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« Emmanuel Macron a jugé samedi [au salon de l’agriculture] qu’il était « impossible » de revaloriser les pensions de retraite actuelles des agriculteurs à 85 % du Smic, une mesure prévue dans le futur système mais qui coûterait trop cher à appliquer aux agriculteurs déjà à la retraite. […] « C’est impossible. C’est impossible, parce que c’est 1,1 milliard ». (source 20 Minutes)
Par un paradoxe d'apparence, c'est Mulhouse, ville emblématique de l'islamisation de la France puisqu'elle abrite la mosquée-cathédrale An-Nour gérée par des proches des Frères musulmans, que Macron, a choisi pour inaugurer sa séquence « laïciste ».
En se contentant de déplorer les maux du « communautarisme » (terme équivoque car tous les communautarismes ne se valent évidemment pas) et du « séparatisme » (ce qui suppose une appartenance préalable), au lieu de désigner clairement les menaces que fait peser sur la France l'offensive multimodale et polymorphe menée par l'islamisme, Emmanuel Macron a tenté, dans une intervention aussi incantatoire que décalée, de dissimuler son impuissance à faire face. Il a surtout peiné à légitimer, par avance, les seules mesurettes que ce régime décomposé soit encore vaguement capable de prendre, un énième « plan de lutte contre la radicalisation » dont l'annonce sera faite dans une dizaine de jours mais que chacun connaît déjà : renforcement de la laïcité, contrôle des fonds cultuels venus de l'étranger et organisation du culte musulman. Ce n'est pas un plan de combat contre l'islamisme, tout au plus un garde-fou contre ses effets les plus criants. C'est surtout une méthode de rafistolage du « vivre ensemble ».
Ces dispositions légales ou réglementaires, en admettant même qu'elles soient un jour réellement appliquées, relèveraient de la politique de la rustine et aboutiraient, au final, à l'institutionnalisation définitive du salafisme et des Frères musulmans. Ce n'est ni l'abstraction communautariste, ni le trompe-l'œil séparatiste — concepts totalement étrangers aux organisations concernées qui visent bien plus haut et bien plus loin— qu'il s'agit de combattre, mais la réalité opérationnelle de la main mise sur des pans entiers de notre territoire par l'islam politique mais aussi par les caïds des cités dans un partage consenti et organisé des quartiers, dans l'intérêt bien compris de chacune des parties.
Une phrase devra être retenue de ce déplacement. Elle sonne comme un aveu : « Face au communautarisme, la République doit tenir ses promesses car, quand elle ne le fait pas, d'autres cherchent à la remplacer (...) Il faut lutter contre les discriminations ». Autrement dit, pour Macron, la menace ne vient pas de ceux qui veulent imposer la charia, mais de la réaction populaire qui pourrait en découler.
Pour le Parti de la France, seule une politique menée d'une main de fer, d'arrêt immédiat et total de l'immigration dans ses composantes légales (immigration de travail et regroupement familial) comme dans ses filières clandestines ou liées au droit d'asile, suivie d'un vaste chantier de retour systématique au pays d'origine, couplée avec la mise en œuvre d'un nouveau code de la nationalité englobant la réforme des procédures de déchéance, et d'une législation d'exception permettant la rétention avant expulsion, pourra permettre à la France de sortir de la spirale mortelle dans laquelle elle s'enfonce, année après année.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
@JeanFranoisTou1
#communautarisme#Séparatisme#Macron évite de dénoncer en la nommant l'offensive polimorphe menée contre la France par l'islamisme. Quant aux "solutions", elles sont dérisoires. À #Mulhouse, Macron a prononcé son discours de la méthode rustine pour sauver le "vivre ensemble".
Il y a quelques mois, le catastrophique ministre de la Santé (sic), Agnès Buzyn, avait osé dire « un père, ça peut être une femme, évidemment ». Quoiqu’on dit nos confrères du Monde à propos de notre article d’alors, c’est parfaitement le sens de son propos.
Voici que c’est maintenant Emmanuel Macron lui-même qui partage ce délire contre la paternité et contre la complémentarité homme/femme, pourtant évidemment naturelle.
Dimanche dernier, comme le rapporte Valeurs actuelles, l’Elysée accueillait « de nombreux acteurs de la protection de l’enfance étaient rassemblés pour fêter les 30 ans de la ratification de la Convention internationale des droits de l’enfant » avant que le président ne se retrouve avec les seuls présidents des Associations familiales catholiques (AFC). L’un d’eux, Pascale Morinière, parvint à interpeller Emmanuel Macron, lui disant qu’il est incohérent de célébrer les 30 ans de cette convention tout en défendant la « PMA sans père ». Alors le président de la République lui répondit que la paternité se divise en deux fonctions : l’une génétique et l’autre symbolique ; puis devant l’insistance de son interlocutrice sur cet aspect symbolique, il lâche : « Je comprends. Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père est forcément un mâle. Tous les psychanalystes vous diront le contraire. » Les psychanalystes… Quelle référence ! D’ailleurs ils ne sont pas tous d’accord sur ce point, mais peu importe. Emmanuel Macron confirme que, imprégné jusqu’à l’os par l’idéologie libérale (ou dite « progressiste ») et traumatisé par son expérience avec son professeur Brigitte Trogneux (il n’avait que 14 ans !), il est complètement paumé, et ne sait pas ce qu’est une famille.