Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2021

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Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2021
Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2021
Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2021
Garrido relaie un appel à la décapitation de Macron puis plaide l’autodérision.
Elle a tenté de s’expliquer après avoir relayé un tweet envisageant de réserver à Emmanuel Macron le même sort que Louis XVI : la guillotine.
L’avocate a par ailleurs pu bénéficier du soutien de Jean-Luc Mélenchon. Sur LCI, ce dernier a fait valoir “la profondeur de l’enracinement de la Révolution française de 1789 dans l’esprit du peuple français”
Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2021
Démagogie et start-up Nation...
Emmanuel Macron pendant une conférence de presse lors du sommet européen du 25 mai 2021 © John Thys/AP/SIPA Numéro de reportage : AP22570473_000178
Jupiter est tout puissant. Nous pouvons lui faire confiance pour changer la géographie de la France.
Le président de la République s’est confié à Zadig. Un magazine dégoulinant de crème pâtissière bien-pensante. Pauvre Voltaire ! Mais il n’est plus là pour protester.
Macron a communiqué aux lecteurs de Zadig sa vision de la France qu’il aime. Il a évoqué Amiens, le berceau où il a grandi. Puis il s’est attardé sur le 9-3 à qui, selon lui, « il ne manque que la mer pour devenir la Californie ».
À l’appui de cette superbe envolée lyrique, il a avancé deux arguments. La Seine-Saint-Denis est, a-t-il dit, « le département le plus jeune de France ». Il a toutefois oublié de préciser que le 9-3 était surtout très « jeunes ». Deuxième argument : « la Seine-Saint-Denis est le département qui compte le plus grand nombre de créations de start-up par habitant ». C’est tout à fait exact si l’on range dans cette catégorie les points de deal.
Zadig est un magazine niais. Pour être au diapason de ses lecteurs, le chef de l’État a bien compris qu’il lui fallait, lui aussi, être niais. Et dans ce registre, il a été excellent. La mer, Macron ira la chercher avec les dents. La plus proche du 9-3, c’est la Manche. Mais ses eaux sont froides et la population du 9-3 est frileuse. Ce sera donc la Méditerranée, plus chaude et plus propice à l’épanouissement des Dionysiens.
Macron est un démagogue éprouvé. Quand il lui faut parler d’insécurité, il fait un pas vers la droite. Quand il évoque les Français qui sont à la peine, il lorgne vers la gauche. Mais il n’est jamais aussi inspiré que quand il se penche amoureusement sur la banlieue jeune, vigoureuse et virile.
Pour conclure, j’emprunte une formule à un tenant de la fachosphère : « ce serait déjà bien si la Seine-Saint-Denis ressemblait à la France ». Je lui laisse la responsabilité de ses propos insupportables.
Source : https://www.causeur.fr/
Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2021
Pretoria, le 29 mai. Depuis l’ambassade de France en Afrique du Sud, Emmanuel Macron s’est adressé à la jeunesse française.
Emmanuel Macron a conclu sa visite de deux jours, au Rwanda puis en Afrique du Sud, sur une note très politique. Louant, dans un discours à la communauté française à Pretoria (Afrique du Sud), le « partenariat » qu’il veut nouer avec les pays du continent, le président ambitionne de « changer les regards et les esprits » sur la relation de la France et de l’Afrique. Y compris entre les frontières de l’Hexagone, où il envoie aussi très clairement un message.
Car disant cela, le voilà qui s’adresse aux « millions de jeunes gens » qui, en France, « ont une histoire avec l’Afrique par leur famille, par des générations ». « On va enfin leur dire que l’on va pouvoir bâtir en commun. On va arrêter de leur dire : C’est un problème et vous devez vous intégrer. On va enfin leur dire : Vous êtes une chance pour la France et vous allez nous aider à développer cette histoire commune », avance-t-il.
Voilà aussi le sens qu’il entend donner à cette relation qu’il tente de renouveler depuis quatre ans. Au plan mémoriel, comme lorsqu’il reconnaît à Kigali « l’ampleur des responsabilités de la France » dans le génocide des Tutsis – sans présenter formellement d’excuses, point sur lequel la presse sud-africaine lui a demandé de s’expliquer une nouvelle fois.
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Le Parisien via fdesouche