Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2021
Source : ndf
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Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2021
Source : ndf
Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2021
Le premier ministre britannique a proposé à Emmanuel Macron un «accord bilatéral de réadmission pour permettre le retour de tous les migrants illégaux qui traversent la Manche».
Le premier ministre britannique Boris Johnson a demandé au président français Emmanuel Macron de reprendre les migrants arrivant en Angleterre depuis la France, au lendemain d’un naufrage dans la Manche qui a vu 27 personnes perdre la vie.
Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2021
Sur son compte Twitter, Alexander Soros a publié quelques photos de sa rencontre d’hier avec Emmanuel Macron. Précisons que ce n’est bien évidemment pas la première fois qu’Emmanuel Macron a rendez-vous avec le fils du milliardaire cosmopolite George Soros. Comme en témoigne la photo ci-dessous.
Mais qui est réellement Alexander Soros ?
Petite présentation par Pierre-Antoine Plaquevent, directeur de Strategika
Extrait du dossier : Société ouverte vs Chine : le choc des globalismes -première partie
Alexander Soros semble être actuellement le plus impliqué – en tous cas le plus visible – des héritiers de l’empire financier et métapolitique fondé par George Soros. Alexander Soros est aujourd’hui vice-président de l’Open Society et fut l’un des Young Global Leaders de 2018 du Forum économique mondial fondé par Klaus Schwab. Il est aussi le président fondateur de Bend the Arc Jewish Action[1], l’un des principaux lobbys chargés de ramener la communauté juive américaine à gauche ; association qui fut aussi très impliquée dans le soutien au mouvement Black Lives Matter[2]. Par ailleurs, Alexander Soros siège au sein du conseil d’administration de l’un des principaux organes d’influence des réseaux Soros en Europe orientale : l’Université d’Europe centrale[3] fondée par son père George Soros. Il fait aussi partie du bureau de Global Witness, une ONG qui mêle écologie et lutte contre la corruption politique[4] (deux domaines privilégiés de l’ingérence humanitaire) et de Libraries Without Borders, une autre ONG qui a par exemple mis en place des partenariats avec l’État français autour de questions aussi vitales et urgentes que l’accès des « publics migrants aux bibliothèques ».[5]Alexander Soros est surtout l’un des administrateurs de l’International Crisis Group aux côtés de personnalités influentes de la gouvernance euro-globaliste comme Federica Mogherini, ancienne Ministre italienne des Affaires étrangères et ancienne Vice-présidente de la Commission européenne. L’International Crisis Group[6] est un influent organisme de veille géostratégique qui produit des rapports sur les zones de conflit dans le monde ; publications qui permettent de documenter et de lancer de puissantes campagnes de lobbying et d’ingérence géopolitique.
[1] https://www.bendthearc.us/
[2] 600 Jewish Organizations Say Unequivocally: Black Lives Matter https://www.jewishstudioproject.org/news/600-jewish-organizations-say-unequivocally-black-lives-matter
[3] Alexander Soros – https://www.weforum.org/people/alexander-soros
[4] https://www.globalwitness.org/en/about-us/
[5] COMMENT MIEUX ACCUEILLIR LES PUBLICS MIGRANTS DANS LES BIBLIOTHÈQUES ?
« Grâce au soutien du ministère de la Culture et de la Fondation Valentin Ribet, Bibliothèques Sans Frontières forme et accompagne les bibliothécaires volontaires pour répondre de manière efficace aux besoins de ces publics. » https://www.bibliosansfrontieres.org/2021/02/05/comment-mieux-accueillir-les-publics-migrants-dans-les-bibliotheques/
[6] « L’ICG, qui se veut indépendant, est financé à 50 % par des fondations (comme celle de Bill et Melinda Gates, l’Open Society Institute de George Soros, le United States Institute of Peace, ou la Ford Foundation) et à 40 % par des gouvernements (surtout les grands pays occidentaux, mais aussi la Turquie et Taïwan). Les 10 % restants viennent de donateurs particuliers. (…) Son conseil d’administration ressemble à un « Who’s Who ? » des relations internationales : y figurent, entre autres, Louise Arbour, l’ancien procureur général du Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie ; Zbigniew Brzezinski (1928-2017), ex-conseiller de Kennedy et de Carter ; Cheryl Carolus, ex-secrétaire général de l’ANC ; Wesley Clark, ancien commandant de l’OTAN ; Ellen Johnson Sirleaf (canditate malheureuse à la présidentielle libérienne de juillet 1997), auparavant directrice du bureau Afrique du PNUD ; Christine Ockrent, journaliste et épouse de Bernard Kouchner ; Mohamed Sahnoun, conseiller spécial de Kofi Annan pour l’Afrique ; Salim Ahmed Salim, ex-secrétaire général de l’OUA ; George Soros, l’un des hommes les plus riches de la planète… Grâce à ce réseau influent, l’ICG a su faire des 317 rapports qu’il a publiés à ce jour (dont 74 sur l’Afrique) des documents de référence sur les zones de guerre. » – International Crisis Group : une organisation influente, 05 janvier 2004, Élise Colette – https://www.jeuneafrique.com/130153/archives-thematique/international-crisis-group-une-organisation-influente/
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2021
Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021
Emmanuel Macron présidera ce samedi à Colombes (Hauts-de-Seine) la cérémonie commémorant le 60e anniversaire de la répression sanglante d’une manifestation d’Algériens, le 17 octobre 1961, en présence de familles des victimes.
Présent ce samedi à la cérémonie du 60e anniversaire au Pont de Bezons à Colombes (Hauts-de-Seine), par lequel passèrent des hommes, femmes et enfants habitants du grand bidonville voisin de Nanterre pour aller à la manif, Emmanuel Macron sera le premier président à commémorer en personne cette date funeste, en présence notamment de familles de victimes.
Le chef de l’État, qui ne prononcera pas de discours mais publiera un texte à l’issue de la cérémonie, « ira plus loin », promet un conseiller de l’Élysée sans en dire plus… Le même assure cependant qu’il n’y aura ni excuses ni demande de pardon, contrairement au récent geste à l’endroit des harkis. Explication ? « La manière dont les harkis ont été traités résulte d’un choix politique mis en œuvre par les organes de l’État, il y a donc eu demande de pardon — acceptée de bon cœur — pour ce que la République leur a infligé. Le 17 octobre 1961, il s’agissait de faits de violences dans le contexte du couvre-feu imposé aux Français musulmans d’Algérie : le préfet de police Papon avait certes la main mais pas l’ordre de tirer sur les manifestants », justifie l’Élysée. Le texte écrit par Macron pourrait d’ailleurs mentionner le rôle de la préfecture de police de Paris.
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Le Parisien via fdesouche