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  • Le livret de “famille” encore modifié

    Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2022

    Le livret de “famille” encore modifié

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    Déjà modifié en décembre 2017 et en janvier 2020, le livret de famille vient de nouveau d’être modifié. Dans un arrêté paru au Journal Officiel le mardi 3 mai, ont été intégrés au livret de famille :

    • le recours à la procréation médicale assistée (PMA),
    • l’identité des enfants mort-nés
    • le changement de nom de famille.

    Dans les faits, «la filiation est établie à l’égard de la femme qui accouche», selon l’annexe 2 du nouveau texte. Pour la conjointe, «la filiation est établie par la reconnaissance conjointe anticipée» faite «devant le notaire» pendant qu’est donné «le consentement à l’assistance médicale à la procréation». La reconnaissance conjointe anticipée devra ensuite être remise à l’officier de l’état civil afin de l’intégrer dans «l’acte de naissance».

    Les deux femmes devront choisir le nom de famille de l’enfant suivant deux possibilités. Elles pourront opter pour le nom de l’une d’entre elles ou accoler leurs deux noms de famille dans l’ordre de leur choix. Si aucun choix n’a été défini, l’officier de l’état civil prendra les deux noms de famille en les positionnant suivant l’ordre alphabétique.

    La seconde modification est la mention possible du nom et des prénoms d’un enfant mort-né.

    Le document administratif mentionnera également les nouvelles règles liées à l’adoption comme la possibilité pour une personne d’adopter l’enfant de son concubin, de son conjoint ou de son partenaire de PACS, selon certaines conditions.

    Le livret de famille va également incorporer la nouvelle règlementation sur le changement de nom de famille. Un véritable imbroglio individualiste. En cas d’accord entre les deux parents, l’enfant pourra opter pour le nom du parent «qui ne lui a pas transmis le sien». Ce dernier pourra ajouter ce nom au sien ou le remplacer. En cas de désaccord et de la saisie du juge aux affaires familiales, l’enfant «de plus de 13 ans doit consentir à son nom d’usage».

    Et pendant ce temps-là :

     

     
    Source : lesalonbeige
  • Ils ont acheté un enfant -en moyenne- 130 000 dollars et viennent maintenant pleurer pour 990 euros auprès de la CAF

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2021

    Ils ont acheté un enfant -en moyenne- 130 000 dollars et viennent maintenant pleurer pour 990 euros auprès de la CAF

    Deux hommes s’estiment victimes d’une discrimination, car ils n’ont pas reçu la prime de naissance après l’achat d’un enfant.

    La Caisse d’allocations familiales (CAF) leur réclame un certificat de grossesse pour leur délivrer la prime de naissance (948,27 euros). Les deux LGBT ont eu recours à une GPA aux États-Unis. Les deux hommes ont saisi la justice.

    Pour bénéficier de la prime de naissance, la grossesse doit être déclarée auprès de la CAF et de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM), dans les quatorze premières semaines.

    La GPA étant interdite en France, ils se sont tournés vers les États-Unis, pays où cette procédure est légale et coûte en moyenne 130.000 euros.

    L’avocate Me Catherine Clavin, coprésidente de l’Association des parents gays et lesbiens, les défend dans leur entreprise militante :

    «ce n’est pas parce que la GPA est interdite sur le sol français que l’on doit priver des parents qui y ont recours légalement à l’étranger de cette prime qui permet à l’enfant d’arriver dans les meilleures conditions possibles».

    Les LGBT ne cesseront jamais leur militantisme.

     

    Source : lesalonbeige

  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2021

    Chronique des cinglés

    en Espagne :

    En Espagne, un texte de loi provoque de vives tensions au sein de la coalition des deux partis de gauche qui gouvernent le pays. Il s’agit d’un brouillon de la « loi pour l’égalité réelle et effective des personnes trans ».

    Le document a été présenté mardi 2 février, rapporte Slate. L’article 29 du projet de loi indique que « les personnes trans ayant la capacité de porter un enfant pourront être réceptrices des techniques d’assistance médicale à la procréation ».

    Autrement dit, une autorisation d’accès à la PMA (procréation médicalement assistée) pour les personnes transgenres. Sont notamment concernés les hommes trans qui n’ont pas reçu d’opération de réassignation et conservent un utérus. Ces derniers ont été exclus de la loi bioéthique en France et de la PMA pour toutes.

     

    Source :lesalonbeige

  • Samedi 10 octobre, dans toute la France, mobilisation contre la PMA et la GPA

    Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2020

    Communiqué du Parti de la France

    Le Parti de la France soutient la manifestation décentralisée dans les grandes villes de France organisée ce samedi 10 octobre par la Manif pour Tous contre la loi bioéthique de Macron. Nous invitons nos adhérents et sympathisants à y participer.

    Le PdF regrette en revanche que l'immense majorité des militants MPT n'ait pas encore fait le choix du combat politique en même temps que de celui pour les valeurs. L'Histoire et l'expérience montrent en effet que sans engagement partisan les meilleures intentions restent lettres mortes.

  • PMA : le gouvernement veut passer en force

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

    Auteur : 

    Le gouvernement a décidé de passer en force et a inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la deuxième lecture du projet de loi sur la bioéthique qui se déroulera en séance publique à partir du 27 juillet.

    Cette décision est d’autant plus absurde que le Sénat, qui ne siège pas en septembre, ne pourra examiner le texte avant l’automne. Elle traduit la volonté idéologique du gouvernement de profiter de l’été pour faire adopter coûte que coûte le projet de loi par un hémicycle clairsemé et de museler l’opinion publique puisque pour des raisons sanitaires, les rassemblements publics de plus de 5000 personnes demeurent interdits à l’heure actuelle.

    Sur le fond, le texte qui va être discuté en deuxième lecture aggrave les transgressions déjà votées à l’automne dernier. Outre la PMA sans père et la création d’embryons chimères mi-homme mi-animal ainsi que d’embryons transgéniques, le projet de loi élargit le recours au diagnostic préimplantoire permettant d’éliminer les embryons porteurs d’une anomalie chromosomique (DPI-A) et légalise la technique de la fécondation in vitro à deux mères dite ROPA (réception de l’ovocyte du partenaire) qui éclate la maternité entre deux femmes : la donneuse d’ovocytes d’un côté et la gestatrice de l’autre, pour que les deux femmes puissent également se revendiquer mères du même enfant, tout en évinçant la paternité.

     

    Source : medias-presse.info