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  • FORZA, ITALIA !

    Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023

     

    Une hirondelle ne fait pas le printemps, mais elle l'annonce...

    Vivons-nous le début du repli des cingleries de foldingues en tous genres ?

    En Italie, c’est fini pour "Parent 1" et "Parent 2" : le gouvernement Meloni revient sur les délires de la gauche et annonce le retour de MÈRE et PÈRE sur les cartes d’identité ! 

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    FORZA, ITALIA !

     

    Source : lafautearousseau

  • Sa mère s’appelle Robert

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2020

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    Sa mère s’appelle Robert

    En 2013, les partisans de la dénaturation du mariage estimaient que ce slogan était homophobe. Aujourd’hui, la cour de cassation en fait presque une réalité : une avocate générale de la Cour de cassation s’est prononcée mardi en faveur de la reconnaissance d’une femme transgenre, née homme, comme mère de sa fille.

    Bienvenue dans la chronique des cinglés.

    Jusqu’ici, la justice avait considéré que seule la mention “parent biologique” pouvait figurer sur le livret de famille.

    En 2011, cet homme a officiellement été reconnu comme une femme sur son état civil. Après ce changement de genre, il a eu une fille naturellement avec son épouse Sophie en 2014, car il n’avait pas encore été opéré et possédait encore ses organes masculins.

    Depuis, il réclame d’être reconnu comme la mère de sa fille, ce qui lui a toujours été refusé. Fin 2018, la cour d’appel de Montpellier lui avait finalement accordé le statut de “parent biologique”, dans un jugement inédit. Dans son avis rendu mardi, l’avocate générale auprès de la juridiction suprême soutient le même raisonnement.

    “La désignation du parent dans l’acte de naissance de l’enfant (…) doit prendre en compte la réalité de l’état civil de chacun des parents”.

    Encore une fois, ce sont les juges qui tordent le cou à la loi.

    La décision de la Cour de cassation est attendue le 16 septembre.

    Source : lesalonbeige

  • Bientôt le retrait des mentions de « père » et de « mère » dans les actes de baptême ?

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

    Recommandés par la Conférence des évêques de France, de nouveaux formulaires pour les actes de baptême pourraient très prochainement être adoptés dans les Églises. Ces derniers, non genrés, ne font pas mention des termes de « père », « mère », « fils », ni de « fille ».

    L’Église va-t-elle faire un pas vers davantage de modernité ? C’est en tout cas le souhait des évêques de France qui recommandent l’utilisation de nouveaux formulaires pour les actes de baptême, sans mention de «père», de «mère», de «fils» ni de «fille», comme le rapporte le Figaro. Dans une lettre adressée à tous les évêques de France, Monseigneur Joseph de Metz-Noblat, évêque de Langres, explique pourquoi, selon lui, ces documents, qui ne font d’ailleurs pas l’unanimité, doivent être mis en place. Ces derniers permettraient en effet d’éviter, selon lui, « les problèmes de vocabulaire » auxquels sont confrontés « de nombreuses chancelleries ». Le nouveau formulaire serait pour les paroissiens un « simple constat de leur situation familiale, sans porter sur celle-ci un jugement moral »assure également le religieux.

    "Il ne s’agit pas seulement de s’adapter aux cas de couples de même sexe"

    « Le fait de ne pas marquer ‘fils ou fille de’ ne va pas obérer la filiation », poursuit Monseigneur Joseph de Metz-Noblat, qui précise que ne pas mentionner « père et mère » n’empêche pas de les rajouter par la suite. « Il vaut mieux rajouter que rayer ! Il ne s’agit pas seulement de s’adapter aux cas de couples de même sexe ; il faut pouvoir prendre en compte un tuteur par exemple… »
    Affaire à suivre…

     

    Source : aufeminin

  • Gestation sans père: la mobilisation doit être totale.

    Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé 

    Membre du Bureau Politique du Parti de la France

    En émettant samedi "des réserves" sur l'ouverture de la procréation médicale assistée (PMA) aux femmes seules et aux couples de lesbiennes, et en s'inquiétant "des conséquences possibles pour le développement de l'enfant", l'Académie de médecine assure, certes, un service minimum (le mot "réserves" relevant de la litote); pour autant, tout comme la mobilisation encore timide mais réelle de l'Eglise, cet avis éclairé apparaît comme une prise de position courageuse et bienvenue au moment où se mobilise l'ensemble des forces obscures de la décadence en faveur de ce projet contraire à tous les principes de l'humanisme européen, principes fondamentaux de notre vieille lignée.
     
    C'est aussi le moment où se prépare la grande manifestation du 6 octobre contre la gestation sans père qui doit mobiliser toutes les énergies. Faut-il le rappeler : la PMA doit être réservée aux couples homme/femme qui ne peuvent engendrer naturellement. Une famille c'est un père, une mère, des enfants. Point final.
     
    Après le mariage pour tous et avant la légalisation de la Gestation pour autrui (GPA) qui ne manquera pas d'être accordée dans la foulée au nom de l'égalité (faute de quoi, n'est ce pas, seuls les hommes homosexuels ne pourraient procréer... Scandale absolu aux yeux des progressistes.), la PMA pour toutes constitue une étape supplémentaire dans la déconstruction de notre civilisation trafitionnellement basée sur le respect des valeurs héleno-chrétiennes et fondée sur le socle de l'ordre naturel.
     
    La destruction parfois brutale, souvent lente et progressive des piliers de force des édifices nationaux que furent les hiérarchies aristocratiques, militaires, étatiques, spirituelles et bien sûr familiales, correspondent, nous le savons, à une volonté et à un dessein nihilistes qui est la négation de tout ce à quoi nous croyons et qui fait le sens de notre combat.
     
    Le 6 octobre nous devrons être des centaines de milliers dans les rues de Paris.