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macron - Page 39

  • Allocution de Macron : au moins quatre fautes...

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2020

    llocution,fautes,macron

    Jupiter a parlé ! Bien sûr, les petits commerces sont contents (et ils ont raison); mais, pour d'autres, ce sont les fourches qui vont bientôt parler...

     

    1. Commençons par le plus important : le spirituel. Qu'est-ce que c'est que cette grotesque limite de "trente personnes" pour une Messe ? Trente personnes dans des gigantesques cathédrales - comme à Marseille ou Amiens - et trente aussi dans la minuscule église romane Saint Vincent des Baux de Provence (minuscule autant qu'elle est émouvante, touchante, propre au recueillement, à la méditation, à l'élévation des coeurs) ? RIDICULE

    2. Continuons par les stations de ski : qu'elles aient encore quinze à vingt jours pour achever leurs préparatifs, elles qui ont tout fait, tout imaginé, tout mis en place pour que le public vienne se refaire une santé physique et mentale dont tout le pays a le plus urgent besoin, oui; mais pourquoi ne pas les laisser ouvrir pour les vacances ? Ce sont des milliers de personnes et une filière qui "pèse" plusieurs milliards qu'on assassine ! TOTALEMENT INCOMPRÉHENSIBLE ET INJUSTIFIÉ !

    3. Continuons encore par les Salles de sport : les métros, bus, trams (et certains trains) vont rester bondés, comme les cantines des écoles - même si on a diminué le nombre d'élèves - et les salles de sport, où l'on n'a enregistré que 207 contaminations pour 27 millions d'entrées vont rester fermées ? Alors que les Français vont mal, psychologiquement (presque un quart de la population "déprime") alors que la moyenne, en temps habituel, tourne autour des dix/onze pour cent. Là aussi : ABERRANT !

    4. Enfin, la mort sans phrase(s) pour les Restaurants ! Le 20 janvier ! Ce n'est rien d'autre qu'une mise à mort, un assassinat, des dizaines et des centaines de milliers de personnes directement ou indirectement condamnés à mort. Et un rude coup à l'économie couplé à une envolée du chômage effarante. Là aussi, pourtant, els restaurateurs avaient joué le jeu, et rien, absolument rien, ne prouve scientifiquement que, dans le strict respect des contraintes sanitaires qu'ils s'appliquaient volontairement, les restaurateurs soient des contaminateurs.

    Évidemment, il est plus facile de les fermer, eux, que de "fermer", par exemple, les innombrables points de vente de drogue, qui continuent de plus belle dans près de deux milles Cités et zones pudiquement appelées "de non-droit (et, là, pour le coup, en l'absence totale de la moindre "geste barrière")

     

    Source : lafautearousseau

  • Vers l’explosion sociale ?

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2020

     

    Le regard rivé sur le seul horizon du Covid, les Français apprennent que leur délivrance se fera en trois étapes, soumises aux aléas de la pandémie. Dans deux jours, l’oracle présidentiel tombera sur leurs esprits embrumés par la peur collective et la sidération entretenue et stimulée comme à plaisir.

    covid,explosion sociale,macronLa diction sera parfaite, et les mots soigneusement choisis, mais la France s’enfoncera un peu plus dans l’étrange brouillard d’une activité ralentie, d’une opposition muette, d’une démocratie suspendue qui “en même temps” prolonge un pouvoir de moins en moins légitime et mitonne une colère populaire d’autant plus rageuse qu’elle aura été enfermée plus longtemps. Selon un sondage exclusif établi par l’institut Ifop, 85% des Français s’attendent à une explosion sociale dans les prochains mois dans le pays, soit 13 points de plus que la dernière mesure, en janvier 2020, lorsque les gilets jaunes avaient déjà creusé l’impopularité du pouvoir. Evidemment, ce sentiment domine outrageusement aux extrêmes, avec plus de 90% des interrogés mais il reste largement majoritaire dans les partis “de gouvernement” 84 % chez les sympathisants “républicains”, 79% chez les proches du Parti Socialiste et dominant néanmoins chez les “macronistes” avec 62%. Le manque de recul et d’expérience rend les jeunes moins soucieux, avec 77% ( seulement ?) pour les 18-24 ans. Mais, ce qui est plus grave est le fossé de 13 points qui sépare les ouvriers des cadres. 92% pour les premiers, et 79% pour les seconds s’attendent à la déflagration. C’est à la fois le signe de l’effondrement de la confiance dans le gouvernement actuel qui atteint désormais la base sociologique des marcheurs de 2017, mais aussi celui d’une fracture sociale entre les plus exposés aux conséquences économiques de la crise sanitaire, et ceux qui le sont moins.

    Mensonge ou erreur, M. Macron avait parlé de guerre. Non ! La guerre rassemble contre l’ennemi alors que la crise isole les individus dans un ” sauve qui peut”, un “chacun pour soi” mortifères. L’ennemi, l’autre est nécessaire pour resserrer les rangs, consolider les solidarités, affirmer les identités. Pendant les guerres, on se suicide moins, parce qu’on appartient davantage au groupe qui a besoin de nos efforts. La crise au contraire voit augmenter les dépressions et les risques suicidaires, parce qu’elle souligne que l’on peut, que l’on doit, se passer de ceux qui sont inutiles, de ceux qui deviennent des fardeaux. Or la crise actuelle redouble l’éviction : d’abord, elle établit une distance sociale, ce terme révélateur qui indique combien la séparation physique est aussi une rupture communautaire, une suspension des lieux, des institutions, des moments qui rechargent le “vivre-ensemble” au sein de l’entreprise, de l’association, à l’occasion de la fête, de la cérémonie, de la célébration. Ensuite, elle replie les individus sur eux-mêmes, en isolant davantage encore ceux qui vivent seuls, en privant des équilibres que procurent les échanges ceux qui souffrent d’un milieu étroitement familial, exigu ou étouffant, en condamnant un peu plus à la passivité et à l’assistanat ceux dont l’activité et le métier sont indispensables au sentiment qu’ils ont de leur dignité.

    20% des Français ont des pensées suicidaires, d’après un sondage de l’Ifop et de la fondation Jean Jaurès. Depuis le reconfinement, le nombre de jeunes patients accueillis aux urgences pédiatriques pour des crises suicidaires a doublé. Il faut voir dans ce phénomène la troisième vague de la crise sanitaire qui aura donc par trois fois pris le gouvernement en flagrant délit d’impréparation, d’incompétence, et d’incohérence : d’abord face à la maladie elle-même, faute d’une stratégie efficace dotée des moyens nécessaires, ensuite avec un confinement mortel pour notre économie, et absurde en raison des inégalités imposées d’en-haut par une administration déconnectée de la réalité, enfin vient la démoralisation d’une nation réduite à une foule d’individus soumis à un Etat coercitif et inefficace dont ils ne retirent plus la moindre fierté.

    Dans son palais, le président ne songe pourtant qu’à sa réélection. Puisque la guerre contre le virus a fait long feu, est-il en train de changer son fusil d’épaule, et de s’inventer une vraie guerre ? La démonstration bien peu convaincante face à la Turquie, la défense et promotion du blasphème ont suscité un vent de réprobation dans les pays musulmans les plus fanatisés. La France songerait maintenant à restreindre l’immigration en provenance de certains d’entre eux et tente de restituer aux envoyeurs quelques-uns des malvenus qu’ils nous avaient expédiés. La “sécurité globale” est à l’ordre du jour. Aussi, les manifestations de la gauche pétitionnaire contre le pouvoir tendent à jeter les électeurs qui se croient “de droite” dans les bras du macronisme. C’est là le dernier épisode de la mystification dont les Français sont l’objet depuis 2017. Le maniaque de la repentance chez lui (ou à défaut, en Algérie), le récidiviste de l’ingérence chez les autres, et aux yeux de tous, le spécialiste de l’impuissance est bien mal placé pour incarner le réveil de la fierté nationale !

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Attentat de Nice : « c’est Dieu lui-même que M. Macron insulte »

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2020

    Toute notre gratitude à M. l’abbé Patrick de La Rocque, Prieur du prieuré Saint-Joseph de Nice (FSSPX), qui, dans une lettre à ses fidèles, remet les choses à leurs places. Il y dénonce, sans langue de bois, la « République laïque et maçonnique » et sa responsabilité dans les terribles événements qui secouent notre Patrie et déclare ne reconnaître « aucun droit au respect à Mahomet, encore moins à un respect sacré. » En ces temps de silence complice tant des autorités laïques que religieuses, il fallait oser le dire. Il a osé. Nous l’en remercions chaleureusement et lui apportons tout notre soutien.

    Nice, ce 29 octobre 2020

     

    Bien chers fidèles

    Comme moi, vous avez appris ce matin le terrible attentat qui a secoué notre ville. Bien évidemment, notre prière va d’abord aux victimes et à leurs familles, mais peut-être plus encore à notre pays.

    On nous dit que le coupable a été neutralisé. Je n’en suis pas si sûr. Certes, le terroriste imprégné d’islam a été arrêté par les forces de l’ordre. Mais est-ce là le responsable ultime de ce qui s’est produit ce matin ?

    M. Macron, en porte-parole de notre République laïque et maçonnique, a revendiqué pour notre pays le « droit au blasphème » ; n’a-t-il pas une responsabilité énorme dans ce qui vient de se dé- rouler ?

    Il est clair que je ne reconnais aucun droit au respect à Mahomet, encore moins à un respect sacré. Au jour où l’islam célébrait la naissance de son « prophète », ce terroriste n’a fait qu’imiter les pratiques souvent barbares de ce chef de guerre dont il se revendique, ainsi que l’indique suffisamment l’histoire. Et de même que je ne peux respecter l’acte de ce terroriste, ainsi je ne peux respecter Mahomet, mort avec de tels crimes sur la conscience. Il n’en reste pas moins que nos concitoyens, qui hélas n’ont pas encore découvert la beauté et la véracité du christianisme, méritent quant à eux un minimum de respect. Les insulter n’est pas les aider.

    Plus que ses concitoyens, c’est Dieu lui-même que M. Macron insulte. En son orgueil incommensurable, il se revendique supérieur à son Créateur, au point de réclamer le droit de le mépriser, de l’insulter. En affirmant à maintes reprises qu’il n’y a aucune loi au-dessus de la République, notre Président ne fait que diviniser cette dernière ; il en fait le principe ultime du bien et du mal. Nous voici revenus au temps des empires païens, dont le prince prétendait incarner la Toute-Puissance. Cela s’appelle une dictature.

    Voici peu, dans l’hommage à M. Paty, M. Macron reconnaissait en ce professeur décapité le visage de la République. Il ne pensait pas si bien dire. En supprimant toute loi transcendante seule capable d’unir les hommes, M. Macron a comme décapité notre pays. Il lui retire son âme, cette âme chrétienne qui a forgé la beauté et la prospérité de notre Patrie. Mais un corps décapité ne peut que se décomposer. C’est là l’exacte image de notre République laïque et maçonnique. Pour s’être affranchie de Dieu, elle a détruit l’ultime principe d’unité ; elle ne peut qu’engendrer les séparatismes.

    Notre France, dans sa folie, s’est donc revendiquée Charlie. Ayant perdu la tête, voici qu’aujourd’hui elle décapite au sens propre ses enfants. La laïcité si fortement revendiquée continue à verser dans son sillon le sang innocent de ses enfants. Prions pour ces enfants, et plus encore pour nos gouvernants, afin qu’ils reviennent à raison.

    Quant à vous qui me lisez, « comportez-vous en hommes sages, car les temps sont mauvais » (Ep 5,16). Ne craignez pas ceux qui peuvent tuer le corps, mais ceux qui corrompent l’esprit. Ne craignez pas ceux qui peuvent tuer le corps, mais Celui qui peut perdre et l’âme et le corps dans l’éternelle géhenne de feu (Mt 10, 28).

    Abbé P. de LA ROCQUE

     

    Source : medias-presse.info

  • Le couvre-feu imposé par Macron

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020

    Le couvre-feu imposé par Macron en Île-de-France et dans huit métropoles pour six semaines au moins vient s'ajouter à celui, permanent, que subissent des centaines de milliers de nos compatriotes, hommes et femmes, qui, dès la nuit tombée, n'osent plus s'aventurer hors de chez eux.

    Il y a le totalitarisme démocratique appliqué à la gestion sanitaire qui fait des Français des ombres asservies. Il y a le totalitarisme de la racaille qui fait de la France un coupe-gorge.

    Combattre l'un c'est combattre l'autre.
    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : nuit, arbre, ciel et plein air
     
     
     
  • Quand le scandale Pétronin devient un scandale Macron...

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2020

    Normalement, le semble-chef du semble-État que nous subissons est le Chef des Armées; accessoirement, gardien et garant des Institutions.

    Quand, sans réagir, il laisse Sophie Pétronin dire des djihadistes : "Appelez-les comme vous voulez, moi je dirais que ce sont des groupes d’opposition armés au régime", cela revient à laisser cracher au visage de nos 45 soldats (29 ans en moyenne) morts au Mali...

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    Source : lafautearousseau