjan, un grand nombre de pays arabes ont dénoncé l’agression de l’Azerbaïdjan, l’OTAN a invité la Turquie à utiliser son influence pour mettre fin au conflit. En revanche, Israël s’est positionné du côté des islamistes Azeris : « L’État hébreu ne fait pas que livrer des armes à sous-munitions et des drones aux Azerbaïdjanais dans leur guerre au Haut-Karabakh » peut-on lire dans un article paru sur Le Figaro d’hier.

    « Human Rights Watch (HRW) a démontré ce qui était un secret de polichinelle: l’Azerbaïdjan a recours à des armes à sous-munitions de fabrication israélienne dans sa guerre au Haut-Karabakh. HRW évoque notamment des roquettes de type LAR-160, dont des débris ont été retrouvés dans des secteurs bombardés de Stepanakert, la capitale de la République arménienne autoproclamée du Haut-Karabakh. Ces armes explosent dans le ciel et se dispersent en des dizaines de minibombes qui peuvent se transformer au sol en mines terrestres dans des zones peuplées de civils. Elles sont proscrites par une convention internationale non ratifiée par l’Azerbaïdjan, Israël mais aussi par l’Arménie. »

    « Rien ne semble en effet pouvoir remettre en question la solidité de l’alliance, en apparence à front renversé, entre Israël et l’Azerbaïdjan, continue d’écrire Thierry Oberlé, l’envoyé spécial du Figaro à Jérusalem.  L’Arménie l’a bien compris. Erevan a rappelé le 1er octobre dernier, dès le début du dégel de ce vieux conflit plus nationaliste que religieux, son ambassadeur installé depuis peu à Tel-Aviv. L’État hébreu a, au nom d’intérêts bien compris, un tropisme pour l’Azerbaïdjan, en dépit du soutien du régime turc de Recep Tayyip Erdogan à la petite République autocratique caucasienne considérée par Ankara comme l’un de ses satellites. Il n’a jamais hésité entre Bakou et Erevan. Israël n’a ainsi jamais reconnu le génocide arménien, le premier du XXe siècle et ne veut surtout pas entendre parler d’un Haut-Karabakh indépendant. «Si les Arméniens étaient autorisés à créer un État dans le Haut-Karabakh, cela pourrait ouvrir la voie aux Palestiniens pour qu’ils puissent faire de même», estime l’analyste politique Rachel Avraham. »

    Mais, indépendamment de cette question palestinienne l’Azerbaïdjan est aussi « le principal fournisseur en pétrole de l’État hébreu. Il couvre environ 40% de ses besoins en hydrocarbures. Et surtout, affirme Thierry Oberlé, sa position géographique lui offre un balcon avec vue sur l’ennemi iranien. Le pays a une longue frontière avec l’Iran, une zone qui intéresse particulièrement les services de renseignements israéliens. Soucieux de « sécuriser son territoire », Téhéran vient d’y déployer des unités des gardiens de la révolution.

    Selon le président israélien, Reuven Rivlin, cité par Oberlé « l’État hébreu entretient des relations de longue date avec l’Azerbaïdjan, et la coopération entre les deux pays n’est dirigée contre aucune partie».

    « Les experts n’en sont pas convaincus, souligne l’envoyé spécial du Figaro. En 2016, le pays a signé un contrat de près de 5 milliards de dollars avec des entreprises israéliennes d’armements. Outre les bombes à fragmentation, les sociétés israéliennes fournissent à Bakou des drones armés, dont des drones kamikazes. Ces engins télécommandés ont contribué à donner une supériorité militaire aérienne à Bakou. Au cours des dernières semaines, plusieurs avions-cargos ont décollé d’une base israélienne pour Bakou. Selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri), entre 2015 et 2019, Israël a livré 60% des armes de l’Azerbaïdjan, contre 31% pour la Russie, qui fournit la quasi-totalité du matériel militaire de l’Arménie. »

    En Arménie, les soldats chrétiens se battent avec courage dans ce qui est une guerre tout autant religieuse que territoriale : « cette guerre est pour la vie ou la mort de l’Arménie » indique Teresa Mkhitaryan, fondatrice de l’association humanitaire Il Germoglio qui vient en aide aux Arméniens.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Affaire Epstein : Israël et la France protègent la pédocriminelle Maxwell

    Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2020

    « Complice principale de Jeffrey Epstein, la fugitive Ghislaine Maxwell se cache à Paris, avenue Matignon, et fréquente l’ambassade israélienne selon la presse britannique. La preuve par la source.

    Le scoop a été dévoilé en ligne samedi soir : près de 48 heures après, AUCUN média français traditionnel ne l’a pour l’instant rapporté.

    The Sun, quotidien populaire britannique, a révélé la dernière localisation (après Israël) de Ghislaine Maxwell, la complice emblématique du pédocriminel et agent du Mossad Jeffrey Epstein : Paris, à deux pas de Matignon.

    GM

    Mieux encore : selon The Sun, elle a été aperçue quittant l’ambassade d’Israël. Le journal a même souligné ce détail-clé dans son infographie. »

     

    Source Panamza via contre-info