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père

  • "Ils" n'aiment pas Orban : c'est une excellente indication sur le fait qu'il est, probablement, très "à aimer" !!!!

    Publi" par Guy Jovelin le 08 août 2022

    "Ils" n'aiment pas Orban : c'est une excellente indication sur le fait qu'il est, probablement, très "à aimer" !!!!

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    Source : lafautearousseau

  • Toulouse : « C’est une révolution ! » la cour d’appel autorise un père à être reconnu comme étant la mère de son enfant

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2022

    Toulouse. La justice autorise une femme transgenre à être reconnue comme la mère de son enfant 

    C’est une première en France. La cour d’appel de Toulouse a autorisé une femme transgenre à être reconnue comme la mère de son enfant, conçu avant son changement de sexe.

    Une femme transgenre a obtenu gain de cause devant la cour d’appel de Toulouse: reconnue femme à l’état-civil et ayant conçu son enfant avant son opération, elle peut désormais figurer comme mère sur l’acte de naissance de sa fille, une première en France.

    […]

     

    « La cour d’appel de Toulouse autorise la mention sur l’acte de naissance de l’enfant, de l’époux devenu femme en qualité de mère », considérant « que deux filiations maternelles pouvaient en l’espèce être établies », a souligné la cour.

     

    […]

    L’article dans son intégralité sur Actu Toulouse

  • Le père, cet éternel inutile…

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2021

    Oui, les femmes sont plus généreuses que les hommes dans l’engendrement : elles y passent neuf mois sans interruption, souffrent de désordres physiques, hormonaux, psychiques, subissent l’accouchement et les soins post-partum, les modifications temporaires ou permanentes de leur corps, le baby blues…  Jamais les hommes et les enfants ne montreront assez de gratitude envers les mères pour ça.

    femmes,pèreMais la nature n’a pas permis que les rôles de l’homme et de la femme soient interchangeables. Nonobstant les délires des femmes transgenres qui s’identifient comme masculines, mais donnent naissance à des enfants, et tant que le cauchemar de l’ectogenèse ne sera pas devenu réalité, seules des femmes sont des mères et, à ce titre, ce sont elles qui donnent la vie à un enfant.

    Que donne l’homme ? Des gènes, ceux qu’il a hérités de ses parents. Certes, pas tous, mais la moitié. Certains s’exprimeront, d’autres pas, laissant à ceux donnés par la mère ce soin. C’est la loterie biologique. Parfois, il ne donne rien de plus, quand il prend la poudre d’escampette à l’annonce d’une grossesse. Un homme, ça peut être lâche. Il peut aussi donner un abri, une protection à la mère et à son enfant. Il peut aussi – c’est heureux – bâtir une famille, ce truc décrié où les enfants grandissent entourés de l’amour et de la protection de parents qui peuvent aussi s’aimer durablement l’un l’autre. Les  pourraient trouver dans la lutte contre l’obsolescence programmée des couples et des familles une bataille qui mériterait d’être menée et gagnée.

    Et a priori, le père donne son nom de famille. Les féministes ricaneront : ça ne lui coûte pas cher. Indissociable de ce patronyme transmis à la génération suivante, il y a aussi toute la filiation paternelle.

    Le choix des prénoms et de leur ordre peut durer neuf mois, donner lieu à des discussions homériques virant à la dispute et même occasionner chantages, tractations et compromis. Une fois l’enfant né, il faut bien qu’à l’état civil, le bébé ait au moins un prénom.

    Les normes en vigueur à l’état civil français sont tatillonnes : elles exigent aussi un nom de famille. Par défaut, ce sera celui du père. Mais la loi prévoit déjà qu’on puisse déroger à cette norme : l’enfant peut porter celui de la mère, ou les deux accolés. C’est très bien, par exemple pour éviter que des patronymes ne disparaissent. D’autres normes existent ailleurs, par exemple en Espagne, où l’enfant porte les patronymes de son père et de sa mère.

    Une certaine Marine Gatineau Dupré, est la fondatrice et porte-parole de « Porte mon nom », une association qui vise à automatiser le port du double nom par l’enfant. Elle déplore que plus de 80 % des enfants ne portent que le nom du père et dénonce ce respect d’une tradition. Elle demande, en outre, de pouvoir rajouter le nom de la mère en cas de séparation et souhaiterait, enfin, que la mère valide la déclaration des noms et prénoms à l’état civil. Un député  ! la soutient, Patrick Vignal. Avec une pétition de 7.000 personnes, ils souhaitent que le garde des Sceaux et le Premier ministre modifient les règles par simple décret. Pourquoi se gêner et passer par la loi ?

    À l’heure où l’engendrement devient un projet parental modulable (et même révocable avec l’), l’état civil deviendrait une place de marché où serait en quelque sorte marchandée et contractualisée cette composante essentielle de la personne qu’est son identification. Le bon sens commanderait que, préalablement à tout mélange de gamètes, les protagonistes s’assurent de pouvoir trouver assez de consensus durables pour assumer tous les risques induits par la possible procréation due à leur activité sexuelle. Les plus réalistes – mais d’autres les qualifieront de paranoïaques – verront une nouvelle attaque contre la  et la filiation. Le père, cet inutile…

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Priver des enfants de leur père : une préoccupation essentielle du gouvernement actuel

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2020

    Priver des enfants de leur père : une préoccupation essentielle du gouvernement actuel

    Le 3 juin, Emmanuel Macron écrivait au président de l’Assemblée Nationale pour lui demander de déterminer les “priorités essentielles… au premier rang des préoccupations de nos compatriotes “:

    Après deux mois de confinement, une économie en récession, l’école en souffrance, l’hôpital au bord de l’implosion… la réponse ne s’est pas longtemps fait attendre : l’examen en seconde lecture du projet de loi bioéthique au Parlement sera programmé courant juillet.

    Brigitte Bourguignon @BrigBourguignon

    Le @gouvernementFR s’est montré à l’écoute des députés de la majorité : l’examen en seconde lecture du projet de loi au Parlement sera programmé courant juillet.
    Cette loi porte de nombreuses, belles et réelles avancées sociétales, dont la

    Voir l'image sur Twitter

    Et c’est pratique, puisque les rassemblements de plus de 10 personnes sur la voie publique sont toujours interdits !

     

    Source : lesalonbeige

  • Pour Macron, il est évident qu’un père n’est pas forcément un « mâle »

    Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2020

    Il y a quelques mois, le catastrophique ministre de la Santé (sic), Agnès Buzyn, avait osé dire « un père, ça peut être une femme, évidemment ». Quoiqu’on dit nos confrères du Monde à propos de notre article d’alors, c’est parfaitement le sens de son propos.

    Voici que c’est maintenant Emmanuel Macron lui-même qui partage ce délire contre la paternité et contre la complémentarité homme/femme, pourtant évidemment naturelle.

    Dimanche dernier, comme le rapporte Valeurs actuelles, l’Elysée accueillait « de nombreux acteurs de la protection de l’enfance étaient rassemblés pour fêter les 30 ans de la ratification de la Convention internationale des droits de l’enfant » avant que le président ne se retrouve avec les seuls présidents des Associations familiales catholiques (AFC).  L’un d’eux, Pascale Morinière, parvint à interpeller Emmanuel Macron, lui disant qu’il est incohérent de célébrer les 30 ans de cette convention tout en défendant la « PMA sans père ». Alors le président de la République lui répondit que la paternité se divise en deux fonctions : l’une génétique et l’autre symbolique ; puis devant l’insistance de son interlocutrice sur cet aspect symbolique, il lâche :  « Je comprends. Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père est forcément un mâle. Tous les psychanalystes vous diront le contraire. »
    Les psychanalystes… Quelle référence ! D’ailleurs ils ne sont pas tous d’accord sur ce point, mais peu importe.
    Emmanuel Macron confirme que, imprégné jusqu’à l’os par l’idéologie libérale (ou dite « progressiste ») et traumatisé par son expérience avec son professeur Brigitte Trogneux (il n’avait que 14 ans !), il est complètement paumé, et ne sait pas ce qu’est une famille.

     

    Source : contre-info