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japon

  • Comment le Japon a (presque) éradiqué la délinquance

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2024

    ENQUÊTE – Depuis le pic atteint il y a une vingtaine d’années, l’Archipel a réduit sa criminalité des trois quarts. Pour 100.000 habitants, le taux de vol avec violence est par exemple de 1,2 au Japon, contre 44,3 en France.

    Trois cent vingt fois moins de saisies de cannabis en un an, 37 fois moins de vols avec violence, 13 fois moins de cambriolages. C’est l’écart entre quelques statistiques clés des criminalités française et japonaise. Les deux pays aiment se comparer sur de multiples sujets. Mais sur celui-ci, pourtant passionnant, les études sont rares. Trop.

    La litanie des petits délits rapportés par la presse japonaise est révélatrice de la tranquillité du pays. Vol de grappe de raisin, café «long» servi au lieu d’un «court», vol d’une boulette de tofu fermentée… Les exemples d’arrestation pour des motifs lilliputiens trahissent le désœuvrement de la police. Celle-ci trouve de moins en moins de poignets autour desquels passer les menottes. Depuis un pic en 2002, la criminalité a fondu des trois quarts, selon l’Agence de la police nationale (NPA). Son bilan ferait pâlir bien des ministres de l’Intérieur. Exemple: au dernier pointage de la NPA, le taux d’homicide national est au quart du taux français…

    (…) Le Figaro via fdesouche.

  • Les descendants des peuples autochtones du Japon se réapproprient leur identité

    Publié par Guy de Laferrière le 18 février 2023

    Les descendants des peuples autochtones du Japon se réapproprient leur identité

    Au cœur d’une forêt de l’île japonaise septentrionale de Hokkaido, Atsushi Monbetsu s’agenouille sur la mousse dans l’épaisse brume matinale et dit une prière dans la langue quasiment disparue des Aïnous, l’un des peuples autochtones de l’archipel nippon.

    “Kamui”, appelle-t-il, à l’adresse des divinités aïnoues. “Un Aïnou entre dans votre forêt et souhaite chasser le chevreuil”.

    Il repère rapidement un petit groupe de cervidés et en abat un avec son fusil puis, un genou à terre, place les mains devant l’animal, paumes tournées vers le ciel, et les agite de bas en haut pour renvoyer son âme “au pays des kamui”.

    Les Aïnous vivaient traditionnellement dans les îles aujourd’hui partagées entre le nord du Japon et la Russie, et commerçaient avec les Japonais, qu’ils appelaient “Wajin”.

    Mais en 1869, l’empire du Japon a annexé les territoires aïnous à Hokkaido et banni des pratiques jugées “barbares” comme les tatouages faciaux des femmes, forçant les Aïnous à abandonner la chasse traditionnelle et à adopter des noms japonais. (…)

    actu.orange.fr via fdesouche

  • Japon : les travailleuses étrangères enceintes incitées à avorter ou à démissionner

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2022

    Japon : les travailleuses étrangères enceintes incitées à avorter ou à démissionner

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    Le Japon, où la population est vieillissante, fait venir des travailleurs des Philippines, du Vietnam, voire de Chine. Vanessa, Philippine de 25 ans, travaillait dans un établissement de soins à Fukuoka (sud-ouest) quand elle a appris qu’elle était enceinte. Elle était au Japon depuis plus d’un an et espérait poursuivre son stage après l’accouchement. On l’a poussée à avorter.

    “Je me suis dit : comment osent-ils ? L’avortement est le choix d’une mère”.

    Finalement, ses employeurs l’ont obligée à démissionner, affirmant que sa situation “allait diminuer la valeur des stagiaires philippines”.

    Selon le ministère japonais de la Santé, 637 stagiaires techniques ont démissionné en raison d’une grossesse ou d’un accouchement entre 2017 et 2020. Mais selon des défenseurs des migrantes, il s’agit de la “partie émergée de l’iceberg”.

    Un avocat affirme :

    “pour certains employeurs, il est plus facile de les renvoyer chez elles et de les faire remplacer par de nouveaux stagiaires, plutôt que d’engager des frais supplémentaires”.

    Vanessa a donné naissance à son fils aux Philippines, mais espère toujours retourner au Japon.

    “Je veux prouver qu’il est possible pour une stagiaire enceinte d’accoucher dans son pays et de retourner au Japon pour terminer son contrat”.

     

    Source : lesalonbeige

  • Jamais plus de 50 demandes d’asile acceptées par an au Japon

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    Le pouvoir japonais se refuse à toute inflexion sur sa politique migratoire

    D’où qu’ils viennent, les étrangers qui cherchent à se réfugier au Japon et qui demandent l’asile se trouvent le plus souvent face à un mur. Ce statut n’est en effet octroyé qu’avec une grande parcimonie dans l’archipel, comme en témoignent les chiffres publiés par le ministère de la Justice.

    (…) TF1 via fdesouche

  • Japon : Après Moderna, c’est au tour du vaccin Pfizer d’être contaminé

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2021

    Fin août, le Japon a suspendu l’injection expérimentale à ARNm Moderna à cause de contaminations inconnues. Aujourd’hui, ce sont des lots de l’injection Pfizer qui se trouvent incriminés.

    Le ministère de la Santé japonais avait lancé une enquête à la suite de la mort de deux hommes (de 30 et 38 ans) en août ayant reçu des injections du ‘vaccin’ Moderna provenant de lots qui présentaient des impuretés. Des régions du Japon avaient alors suspendu les injections, soient plus de 2,6 million de doses, après avoir découvert d’autres lots contaminés. La nature des particules découvertes dans les flacons, qui ont été fabriqués par un sous-traitant de Moderna en Europe, n’est pas encore connue. Cependant, la chaîne japonaise NHK, de source ministérielle, avance que la substance étrangère incriminée serait de nature métallique. Les médias japonais avaient également mentionné que les substances « réagissent aux aimants », informations que les médias mainstream occidentaux s’étaient bien gardé de dire.

    C’est un pharmacien, Mr Ishii qui a inspecté 290 flacons et découvert la substance dans le vaccin Moderna :

    « de fines particules noires de 1 mm visibles à l’œil nu, attachées au bord inférieur du récipient. Il y avait des particules fines et plates… »

    En ce milieu du mois de septembre, The Japan Times révèle que « des corps étrangers ont été trouvés dans cinq flacons inutilisés de vaccin COVID-19 de Pfizer Inc. dans deux villes près de Tokyo et une dans la préfecture d’Osaka ». Ce sont les gouvernements locaux qui ont annoncé cette nouvelle. Des substances blanches ont été découvertes.

    L’article poursuit :

    « Les flacons contenant une matière blanche flottante appartiennent au même lot, FF5357, selon les villes de Sagamihara et Kamakura, toutes deux dans la préfecture de Kanagawa, et Sakai dans l’ouest du Japon. Les trois villes ont demandé à Pfizer d’analyser les substances.

    « Les contaminants ont été découverts sur trois sites de vaccination à Sagamihara entre samedi et mardi, un site à Kamakura dimanche et un site à Sakai mardi. Les trois villes ont déclaré ne pas avoir utilisé les doses contenant les matières étrangères tout en continuant à administrer des doses portant le même numéro de lot qui ont été confirmées non contaminées. »

    Après les graves effets secondaires répertoriés, ces contaminations qui témoignent entre autre du peu de sérieux des laboratoires dans l’élaboration de ces injections, rendent la vaccination quasi obligatoire imposée par le passeport sanitaire dans de nombreux pays encore plus criminelle. D’ailleurs, l’on peut se demander s’il n’est pas étrange que seul le Japon évoque des contaminations et si elles ne seraient tout simplement pas occultées en Europe par une Union européenne vendue à Big Pharma et une presse aux ordres…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info