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  • Bois-d’Arcy (78) : La gardienne de prison prétend avoir trafiqué pour payer la PMA de sa compagne, une intervention pourtant remboursée par la sécurité sociale

    Publié par Guy de Laferrière le 27 décembre 2022

    Yvelines. La gardienne de prison trafiquait pour payer la PMA de sa compagne

    Incroyable procès ce mercredi 21 décembre, au tribunal de Versailles. Cinq hommes et deux femmes ont comparu pour un trafic organisé à la prison de Bois-d’Arcy (Yvelines).

    (…)

    Courant septembre, l’ordre est donné de mettre fin aux agissements de la fameuse gardienne.

    Il est temps car son nom commence à bien tourner dans d’autres prisons. « Si vous voulez poser des affaires et que vous allez à Bois-d’Arcy, faut la voir », conseillent les arrivants de la maison d’arrêt des Yvelines, à ceux d’Osny (Val-d’Oise – dép. 95).

    Elle est aussi pointée du doigt par ses propres collègues. Car dans le dossier, on trouve des dénonciations calomnieuses faites contre des agents. Juste pour nuire ou détourner l’attention.

    On trouve aussi cet événement : elle a ouvert une cellule à un détenu pour lui permettre de régler ses comptes avec un autre.

    Pour payer la PMA de sa compagne, gardienne à la centrale de Poissy

    La jeune femme vit en couple avec une autre surveillante pénitentiaire, affectée à la centrale de Poissy. Elle est aussi arrêtée. Ainsi que les détenus et livreurs impliqués.

    Aux juges, toutes les deux vont raconter avoir basculé pour atteindre un objectif : avoir assez d’argent pour s’offrir une PMA et avoir un enfant.

    L’enquête va toutefois démontrer que ce projet va rapidement prendre l’eau. Tout simplement parce que celle qui doit bénéficier de la PMA a obtenu un certificat de complaisance de son médecin. Une attestation qui va lui ouvrir une prise en charge complète par la Sécurité sociale.

    L’argent, près de 4 000 euros, va donc servir aux besoins quotidiens du couple : aller se faire les ongles, acheter un ordinateur, un téléphone… et même un aspirateur.

    (…)

    actu.fr via fdesouche

  • Le livret de “famille” encore modifié

    Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2022

    Le livret de “famille” encore modifié

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    Déjà modifié en décembre 2017 et en janvier 2020, le livret de famille vient de nouveau d’être modifié. Dans un arrêté paru au Journal Officiel le mardi 3 mai, ont été intégrés au livret de famille :

    • le recours à la procréation médicale assistée (PMA),
    • l’identité des enfants mort-nés
    • le changement de nom de famille.

    Dans les faits, «la filiation est établie à l’égard de la femme qui accouche», selon l’annexe 2 du nouveau texte. Pour la conjointe, «la filiation est établie par la reconnaissance conjointe anticipée» faite «devant le notaire» pendant qu’est donné «le consentement à l’assistance médicale à la procréation». La reconnaissance conjointe anticipée devra ensuite être remise à l’officier de l’état civil afin de l’intégrer dans «l’acte de naissance».

    Les deux femmes devront choisir le nom de famille de l’enfant suivant deux possibilités. Elles pourront opter pour le nom de l’une d’entre elles ou accoler leurs deux noms de famille dans l’ordre de leur choix. Si aucun choix n’a été défini, l’officier de l’état civil prendra les deux noms de famille en les positionnant suivant l’ordre alphabétique.

    La seconde modification est la mention possible du nom et des prénoms d’un enfant mort-né.

    Le document administratif mentionnera également les nouvelles règles liées à l’adoption comme la possibilité pour une personne d’adopter l’enfant de son concubin, de son conjoint ou de son partenaire de PACS, selon certaines conditions.

    Le livret de famille va également incorporer la nouvelle règlementation sur le changement de nom de famille. Un véritable imbroglio individualiste. En cas d’accord entre les deux parents, l’enfant pourra opter pour le nom du parent «qui ne lui a pas transmis le sien». Ce dernier pourra ajouter ce nom au sien ou le remplacer. En cas de désaccord et de la saisie du juge aux affaires familiales, l’enfant «de plus de 13 ans doit consentir à son nom d’usage».

    Et pendant ce temps-là :

     

     
    Source : lesalonbeige
  • Ils ont acheté un enfant -en moyenne- 130 000 dollars et viennent maintenant pleurer pour 990 euros auprès de la CAF

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2021

    Ils ont acheté un enfant -en moyenne- 130 000 dollars et viennent maintenant pleurer pour 990 euros auprès de la CAF

    Deux hommes s’estiment victimes d’une discrimination, car ils n’ont pas reçu la prime de naissance après l’achat d’un enfant.

    La Caisse d’allocations familiales (CAF) leur réclame un certificat de grossesse pour leur délivrer la prime de naissance (948,27 euros). Les deux LGBT ont eu recours à une GPA aux États-Unis. Les deux hommes ont saisi la justice.

    Pour bénéficier de la prime de naissance, la grossesse doit être déclarée auprès de la CAF et de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM), dans les quatorze premières semaines.

    La GPA étant interdite en France, ils se sont tournés vers les États-Unis, pays où cette procédure est légale et coûte en moyenne 130.000 euros.

    L’avocate Me Catherine Clavin, coprésidente de l’Association des parents gays et lesbiens, les défend dans leur entreprise militante :

    «ce n’est pas parce que la GPA est interdite sur le sol français que l’on doit priver des parents qui y ont recours légalement à l’étranger de cette prime qui permet à l’enfant d’arriver dans les meilleures conditions possibles».

    Les LGBT ne cesseront jamais leur militantisme.

     

    Source : lesalonbeige

  • PMA : “Nous souhaitons qu’une communication soit faite pour appeler au don de gamètes pour que les personnes racisées puissent éviter un mixage forcé”

    Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2021

    […]

     

    Quelles sont ces revendications ?

    Elles concernent principalement la PMA. Le projet de loi actuel ne nous convient pas en l’état. On revendique une PMA gratuite, remboursée pour tous et toutes et sans condition. On veut le droit d’avoir recours à certaines méthodes, notamment la ROPA (où l’une des deux mères fait don d’un ovocyte, et l’autre porte l’enfant, ndlr). Nous demandons également que les personnes trans puissent conserver leur gamètes pour avoir recours à une PMA. On veut avoir le libre choix de l’appariement (qui oblige au couple de trouver un donneur qui possède les mêmes caractéristiques physique, ndlr), notamment pour les personnes racisées. Nous souhaitons qu’une communication soit faite pour appeler au don de gamètes pour que les personnes racisées puissent éviter un mixage forcé. Et plus généralement, nous voulons mettre en avant l’existence lesbienne, le génie lesbien.

    Le projet de loi bioéthique accuse beaucoup de retard. Comment le comprenez-vous ?

    La bioéthique n’est pas une priorité du gouvernement, qu’il l’assume ! Le gouvernement actuel cherche à satisfaire l’électorat de droite en vue de 2022. Il pense que c’est celui-là qui sera à même de soutenir une potentielle réélection. Certes, la crise sanitaire rend les choses plus difficiles. Mais lorsqu’il s’agit de faire voter la loi sur la Sécurité globale, le gouvernement peut accélérer les choses. Ce gouvernement a des priorités qui ne sont pas les nôtres. […]

    Têtu via fdesouche

  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2021

    Chronique des cinglés

    en Espagne :

    En Espagne, un texte de loi provoque de vives tensions au sein de la coalition des deux partis de gauche qui gouvernent le pays. Il s’agit d’un brouillon de la « loi pour l’égalité réelle et effective des personnes trans ».

    Le document a été présenté mardi 2 février, rapporte Slate. L’article 29 du projet de loi indique que « les personnes trans ayant la capacité de porter un enfant pourront être réceptrices des techniques d’assistance médicale à la procréation ».

    Autrement dit, une autorisation d’accès à la PMA (procréation médicalement assistée) pour les personnes transgenres. Sont notamment concernés les hommes trans qui n’ont pas reçu d’opération de réassignation et conservent un utérus. Ces derniers ont été exclus de la loi bioéthique en France et de la PMA pour toutes.

     

    Source :lesalonbeige