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israël - Page 8

  • Une direction départementale de la police dit d’agir avec discernement, en raison des événements en Israël et de la fin du ramadan

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2021

    Une direction départementale de la police dit d’agir avec discernement, en raison des événements en Israël et de la fin du ramadan

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    Lunaire :

    Dans la nuit du jeudi 13 au vendredi 14 mai 2021, les pompiers de Brest (Finistère) sont appelés pour un feu de voiture rue Corot, dans le quartier de Pontanezen. Avant de rentrer dans ce quartier considéré comme sensible, ils se retrouvent à proximité avec les policiers pour décider des modalités d’intervention.

    Mais une note la direction départementale de la police nationale (DDSP 29) disait formellement à ses hommes d’agir avec discernement, en raison des événements en cours dans les territoires palestiniens et de leur concordance avec la fin du ramadan.

    La direction de la police demande ainsi à ses troupes de « ne pas intervenir pour des motifs en lien avec une attitude festive, tapage, rassemblement de personnes, feu d’artifice ». Toutefois, « en cas de violences urbaines nécessitant la projection de pompiers sur les lieux », une patrouille devait effectuer une patrouille préalable pour lever le doute. Mais ils effectuent un repli stratégique après avoir essuyé des tirs de mortier.

    Les pompiers rentrent pour éteindre l’incendie de voiture – un autre se déclenchant un peu plus tard dans la rue Gavarnie, toute proche. Mais ils se retrouvent immédiatement face à une centaine de jeunes excités, utilisant des mortiers pour tirer des feux d’artifice, et pratiquant des rodéos à proximité du lieu d’intervention des pompiers. Certains tapent même sur les camions des soldats du feu pour les intimider. Les pompiers ont néanmoins réussi à éteindre les deux incendies sans qu’aucun accrochage direct ne se produise.

     

    Source : lesalonbeige

  • Explosion dans une usine de missiles et fusées en Israël [VIDEO]

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    Une énorme explosion a eu lieu dans une usine israélienne de fabrication de missiles, située a proximité de la ville de Jérusalem al-Qods occupée, dans la région de Ramla au centre d’Israël. 

    Le quotidien israélien Haaretz indique que l’explosion s’est produite pendant que la société Tomar réalisait un essai de simulation pour une fusée satellitaire. Il n’y a pas eu de blessés, selon le journal

    « Les hauts responsables de la défense enquêtent, en ce moment, sur l’incident pour voir si les instructions ont été respectées », lit-on dans Haaretz, sans plus de détails.

    Les israéliens ont dit avoir entendu une explosion et vu une énorme fumée que certains ont filmés.

    La société Tomar est une société militaire qui appartient au gouvernement israélien. Elle  fabrique des systèmes de propulsion pour une variété de fusées et de missiles.

    Vidéo : https://twitter.com

     

    Les responsables de la sécurité et les responsables de l’entreprise Tomer ont lancé une enquête pour déterminer les causes de « l’incident » qu’ils disent avoir été causé « lors d’un test contrôlé ».

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Israël, Covid, bracelet électronique, et surveillance globale

    Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2021

    Mercredi 17 mars, la Knesset, le Parlement de l’Etat hébreu, a approuvé l’utilisation d’un bracelet électronique pour les voyageurs revenant de l’étranger « afin de s’assurer qu’ils ne sortent pas de leur domicile durant la quarantaine, toujours en vigueur pour enrayer la pandémie de coronavirus » écrit le quotidien israélien, I24 News.

    « Cette mesure, explique l’article, vise à remplacer l’isolement dans les hôtels coronavirus pour les personnes rapatriées de l’étranger.  Alors qu’une étude a montré que plus d’un tiers des personnes censées être en quarantaine à la maison ne respectait pas la mesure, le gouvernement israélien a décidé de géolocaliser les citoyens au moyen du bracelet électronique. […] Les enfants de moins de 14 ans et d’autres cas particuliers seront exemptés du bracelet. […] Cette mesure s’applique aux personnes ayant donné leur consentement, celles qui refusent seront placées dans les hôtels coronavirus. Les voyageurs arrivant de l’étranger en Israël doivent se soumettre à un test PCR à l’aéroport et effectuer une quarantaine d’une dizaine de jours. »

    Si les voyageurs atterrissant en Israël, la majorité étant des juifs retournant dans leur pays, apprécient de passer la quarantaine chez eux plutôt que dans un hôtel à leurs frais, les Israéliens sont beaucoup plus réticents. Présagent-ils, au vu de la perte progressive de leurs libertés fondamentales au nom de la lutte contre la covid-19, que ce bracelet ne devienne par la suite, après avoir été expérimenté sur les voyageurs, un moyen de contrôle par l’Etat de leur vie en tout instant ?

    Si comme l’a dit le PDG de Pfizer Albert Bourla, Israël est devenu un laboratoire d’expérimentation pour son vaccin, il est aussi le laboratoire mondial de la surveillance globale et de la passivité de la population face à ce flicage permanent de la vie. Ce qui se fait, et est accepté en Israël, a bien des chances d’arriver en Europe…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Violation du Code de Nuremberg, Israël mis en accusation

    Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2021

    Cela peut paraître improbable et pourtant : la cour pénale internationale vient d’accepter une plainte accusant le gouvernement israélien de violer le code de Nuremberg. La raison derrière cette plainte concerne le plan de vaccination massive de la population israélienne mis en place par Netanyahou :

    « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été faite en violation du Code de Nuremberg » déclare Ruth Makhachovsky, l’un des avocats du collectif People of Truth, artisan du dépôt de plainte.  

    « L’organisation comprend des avocats, des médecins, des militants publics et le grand public, qui ont choisi d’exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir de traitement médical expérimental (vaccin Corona), et se sentent soumis à de grandes et sérieuses pressions illégales de la part du gouvernement israélien, parlementaires et ministres, hauts représentants du public, maires, etc. » souligne People of Truth.

    « Le premier principe du Code de Nuremberg est la volonté et le consentement éclairé de la personne à recevoir un traitement et à participer à  une expérience », ont écrit les avocats Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski, du cabinet A. Suchovolsky & Co.

    « L’organisation, souligne le média israélien I24 News, demande entre autres que soit arrêtée la campagne de vaccination, qui viole le principe du consentement éclairé du patient, et que soit abandonnée l’initiative visant à la création du « passeport vert », qui nuit selon elle aux valeurs démocratiques.

    « Elle précise que le dépôt de la plainte devant la Cour pénale internationale a été motivé par le fait qu’ils (des avocats, des médecins, des militants publics et le grand public) ‘se sentent soumis à de grandes et sérieuses pressions illégales de la part du gouvernement israélien, parlementaires et ministres, hauts représentants, maires, etc’.

    « Le Code de Nuremberg – un code d’éthique médical issu de la Seconde Guerre mondiale – constitue la base de la loi sur les droits des patients en Israël. »

    « Nous attendons maintenant une décision », a ajouté l’avocate Ruth Makhachovsky à Israel News.

    Aujourd’hui, plus de quatre millions d’Israéliens (45% de la population) ont reçu les deux doses du vaccin Pfizer.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • En Indonésie, la loi permet d’infliger une amende et de priver d’aides sociales ceux qui refusent la vaccination obligatoire anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021

    Le président de l’Indonésie a décrété que de lourdes sanctions financières pourraient être imposées aux citoyens qui ne se conforment pas aux campagnes de vaccination obligatoire anti- COVID, y compris des amendes et la suppression des prestations d’aide sociale.

    Jakarta, la capitale animée du pays, abrite quelque 10 millions de personnes et est la première région du pays, et du monde, à mettre en œuvre les nouvelles règles, imposant des amendes allant jusqu’à 5 millions de roupies indonésiennes (environ 350 dollars) pour non-conformité à la vaccination obligatoire. Les 33 provinces restantes, qui ont la prérogative d’appliquer les nouvelles règles du président, n’ont pas encore choisi d’imposer ces sanctions.

    Le vice-gouverneur de Jakarta, Ahmad Riza Patria, a défendu les nouvelles mesures, avertissant les dissidents potentiels : «Si vous la rejetez, il y a deux choses, l’aide sociale ne sera pas accordée, et vous aurez une amende.»

    Le ministère de la Santé indonésien a rapporté que 65% des Indonésiens sont prêts à se faire vacciner contre le COVID-19, avec seulement 8% admettant qu’ils refuseraient catégoriquement le vaccin.

    Le Dr Febi Dwirahmadi, professeur associé indonésien à l’Université Griffith d’Australie, a qualifié ces mesures de «coercitives».

    «La confiance sociale est absente. Les gens se demandent toujours si cela est sans danger pour les personnes âgées ou les femmes enceintes », a-t-elle déclaré.

    Usman Hamid, directeur d’Amnesty International Indonésie, a critiqué le gouvernement indonésien pour avoir imposé un «mandat général en matière de vaccination, en particulier un mandat comportant des sanctions pénales», le qualifiant de «violation flagrante des droits humains».

    Un certain nombre de gouvernements à travers le monde – tout en n’imposant pas la vaccination – commencent à mettre en œuvre des mesures strictes qui reviennent à forcer la vaccination.

    Israël est en tête à cet égard, venant juste de commencer à rouvrir une partie de son économie aux citoyens qui ont été vaccinés contre le COVID-19 après un verrouillage de deux mois. Ceux qui n’ont pas encore reçu le vaccin COVID, ou qui ont refusé de prendre le vaccin, resteront dans l’impossibilité d’accéder à un certain nombre de lieux et d’entreprises.

    En outre, les autorités israéliennes ont adopté une loi permettant que les informations personnelles de ceux qui ont refusé les vaccins expérimentaux anti-COVID-19 puissent être collectées et partagées à divers organismes gouvernementaux par le ministère de la Santé. La législation s’étend à ceux qui ont reçu leur première dose du vaccin anti-COVID, mais qui ne sont pas revenus pour la seconde.

    Alors que le gouvernement israélien envisage une législation qui permettrait aux entreprises privées d’imposer que leur personnel soit vacciné, Mobileye, un développeur de voitures autonomes israélien et filiale d’Intel, a déjà annoncé qu’il interdirait aux employés qui rejettent une vaccination contre le coronavirus de pouvoir travailler dans les locaux de l’entreprise.

    De même, en Suède, des mesures coercitives sont mises en œuvre qui rendent la vie de plus en plus difficile à ceux qui refusent les vaccins anti-COVID-19, que ce soit pour des raisons morales, médicales ou religieuses.

    Le ministre suédois du développement numérique, Anders Ygeman, a annoncé que «lorsque la Suède et les pays qui nous entourent commenceront à s’ouvrir, il sera probablement nécessaire d’avoir un certificat de vaccination pour voyager et participer à d’autres activités», y compris l’accès aux divertissements, aux loisirs et aux entreprises.

    Le président américain Joe Biden a lui signé en janvier un décret  ordonnant au gouvernement d’évaluer la «faisabilité» des passeports vaccinaux.

    Mais l’effort international pour contraindre les populations à recevoir les vaccins expérimentaux anti-COVID-19 produit des résultats mortels. Les données du ministère israélien de la Santé ont confirmé que le vaccin expérimental à ARNm de Pfizer a tué «environ 40 fois plus de personnes (âgées) (en Israël) que la maladie elle-même n’en aurait tué» au cours d’une récente période de vaccination de cinq semaines.

     

    Source : medias-presse.info