Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2020
Emmanuel Macron: « Quand on vit ce que l’on vit, on ne peut pas demander aux gens de l’avoir prévu il y a dix ans »
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Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2020
Emmanuel Macron: « Quand on vit ce que l’on vit, on ne peut pas demander aux gens de l’avoir prévu il y a dix ans »
Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2020
"Des décisions difficiles" disent-ils...
La crise économique et sociale qui vient s'annonce majeure. Ses conséquences en termes de chômage, d'effondrement du pouvoir d'achat, de désintégration des services publiques et de dislocation nationale seront cruelles.
La gestion aberrante de la vague épidémique de l'hiver dernier qui fut celle de l'exécutif en est à la fois la cause et l'effet, l'arbre sanitaire servant à cacher la forêt de l'échec du Système.
Dans le même temps, la France toute entière est devenue un coupe-gorges où meurtres, agressions, viols, cambriolages, actes de barbarie et terrorisme islamique sont devenus le quotidien de nos compatriotes tandis que menace l'explosion générale de la poudrière des cités occupées par des populations venues d'ailleurs.
Le mal concerne toute l'Europe. La France est en première ligne qui est le maillon premier de la décomposition identitaire et morale du continent qui inventa jadis la civilisation.
Dès lors, le pouvoir, craignant pour sa survie sait que, face à ces menaces mais aussi face à la colère croissante des Français certes encore rentrée mais frémissante, il n'a d'autre choix que celui de la fuite en avant dans le totalitarisme de la radicalité régimiste redessinée à la mode sanitaire par l'encadrement sévère de la vie de chacun et l'exigence d'un alignement populaire par contrôle absolu de tous les actes du quotidien.
Les "décisions difficiles" dont il est désormais question pour enrayer la fantasmagorique montée en puissance d'un virus banal doivent se lire à cet éclairage.
Macron et les siens n'hésiteront pas, même au prix d'une aggravation de la situation économique — les grandes sociétés financiarisées choyées par le Système seront peu touchées contrairement aux commerces et aux petites entreprises dont le sort importe peu à ceux qui se croient puissants— à faire couler sur les libertés publiques une chape de plomb qui n'empêchera certes pas l'ensauvagement allogène mais la dissimulera un peu pour un temps, et surtout donnera au gouvernement les moyens d'étouffer dans l'oeuf la colère des braves gens.
Qu'ils prennent garde cependant. Les Français sont lents dans leurs réactions. Leur capacité d'inertie, de passivité, de panurgisme et d'acceptation de ce qu'on leur impose est grande. Jusqu'au jour où... Les exemples sont multiples dans notre histoire qui montrent que l'obéissance trouve un jour d'embrasement général ses limites temporelles.
Caevant Consules... Que les consuls craignent alors la colère du peuple.
Jean-François Touzé.
Publié par Guy Jovelin le 09 septembre 2020
S’il fallait encore une preuve du danger du port du masque obligatoire, elle vient d’être fournie par le président Emmanuel Macron en personne.
Emmanuel Macron a failli s’étouffer lors d’une visite dans un lycée professionnel à Clermont-Ferrand. Portant le masque, il s’adressait à des élèves, lorsqu’il a été pris d’une quinte de toux.
Selon lui, il aurait avalé “un truc du masque“.
“(…) Je vais essayer d’aller au bout. Deuxième chose, on l’a vu ce matin à travers le campus … on tient les distances mais… donnez-moi un masque plus léger… je vais mettre un masque plus léger parce que j’ai dû absorber un truc du masque… on va y arriver, merci pour votre patience!”, dit le chef de l’État français entre des toussotements répétés.
Cette scène éloquente devrait faire réfléchir ceux qui pensent que l’on peut passer chaque journée de travail, chaque sortie en rue, avec un tel masque sur la bouche et le nez.
Bien des professionnels de la santé ont déjà répété qu’un tel usage du masque transforme celui-ci en nid de bactéries.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2020
Après 4 jours d’âpres discussions, les dirigeants des 27 pays de l’UE sont parvenus le 21 juillet 2020 à un accord sur un plan de relance de 750 milliards d’Euros pour atténuer les conséquences de la COVID -19.
Ce plan se décompose en 390 milliards de subventions (dont 40 pour la France), et 360 de prêts (qui devront être remboursés).
Il faut rappeler que l’accord initial franco-allemand du 18 mai portait sur 500 milliards de subventions.
L’obstination des « pays frugaux », emmenés par le Premier ministre des Pays Bas, l’a emporté sur les désirs du couple Macron-Merkel.
Le résultat du marathon de Bruxelles est donc très éloigné des cris de satisfaction poussés par la Macronie.
Les 40 milliards accordés à la France sont une goutte d’eau dans l’océan des aides diverses accordées par le gouvernement français pour atténuer les conséquences désastreuses du confinement sur l’économie du pays.
En ajoutant l’indemnisation du chômage partiel, les aides aux entreprises en difficulté, les prêts garantis par l’État, les nombreuses augmentations de salaires (aux personnels de santé, aux forces de l’ordre, aux enseignants, etc.), on dépasse largement les 500 milliards d’Euros.
Si l’on ajoute le fait que les « pays frugaux » ont monnayé leur soutien en échange de rabais substantiels sur leurs contributions au financement de l’UE, on voit que le résultat pour la France est dérisoire.
En revanche, le diable se niche toujours dans les détails, et Macron peut être fier d’avoir marqué un point essentiel dans sa démarche inchangée visant à faire de l’UE un super-État.
En effet, il a obtenu que les défaillances éventuelles des États-membres dans leurs obligations découlant du plan de relance seraient couvertes par des impôts créés à l’initiative de l’Union européenne.
Or la notion même d’État est indissociable de la notion de fiscalité. Il n’y a d’État qu’à partir du moment où une autorité est maîtresse de la fiscalité s’appliquant au territoire sur lequel elle a juridiction.
Par ce petit artifice autorisant l’UE à créer et à lever des impôts, Macron fait de l’UE un État – ce qu’elle n’est pas jusqu’à maintenant.
Ainsi Macron a remarquablement marqué un point dans la partie qu’il joue depuis son accession au pouvoir : réduire les États-nations au rang de vassaux d’un super-État : l’Europe.
Mais se rappelle-t-il qu’il est – pour le moment – le Président des Français ?
Source : les4verites
Publié par Guy Jovelin le 01 septembre 2020
Macron en sauveur du Liban... Aussi crédible et voué au succès que Baroin en sauveur de la droite, Faure en porte voix de la gauche, Mélenchon en homme providentiel de la France populaire et Marine Le Pen en championne de la droite nationale.
Jean-François Touzé.