Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

macron - Page 38

  • "Privilège blanc"? Où ça?

    Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2020

    "Privilège blanc"? Où ça?
    Jamais en reste quand il s'agit d'importer en France un concept progressiste américanoïde pour en faire un objet de développement polémique, de débat intellectuel et, au bout du compte, d'affrontement, Emmanuel Macron, dans un entretien-fleuve publié par l'hebdomadaire L'Express paru ce mardi évoque l'idée de "privilège blanc" supposé favoriser l'accession de ceux qui en bénéficient à la réussite sociale, au logement, à l'éducation et à la culture.
    En ces temps de "discrimination positive" pratiquée en toute matière et en tout lieu, on chercherait pourtant bien en vain ce soit-disant
    privilège.
    Le "privilège blanc", c'est de se taire et de raser les murs dans certains quartiers de nos villes. Le "privilège blanc", c'est de risquer à toute heure du jour et de la nuit l'agression, le viol ou l'égorgement.
    Le "privilège blanc", c'est le couvre-feu de fait établi bien avant la crise sanitaire qui interdit aux femmes de sortir dans la rue dès le soir tombé.
    Le "privilège blanc" c'est de recevoir des crachats sur un terrain de football.
    Le "privilège blanc" c'est de devoir s'agenouiller en signe de repentance.
    Le "privilège blanc" c'est de voir les traditions, les valeurs, les principes qui ont fait notre civilisation bafouées et traînées dans la boue.
    Le "privilège blanc", c'est de se retrouver en exil et sous surveillance dans son propre pays.
    Jean-François Touzé.
    L’image contient peut-être : une personne ou plus et plein air
     
     
     
     
     
     
     
     
  • Ignace – Macron atteint du covid

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2020

    Auteur : 

    ignace_macron_covid_professeur_raoult-mpi-1458x2048.jpg

     

    Source : medias-presse.info

  • Emmanuel Macron envisage des «mesures restrictives et dissuasives» pour les Français voulant skier à l’étranger à Noël

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Emmanuel Macron envisage des «mesures restrictives et dissuasives» pour les Français voulant skier à l'étranger à Noël

    Le chef de l’État souhaiterait empêcher les Français d’aller skier à l’étranger alors que les remontées mécaniques seront fermées en France.

    Emmanuel Macron a indiqué ce mardi 1er décembre que le gouvernement envisageait de prendre «des mesures restrictives et dissuasives» pour empêcher les Français d’aller skier à l’étranger, notamment en Suisse, à Noël alors que les remontées mécaniques seront fermées en France.

    «S’il y a des pays qui maintiennent des stations ouvertes, il y aura des contrôles pour dissuader les Français» et pour «ne pas créer une situation de déséquilibre avec des stations en France», a expliqué le chef de l’État devant la presse après avoir reçu le premier ministre belge Alexander de Croo.

    En Suisse, frappée de plein fouet par la deuxième vague de Covid-19, les autorités et secteurs concernés présentent de leur côté un front uni, après une fin de saison écourtée mi-mars par la première vague. «En Suisse, nous pouvons aller skier, avec des plans de protection», a assuré jeudi dernier le ministre de la Santé, Alain Berset, en soulignant que le gouvernement ré-examinerait la situation avant les fêtes de fin d’année.

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • Macron ou le monde à l’envers !

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Il paraît que Macron a honte… Il y a de quoi, mais c’est l’image de la France que donne cet élu d’un heureux hasard quelque peu “organisé” qui devrait rendre honteux tous les Français. Le pays, aujourd’hui se résume aux discours prononcés par un histrion narcissique et à une réalité de plus en plus ubuesque, un pays chaotique, une “gouvernance” absurde qu’une immense majorité subit avec calme dans une discipline résignée.

    macron,monde à l'enversA Marseille, la police, Préfet en tête, vérifie le port du masque et la possession d’une attestation autorisant la sortie, ce qu’en d’autres temps on appelait l'”ausweis”. On verbalise les distraits à tour de bras. Dans un quartier connu pour son trafic de drogue, le Préfet est rayonnant : les trafiquants ne sont pas venus avec leur attestation. Ils reviendront plus tard, quand l’opération sera finie. Ce haut-fonctionnaire ne semble pas avoir conscience de l’inversion des priorités et des personnes : le trafic est manifestement une habitude plus ou moins tolérée, le port du masque naguère présenté au sommet de l’Etat comme inutile voire dangereux est une obligation cruciale qui justifie un contrôle sévère et une répression sans faille. Que le premier soit le fait de délinquants, et le second de tous les citoyens, lui échappe totalement, à moins que la difficulté dans un cas et la facilité dans l’autre rassurent un homme dont toute la carrière est fondée sur le principe du “pas de vague”. Quant à l’assignation à résidence de tous les citoyens, sauf ceux qui peuvent transformer leur quartier en poudrière si on s’avisait de les contrôler de trop près, son caractère liberticide est une idée étrangère à un homme heureux de faire respecter la loi à ceux qui ne souhaitent nullement l’enfreindre. Pour les autres c’est plus risqué !

    A Paris, des policiers emportés par leur zèle “masqueur” ont interpellé un récalcitrant qui s’est réfugié dans son local professionnel. Ils ont pénétré, à trois, dans l’immeuble et l’ont roué de coups sous les yeux avides d’une caméra. Un collègue les a rejoints et n’a pas hésité à jeter une grenade à l’intérieur. En matière de bavure, c’est évidemment un sommet. Mais c’est surtout un signe effrayant de l’absurdité dans laquelle est tombé notre pays : quatre policiers en examen et deux en prison. C’est le monde à l’envers, et c’est le résultat “logique” d’un pays qui ne tourne plus rond, que les Allemands ont osé appeler “l’Absurdistan”. Première justification brandie par les policiers : la peur ! Et oui, la peur a changé de camp. A force d’être agressés et molestés quand ils sont en infériorité numérique, de ne pouvoir utiliser leurs armes que de manière exceptionnelle, de se trouver très facilement en proie à des enquêtes de l’IGPN, voire à des poursuites judiciaires menées par des juges qui n’aiment guère la police, les policiers ont peur. C’est ce sentiment, et cette situation qui les privent d’une autorité nécessaire à l’exercice de leur métier. Les images de policiers battant en retraite sous les projectiles de manifestants, ou fuyant en voiture sous les pierres un quartier sensible, celles des commissariats bombardés par des tirs de mortier d’artifice, le souvenir du couple de policiers abattu devant leur enfant par un terroriste islamiste, ont par trop affaibli la sanctuarisation des lieux et des personnes qui sont investis de l’autorité publique. Celle-ci exige la distance nécessaire au respect. Le contact physique abolit cette distance et favorise la suspicion de bavure, et la bavure elle-même. L’emploi des armes, létales contre des incendiaires, ou à impulsion électrique pour les rebelles, l’utilisation systématique des canons à eau devraient limiter au minimum les brutalités qui résultent du contact. La dissuasion jouerait rapidement, en espérant bien sûr que la Justice suive.

    Or, faute du courage de faire respecter la loi et l’ordre par la force systématique, et non la brutalité arbitraire, le pouvoir a tenté de faire passer une loi à nouveau liberticide, interdisant aux journalistes de prendre des images des policiers en action. Ne rien changer aux comportements, mais interdire de les filmer, c’était une facilité grossière que l’exécutif espérait obtenir dans le nuage obsédant du Covid, et grâce à une Assemblée soumise. Non seulement la tentative n’est pas passée inaperçue, mais elle s’est transformée en boomerang. On touchait une nouvelle fois à la liberté de la presse, et ceci dans un pays dont le président joue au donneur de leçon à l’encontre des “illibéraux”. Pris la main dans le sac, le gouvernement a voulu s’en tirer en faisant réécrire l’article le plus litigieux du texte par une “commission indépendante” ! A force de faire voter n’importe quoi par des députés inexpérimentés et dociles, l’exécutif oubliait que dans une démocratie parlementaire, il revient en priorité aux parlementaires d’élaborer la loi, fût-ce à partir des projets gouvernementaux. A nouveau, le monde à l’envers ! Là-dessus, vint la bavure : des policiers devant une caméra se sont acharnés sur un producteur noir. Tous les ingrédients étaient réunis pour un scandale à l’américaine : le racisme supposé, la profession médiatique de la victime, et devant une caméra qui fournit le meilleur argument contre l’article 24 de la loi sur la Sécurité Globale ! Du coup les manifestations ont fait un tabac, et comme d’habitude des incidents en fin de journée avec des policiers fuyant sous les projectiles, une image obsédante du macronisme de plus en plus difficile à récupérer pour s’ériger en défenseur de l’ordre républicain.

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Pourquoi Macron a-t-il fixé à 30 le nombre de fidèles autorisés à se réunir dans les lieux de culte catholiques ?

    Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2020

    « Emmanuel Macron a indiqué mardi 24 novembre que, dans sa grande mansuétude, il autorisait les catholiques à assister à la messe, mais dans la limite de 30 personnes par cérémonie. Une contrainte qui va probablement évoluer rapidement devant le tollé. Mais penchons-nous sur ce nombre.

    Le choix d’une telle limite, qui plus est unique pour toutes les cérémonies catholiques, qu’elles se tiennent dans une toute petite chapelle ou dans une cathédrale, a logiquement choqué ou simplement étonné.
    S’agissait-il simplement d’une manifestation de l’absurdité et de la brutalité du bureaucratisme administratif républicain français ?

    Si celui-ci est effectivement hypertrophié et se distingue parmi les pays européens, l’origine de cette limite de 30 personnes est probablement à chercher ailleurs.

    Il faut donc signaler que les réunions des loges maçonniques (« ateliers ») regroupent en moyenne de vingt à trente individus….
    Il est donc tout à fait crédible que Macron ait fixé cette limite de 30 participants aux réunions liées au « culte » (mettant au même niveau Messe et retrouvailles maçonniques) pour plaire (ou obéir) à la franc-maçonnerie, lui laissant – et à elle seule – la possibilité de mener ses activités librement.
    Et en méprisant du même coup les curés.
    De nombreux franc-maçons l’ont immédiatement perçu ainsi. »

    Source : Centre d’étude sur la FM.