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macron - Page 51

  • A Mulhouse, Macron prononce son discours de la méthode rustine pour sauver le « vivre ensemble »

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2020

    18 Février 2020, 19:12p

    Publié par Thomas Joly

    Par un paradoxe d'apparence, c'est Mulhouse, ville emblématique de l'islamisation de la France puisqu'elle abrite la mosquée-cathédrale An-Nour gérée par des proches des Frères musulmans, que Macron, a choisi pour inaugurer sa séquence « laïciste ».

    En se contentant de déplorer les maux du « communautarisme » (terme équivoque car tous les communautarismes ne se valent évidemment pas) et du « séparatisme » (ce qui suppose une appartenance préalable), au lieu de désigner clairement les menaces que fait peser sur la France l'offensive multimodale et polymorphe menée par l'islamisme, Emmanuel Macron a tenté, dans une intervention aussi incantatoire que décalée, de dissimuler son impuissance à faire face. Il a surtout peiné à légitimer, par avance, les seules mesurettes que ce régime décomposé soit encore vaguement capable de prendre, un énième « plan de lutte contre la radicalisation » dont l'annonce sera faite dans une dizaine de jours mais que chacun connaît déjà : renforcement de la laïcité, contrôle des fonds cultuels venus de l'étranger et organisation du culte musulman. Ce n'est pas un plan de combat contre l'islamisme, tout au plus un garde-fou contre ses effets les plus criants. C'est surtout une méthode de rafistolage du « vivre ensemble ».

    Ces dispositions légales ou réglementaires, en admettant même qu'elles soient un jour réellement appliquées, relèveraient de la politique de la rustine et aboutiraient, au final, à l'institutionnalisation définitive du salafisme et des Frères musulmans. Ce n'est ni l'abstraction communautariste, ni le trompe-l'œil séparatiste — concepts totalement étrangers aux organisations concernées qui visent bien plus haut et bien plus loin— qu'il s'agit de combattre, mais la réalité opérationnelle de la main mise sur des pans entiers de notre territoire par l'islam politique mais aussi par les caïds des cités dans un partage consenti et organisé des quartiers, dans l'intérêt bien compris de chacune des parties.

    Une phrase devra être retenue de ce déplacement. Elle sonne comme un aveu : « Face au communautarisme, la République doit tenir ses promesses car, quand elle ne le fait pas, d'autres cherchent à la remplacer (...) Il faut lutter contre les discriminations ». Autrement dit, pour Macron, la menace ne vient pas de ceux qui veulent imposer la charia, mais de la réaction populaire qui pourrait en découler.

    Pour le Parti de la France, seule une politique menée d'une main de fer, d'arrêt immédiat et total de l'immigration dans ses composantes légales (immigration de travail et regroupement familial) comme dans ses filières clandestines ou liées au droit d'asile, suivie d'un vaste chantier de retour systématique au pays d'origine, couplée avec la mise en œuvre d'un nouveau code de la nationalité englobant la réforme des procédures de déchéance, et d'une législation d'exception permettant la rétention avant expulsion, pourra permettre à la France de sortir de la spirale mortelle dans laquelle elle s'enfonce, année après année.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

  • Mulhouse : une femme en voile intégral à 10cm d’Emmanuel Macron

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2020

  • le "vivre ensemble"

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    @JeanFranoisTou1
     
    #communautarisme #Séparatisme #Macron évite de dénoncer en la nommant l'offensive polimorphe menée contre la France par l'islamisme. Quant aux "solutions", elles sont dérisoires. À #Mulhouse, Macron a prononcé son discours de la méthode rustine pour sauver le "vivre ensemble".
     
     
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  • Pour Macron, il est évident qu’un père n’est pas forcément un « mâle »

    Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2020

    Il y a quelques mois, le catastrophique ministre de la Santé (sic), Agnès Buzyn, avait osé dire « un père, ça peut être une femme, évidemment ». Quoiqu’on dit nos confrères du Monde à propos de notre article d’alors, c’est parfaitement le sens de son propos.

    Voici que c’est maintenant Emmanuel Macron lui-même qui partage ce délire contre la paternité et contre la complémentarité homme/femme, pourtant évidemment naturelle.

    Dimanche dernier, comme le rapporte Valeurs actuelles, l’Elysée accueillait « de nombreux acteurs de la protection de l’enfance étaient rassemblés pour fêter les 30 ans de la ratification de la Convention internationale des droits de l’enfant » avant que le président ne se retrouve avec les seuls présidents des Associations familiales catholiques (AFC).  L’un d’eux, Pascale Morinière, parvint à interpeller Emmanuel Macron, lui disant qu’il est incohérent de célébrer les 30 ans de cette convention tout en défendant la « PMA sans père ». Alors le président de la République lui répondit que la paternité se divise en deux fonctions : l’une génétique et l’autre symbolique ; puis devant l’insistance de son interlocutrice sur cet aspect symbolique, il lâche :  « Je comprends. Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père est forcément un mâle. Tous les psychanalystes vous diront le contraire. »
    Les psychanalystes… Quelle référence ! D’ailleurs ils ne sont pas tous d’accord sur ce point, mais peu importe.
    Emmanuel Macron confirme que, imprégné jusqu’à l’os par l’idéologie libérale (ou dite « progressiste ») et traumatisé par son expérience avec son professeur Brigitte Trogneux (il n’avait que 14 ans !), il est complètement paumé, et ne sait pas ce qu’est une famille.

     

    Source : contre-info

  • Emmanuel Macron se trompe en désignant le christianisme comme une “religion du livre”

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2020

    Auteur : Philippe Carhon

    Emmanuel Macron se trompe en désignant le christianisme comme une “religion du livre”

    A Jérusalem, Emmanuel Macron vient de faire preuve d’un manque de culture religieuse en déclarant :

    Emmanuel Macron @EmmanuelMacron

    Ici vivent les trois grandes religions du Livre, ensemble, à travers des lieux qui ont marqué leur propre Histoire. Le rôle de la France, par la laïcité, c'est de dire que reconnaître la part de chacun avec calme, respect, c'est un pas vers la capacité à vivre ensemble, en paix.

    Voir l'image sur TwitterC’est un grave erreur car c’est une différence fondamentale notamment entre le catholicisme et l’islam avec toutes les conséquences de violence que l’on constate aujourd’hui et depuis toujours de la part des musulmans. Explications :

    Il est courant d’entendre dire que le judaïsme, le christianisme et l’islam sont les “trois religions du livre”. Cette affirmation visant à mettre ces trois religions sur une sorte de pied d’égalité. Or il faut cesser de répéter une telle sottise… et surtout cesser d’y croire ! 

    L’islam est bien une “religion du livre”; et c’est d’ailleurs ce qui pose problème puisque ce qui est écrit dans le livre – le Coran – ne peut être ni modifié ni discuté. Il n’y a pas d’exégèse possible en islam et les versets du Coran sont à prendre tels qu’ils sont écrits, “au pied de la lettre”. Le judaïsme est aussi – mais dans une mesure bien moindre – une “religion du livre’’. Mais si le texte de la Torah doit être fidèlement transcrit, il peut – il doit même – être commenté, expliqué. En quelque sorte, on peut dire que si le texte est fixé de façon scrupuleuse en tant qu’il est la parole de Dieu, il faut en saisir l’ “esprit” plus que la simple lettre.

    Quant au christianisme, et surtout au catholicisme (mettons à part certaines communautés issues de la Réforme), il n’est en aucune façon une “religion du livre”. Certes, la tradition liturgique fait que l’Evangéliaire est richement orné et est porté en procession au début de la célébration eucharistique : mais ce n’est pas le livre que l’on honore… c’est son contenu ! Le livre n’est respecté qu’en tant qu’il est un support matériel de la Parole divine. De fait, à la messe, au moment de la proclamation de l’Evangile, le célébrant n’encense pas l’Evangéliaire lorsqu’il vient de le poser sur l’ambon, mais uniquement après qu’il ait annoncé “Lectio sancti Evangelii secundum… N.” (Evangile de Jésus Christ selon N.) en faisant le signe de la croix avec le pouce sur le livre, puis sur lui-même au front, à la bouche et à la poitrine. (Cf. Missel romain, Introduction générale n. 134.) C’est donc bien l’Evangile – la Parole de Dieu – et non l’Evangéliaire – le livre – qu’on encense par signe de respect. Et à la fin de la proclamation de l’Evangile du jour, le célébrant dit “Verbum Domini” (Acclamons la Parole de Dieu)… Retenons bien : c’est de la Parole qu’il s’agit ! A la différence du “texte” coranique écrit qui est, pour un musulman, l’enseignement reçu de Dieu, pour un catholique c’est dans la “parole” évangélique proclamée – et non dans la “matérialité” du texte imprimé ou manuscrit – qu’il faut chercher l’enseignement de Dieu. Voilà aussi pourquoi il existe une exégèse des textes bibliques : ceux-ci ne sont pas à prendre systématiquement “au pied de la lettre” mais doivent être “scrutés”, “décortiqués” à la seule lumière de la Tradition vivante de l’Eglise. D’une façon générale, le christianisme ne saurait en aucune façon passer pour une “religion du livre”: il est une religion de la Parole. Et il faut donc définitivement tordre le cou à cette idée fumeuse – qui n’est probablement pas sans arrière-pensée – selon laquelle le christianisme, le judaïsme et l’islam seraient les “trois religions du livre“.

    Ou encore ici dans La Croix :

    Dans le Coran, les juifs et les chrétiens sont désignés comme les «gens du Livre» (ahl al-kitâb). C’est-à-dire ceux qui, comme les musulmans, ne reconnaissent qu’un seul Dieu. L’expression «religions du Livre», qui désigne les trois monothéismes, s’est répandue dans l’opinion publique, mais elle n’est pas juste en ce qui concerne le christianisme.

    Comme son nom l’indique, le christianisme rassemble les disciples d’une personne, Jésus Christ, Verbe fait chair, Parole de Dieu dont nous pouvons approcher le mystère mais dont n’aurons jamais fini de faire le tour.

    Le christianisme n’est pas une religion du Livre ni même de l’écrit, même s’il entretient un rapport fort avec celui-ci. Cela change notre rapport au texte lui-même. Origène, un Père de l’Eglise du IIIe siècle, affirme que celui qui lit le texte à la lettre et s’y arrête peut être comparé à un blasphémateur car il réduit Dieu à des affaires littérales.

    Un exemple ? Dans le première lettre de saint Jean, nous lisons : «Le sang de Jésus, son Fils, nous purifie de tout péché» (1 Jn 1,7). Une lecture littérale pourrait déboucher sur une vision sacrificielle, quasiment païenne : on sacrifie un être vivant pour apaiser la colère de la divinité. On en arrive à l’idée d’expiation, dans laquelle l’image d’un Dieu courroucé peut devenir terrible… Dans l’histoire de l’Eglise, la tentation de la lecture littérale et fondamentaliste des Écritures a été, hélas, trop présente…

    En vérité, la relation du chrétien au texte sacré est vivante : elle prend vie lorsqu’elle est interprétée, expliquée, proclamée, prêchée, mise en relation avec notre vie, agissante dans notre existence quotidienne.

    A la messe, la proclamation des extraits de l’Ancien et du Nouveau Testament se conclut par la formule : «Parole du Seigneur» (à laquelle l’assemblée répond : «Nous rendons grâce à Dieu»), ce qu’on pourrait traduire par : «Que cette parole devienne pour vous Parole de Dieu». Alors le texte, entendu, médité, vécu, peut devenir le lieu de la rencontre avec la Parole du Dieu, qui est le Christ lui-même.

    Quand on accepte de ne pas prendre un texte à la lettre et qu’on accueille sa mise en perspective (historique, littéraire, théologique, etc.), on a parfois l’impression de perdre certains gardes-fous. On découvre alors que le véritable garde-fou, c’est de rechercher la vérité et non pas de s’imaginer qu’on la détient. Dans cette recherche, le chrétien peut s’appuyer sur la Tradition de l’Eglise, qui a interrogé ces textes et proposé de multiples interprétations.

     

    Source : lesalonbeige