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macron - Page 46

  • Coronavirus : Macron en guerre… contre le peuple

    Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2020

    Bonjour à tous,
     
    Ci-joint le dessin pour cette semaine.
    J’espère me tromper concernant la suite du programme de nos maîtres…

    Le Coronavirus a un intérêt politique majeur :

    . Soit c’est l’occasion pour le Système de supprimer l’argent liquide (vecteur de propagation), d’imposer des vaccins louches à toute la population et d’avancer ses pions vers un “nécessaire” gouvernement mondial, pour que “plus jamais ça”…

    . Soit c’est l’occasion d’une prise de conscience des peuples pour se reprendre en mains après les drames à venir.

    Donc relocalisation des industries, moins de “voyages”, moins d’exploitation du tiers monde, retour aux productions locales et traditionnelles, retour de la notion de Nation et de l’humilité à échelle humaine…
     
    ProjetKO
     
  • Quand viendra le temps des comptes.

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2020

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    Dans deux mois, dans trois mois ou plus, lorsque s'éteindra l'épidémie, lorsque nos morts seront enterrés, viendra le temps des comptes et celui du devoir de reconstruction.

    Les comptes... Les responsabilités d'Emmanuel Macron et de son gouvernement sont lourdes, eux qui, par nonchalance autant que par idéologie, ont hésité, atermoyé, oscillé, ne mettant pas à profit les quelques semaines qui ont suivi le déclenchement de la maladie en Chine pour anticiper sa diffusion afin de produire les quantités de masques, de gel et de gants nécessaires, et se refusant à prendre les mesures d'autorité qui s'imposaient en termes de fermeture de frontières et de confinement, ou les prenant à contre temps sans donner aux forces de sécurité les moyens de leur application. Les sanctions devront tomber.

    Il serait pourtant sans effet de se contenter de mettre en cause le pouvoir actuel.

    Les responsables sont ceux — tous ceux — qui, à un titre ou à un autre — politique, économique, social, médiatique — ont participé depuis des décennies à l'effondrement de la France. Tous ceux qui ont fait de notre Nation un pays du tiers-monde, sapant ses valeurs, altérant son identité, détruisant son industrie, défaisant les liens sociaux, ruinant ses services publics, réduisant, marginalisant et appauvrissant son armée, et livrant des pans entiers de notre territoire à la racaille issue de l'immigration par une casbahisation accélérée de nos quartiers.

    Mais si l'ensemble du Système n'est pas remis en cause, aucune commission d'enquête, aucune traduction devant les cours compétentes pour juger tel ou tel membre de l'Exécutif actuel ou passé ne sera utile.

    Surtout, aucune reconstruction ne sera possible. Tout recommencera comme avant. Avec des moyens encore plus affaiblis. Et une fiscalité encore alourdie, car le régime n'hésitera pas à faire payer aux Français le prix de sa criminelle défaillance.

    Le salut public exige une renationalisation de l'ensemble de la France. Renationalisation morale, économique, sociale, identitaire et sécuritaire.

    Pas de reconstruction de nos services de santé, pas de victoire sur la terrible crise sociale qui se dessine, pas de redressement économique, pas de retour à la cohésion française, pas de rénovation du domaine public, pas de relocalisation industrielle, pas de retour de l'autorité régalienne, pas de reconquête des cités, tant que la voie nationaliste ne sera pas appliquée.

    Les responsables de l'effondrement français devront être punis. Mais le régime, lui, devra disparaître.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du PdF.

  • Confiance : la cote de Macron bondit (+13) en pleine crise sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2020

    Par  le 20/03/2020

    En pleine crise du coronavirus, la cote de confiance d’Emmanuel Macron bondit de 13 points et franchit pour la première fois la barre des 50% depuis près de deux ans, et celle d’Édouard Philippe gagne 10 points, selon un sondage Harris Interactive-Epoka publié vendredi. Le chef de l’État progresse dans toutes les tranches d’âge.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • L'improvisation de Macron

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2020

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    Communiqué de Jean-François Touzé, délégué général du PdF

    Cinq jours seulement après une première intervention consacrée au coronavirus, deux jours après celle de son Premier ministre, Emmanuel Macron a cru utile de reprendre la parole témoignant ainsi de l'improvisation totale dans laquelle l'Exécutif prend ses décisions, gérant la crise au jour le jour sans stratégie ni ligne de force.
     
    Le pouvoir découvre ainsi, mais bien tard, qu'un confinement ne va pas sans contraintes, qu'une annulation du second tour des élections municipales s'impose quand la tenue du premier tour était indispensable à notre vie démocratique, que la fermeture des frontières extérieures de l'Europe pourrait s'avérer utile là où le dogme libre-échangiste l'interdisait, que le retrait de la réforme des retraites pouvait contribuer à l'unité nationale, et que seules des mesures autoritaires peuvent permettre l'application d'un plan d'endiguement. 
     
    L'incompétence du pouvoir est patente et les annonces floues de soutien économique et social seront jugées à l'aune de leur application. 
     
    Pour autant, la responsabilité de chacun d'entre nous est désormais engagée. Le Parti de la France appelle tous les Français à la discipline, au sang froid, au courage tranquille et à la patience. Les mauvais jours finiront. Il sera temps alors d'exiger des comptes.
  • Macron et le coronavirus : la politique du carton-pâte.

    Publié par Guy Joelin le 13 mars 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    L'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ce jeudi soir se voulait responsable et porteuse d'un message de puissance publique.

    Elle ne fut qu'inutilement anxiogène, à l'image de la gestion brouillonne et incohérente qui, depuis les premiers jours, est celle de l'Elysée et du gouvernement face à la crise du coronavirus. 
     
    Incapable, malgré ses appels factices à l'unité et à "faire Nation", de s'élever au dessus des contingences et de prendre, au delà de la fermeture des écoles, les mesures concrètes de protection des Français comme le font, par exemple les Présidents russes et américains, oscillant entre tentative décalée de rassurer et une dramatisation à la limite du ridicule, le Président de la République n'aura réussi qu'à convaincre les Français qu'ils n'étaient ni dirigés ni protégés mais conduits dans la nuit noire par un aveugle.
     
    C'est au pied du mur que l'on voit le Macron. 
     
    Des murs... Loin de dresser ceux qui seraient nécessaires pour combattre l'épidémie et ses effets sanitaires comme économiques et sociaux, loin de bâtir les digues contre l'invasion migratoire, loin d'ériger les barrières commerciales dont auraient besoin notre industrie et notre agriculture, loin de cimenter les remparts stratégiques que l'accumulation des menaces rendrait indispensable, Macron lézarde encore et encore notre édifice national et laisse la France à claire-voie. Ses murs à lui sont des murets. Ils sont en carton-pâte.