Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2020
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Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2020
Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2020
Le président de la République est-il impliqué dans le scandale de corruption concernant l’attribution de la Coupe du monde 2022 au Qatar ? C’est ce qu’affirme Mediapart, qui a eu accès à des écoutes et des rapports de synthèse judiciaires. Selon le site, Michel Platini a affirmé en 2019 au téléphone qu’Emmanuel Macron s’était engagé à l' »aider » judiciairement. Un haut magistrat en poste à la Cour de cassation serait également impliqué.
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Dans l’une des écoutes entendues par les enquêteurs, Michel Platini échange, le 24 mai 2019, avec son ami Jean-Pierre Chanal, directeur général adjoint des services de la Ville de Marseille. Michel Platini lui dit : « Moi, j’ai envoyé un truc à l’Élysée en disant que le président il a dit qu’il m’aiderait (…) Ça serait bien qu’il le montre maintenant, hein. »
Jean-Pierre Chanal aurait également mis en contact Michel Platini avec Michel Debacq, haut magistrat de la cour de Cassation. Selon les écoutes, il se serait impliqué aussi et aurait usé de son influence pour aider Platini à ouvrir une enquête sur ceux qui l’auraient dénoncé à la justice suisse.
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Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2020
Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2020
Suite à la guerre entre Maghrébins et Tchéchènes à Dijon, Laurent Nuñez promet “une réponse extrêmement ferme”.
En août 2019, lors des obsèques du maire de Signes, Emmanuel Macron avait promis une réponse ferme face aux incivilités. (Pour lui, le meurtre est une “incivilité”)
En avril 2019, face aux violences des Black Blocs, Emmanuel Macron demandait une réponse extrêmement ferme. Les Black Blocs ne semblent pas avoir entendu Emmanuel Macron.
Du coup, en août 2019, Christophe Castaner menaçait les Blacks Blocs d’une “réponse extrêmement ferme”. Les Blacks Blocs ont continué les saccages pendant toute l’année 2019.
Ce n’est pas Emmanuel Macron qui a inventé cette blague.
Manuel Valls et Bernard Cazeneuve aussi affirmaient être “extrêmement fermes”.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2020
Les Français n'attendaient rien de l'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ce dimanche soir.
Ils n'ont donc pas été déçus.
Malgré une parti pris affiché de paraître direct, concis, concret et clair, Macron aura été tel que nous le connaissons : satisfait de lui même et prêt a toutes les promesses au demeurant contradictoires et nébuleuses, promesses qu'il croit pouvoir résumer par son nouveau mantra : "nouvel acte, nouveau chemin, réinvention".
Nullité abyssale d'un Président de la République qui, d'allocutions présentées comme solennelles en conférences inutiles et en points d'étapes subalternes, a alterné au fil des mois, propos guerriers et mièvrerie bisounours, se bornant à commenter l'actualité et constatant aujourd'hui que le coronavirus est méchant mais s’éloigne tout en pouvant revenir bientôt, que l'eau de pluie est humide, que la nuit est plus obscure que le jour, que le monde est vaste, l'économie en difficulté, la société en fragilité, sans oublier de rappeler que le racisme c'est mal mais que taper sur des policiers n'est pas très bien non plus, et que, au final, c'est "celui qui dit qui est" même si "jeux de mains, jeux de vilains"...
Aucune vision de la France à venir. La République de demain sera celle d'avant, plus le mot "indépendance" dont Macron a usé et abusé dans son intervention. Comme l'écrivait Montherlant, "C'est quand la chose manque qu'il faut y mettre le mot".
Aucun plan global de rétablissement de l'Etat, aucune piste de reconstruction morale, politique, industrielle, sanitaire, identitaire et sociale du Pays. Aucune perspective non plus sur le court terme au delà des annonces ponctuelles et réversibles sur le retour au vert de l'Ile de France, la liberté de circulation en Europe ou l'assouplissement des règles et protocoles dans les établissements scolaires. Rien, si ce n'est, en filigrane, la préparation des manœuvres de basse politique politicienne sensées dans son esprit conduire à sa réélection en 2022... Ou avant.
Il n'y a pas de Président de la République à l'Élysée. Seulement un boy scout, la tête dans les étoiles et l'esprit tourné vers le pays des fées. Mais un boy scout laïcisé, qui jamais n'aurait fait sa Promesse. Rue Saint-Honoré, le youkaïdi-youkaïda de l'infantilisme progressiste et globalisant a remplacé la Marseillaise.
La France, elle, est un navire mal en point sans capitaine et commandé par un mousse; bateau ivre sans gouvernail, ni sextant, ni boussole, abandonné aux cinq vents mauvais de la dislocation sociale, de la destruction économique, de la submersion migratoire, de la néantisation de ses valeurs et de l'offensive racialo-gauchiste.
Mais cela, il est vrai, ne date pas de 2017.
Rien de nouveau, en effet, sous l'éclipse du soleil national.
Jean-François Touzé, Délégué général du Parti de la France.