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macron - Page 50

  • Confiance : la cote de Macron bondit (+13) en pleine crise sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2020

    Par  le 20/03/2020

    En pleine crise du coronavirus, la cote de confiance d’Emmanuel Macron bondit de 13 points et franchit pour la première fois la barre des 50% depuis près de deux ans, et celle d’Édouard Philippe gagne 10 points, selon un sondage Harris Interactive-Epoka publié vendredi. Le chef de l’État progresse dans toutes les tranches d’âge.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • L'improvisation de Macron

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2020

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    Communiqué de Jean-François Touzé, délégué général du PdF

    Cinq jours seulement après une première intervention consacrée au coronavirus, deux jours après celle de son Premier ministre, Emmanuel Macron a cru utile de reprendre la parole témoignant ainsi de l'improvisation totale dans laquelle l'Exécutif prend ses décisions, gérant la crise au jour le jour sans stratégie ni ligne de force.
     
    Le pouvoir découvre ainsi, mais bien tard, qu'un confinement ne va pas sans contraintes, qu'une annulation du second tour des élections municipales s'impose quand la tenue du premier tour était indispensable à notre vie démocratique, que la fermeture des frontières extérieures de l'Europe pourrait s'avérer utile là où le dogme libre-échangiste l'interdisait, que le retrait de la réforme des retraites pouvait contribuer à l'unité nationale, et que seules des mesures autoritaires peuvent permettre l'application d'un plan d'endiguement. 
     
    L'incompétence du pouvoir est patente et les annonces floues de soutien économique et social seront jugées à l'aune de leur application. 
     
    Pour autant, la responsabilité de chacun d'entre nous est désormais engagée. Le Parti de la France appelle tous les Français à la discipline, au sang froid, au courage tranquille et à la patience. Les mauvais jours finiront. Il sera temps alors d'exiger des comptes.
  • Macron et le coronavirus : la politique du carton-pâte.

    Publié par Guy Joelin le 13 mars 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    L'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ce jeudi soir se voulait responsable et porteuse d'un message de puissance publique.

    Elle ne fut qu'inutilement anxiogène, à l'image de la gestion brouillonne et incohérente qui, depuis les premiers jours, est celle de l'Elysée et du gouvernement face à la crise du coronavirus. 
     
    Incapable, malgré ses appels factices à l'unité et à "faire Nation", de s'élever au dessus des contingences et de prendre, au delà de la fermeture des écoles, les mesures concrètes de protection des Français comme le font, par exemple les Présidents russes et américains, oscillant entre tentative décalée de rassurer et une dramatisation à la limite du ridicule, le Président de la République n'aura réussi qu'à convaincre les Français qu'ils n'étaient ni dirigés ni protégés mais conduits dans la nuit noire par un aveugle.
     
    C'est au pied du mur que l'on voit le Macron. 
     
    Des murs... Loin de dresser ceux qui seraient nécessaires pour combattre l'épidémie et ses effets sanitaires comme économiques et sociaux, loin de bâtir les digues contre l'invasion migratoire, loin d'ériger les barrières commerciales dont auraient besoin notre industrie et notre agriculture, loin de cimenter les remparts stratégiques que l'accumulation des menaces rendrait indispensable, Macron lézarde encore et encore notre édifice national et laisse la France à claire-voie. Ses murs à lui sont des murets. Ils sont en carton-pâte.
  • Dette publique : Emmanuel Macron a réussi à faire pire que François Hollande

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2020

    Dette publique : Emmanuel Macron a réussi à faire pire que François Hollande

    Jean-Yves Archer, énarque, économiste et membre de la Société d’économie politique, donne les chiffres accablants pour le chef de l’Etat :

    • En 2012, lorsque François Hollande a été élu, notre dette était de 1 894 milliards d’euros, soit 90,4 % du PIB.
    • À la moitié du mandat, en 2015, la dette était de 2 061,7 milliards soit une progression de 167,7 milliards.
    • Emmanuel Macron fut élu en 2017 alors que la dette était de 2 198,3 milliards à mi-2017
    • Cette dette est désormais de 2 415,1 à la fin du troisième trimestre 2019, soit une progression de 216,8.
    • le président pulvérise le record de son prédécesseur et fait franchir à notre dette le seuil symbolique de 100 % du PIB, avec 100,4 %.

    En même temps, comme dirait l’autre, il était ministre de l’Economie de François Hollande. Donc il a dépassé sa propre performance…

    Jean-Yves Archer précise :

    Au troisième trimestre 2019, source Insee, la dette s’est accrue de 39,6 milliards. Soit plus de la moitié des recettes de tout l’impôt sur le revenu. Ce chiffre simple atteste de la dynamique nocive de la progression de la dette.

    Les magistrats financiers de la Cour des comptes ont explicitement énoncé que les efforts en matière de comptes publics étaient “à l’arrêt”.

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron ne veut pas revaloriser les retraites des agriculteurs (pour 1,1 milliard d’€), mais consacre 2 milliards aux clandestins « mineurs isolés »

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2020

    Rencontre mémorable entre deux […]

    « Emmanuel Macron a jugé samedi [au salon de l’agriculture] qu’il était « impossible » de revaloriser les pensions de retraite actuelles des agriculteurs à 85 % du Smic, une mesure prévue dans le futur système mais qui coûterait trop cher  à appliquer aux agriculteurs déjà à la retraite.  […] « C’est impossible. C’est impossible, parce que c’est 1,1 milliard ». (source 20 Minutes)

    En revanche, cela ne lui pose pas de problème de consacrer 2 milliards par an aux clandestins prétendument « mineurs isolés » ou de verser 8 milliards d’aide à l’Afrique.

     

    Source : contre-info