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macron - Page 35

  • Le Général Coustou dénonce Macron sans langue de bois

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2021

    Le Général Coustou était l’invité d’un plateau de télévision à la suite de la lettre ouverte des militaires dont la liste des signataires ne cesse de s’allonger malgré les menaces du gouvernement et de son valet le général Lecointre.

    Source : medias-presse.info

  • Emmanuel Macron, agent de corrosion nationale

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2021

    Emmanuel Macron, agent de corrosion nationale

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    Nous cherchons depuis longtemps ce qui fait la cohérence profonde de M.Macron comme Président de la République française, son unité en quelque sorte.

    Nous avions déjà repéré son goût pour l’exhibitionnisme et un style oscillant entre Super-Gourou et Clo-Clo.

    Nous avions repéré l’enflure d’un discours hyperpersonnalisé. Avec ses « je ne céderai rien » à répétition, aussi crédibles que des promesses d’ivrogne, nous avions repéré sa capacité à l’imposture, même quand il parle de séparatisme islamiste, même (ou surtout) quand il croit jouer au chef de guerre dans la gestion sanitaire covidienne. Sauf, reconnaissons-le, quand il pratique le quoi qu’il en coûte en particulier dans le domaine des libertés publiques et des empiètements sur tous les domaines relevant des vies privées.

    Nous l’avions entendu dire à la présidente des Associations familiales catholiques que son problème était qu’elle croyait qu’un père est forcément un mâle.

    Nous l’avions entendu dire qu’il pensait que la culture française n’existe pas et souligné que sa culture préférée, c’est celle du MOI JE : ce que nous avions appelé le cloaque d’un égo à ciel ouvert, fertile en diarrhées verbales particulièrement au moment de la parution de son entretien avec l’Express en décembre 2020, l’occasion pour lui d’une nouvelle giclée sphinctérienne.

    Eh bien, tout récemment, M.Macron a eu un nouvel accès de prurit dysentérique mais dans son variant anglais : il a expliqué dans un media américain qu’il devait y avoir en France un

    « dialogue calme et ouvert (a quiet and open dialogue) pour comprendre comment cela s’est passé et d’une certaine manière pour déconstruire notre propre histoire » (« a quiet and open dialogue to understand how it happened and in a certain way to deconstruct our own history »).

    Ce point sur la déconstruction de notre propre histoire a été largement commenté. Ce qui l’a moins été, c’est qu’il s’enchaînait dans un raisonnement (à propos de « comprendre comment cela s’est passé »), où le cela provenait de ce qu’il avait affirmé juste avant et qui est au moins tout aussi fétide :

    « nous avons assurément cette question de la race, qui est au cœur même de notre société » (« we have definitely this question of race, which is at the- at the very core of our society ») !

    Rappelons que M.Macron parle alors de la France !

    Il apparaît au final que la cohérence peut-être essentielle de M.Macron comme Président de la République française est d’être un facteur de corrosion nationale.

     

    Source : lesalonbeige

  • Selon Macron, la hausse des agression prend sa source… dans les réseaux sociaux 

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    Selon Macron, la hausse des agression prend sa source… dans les réseaux sociaux 

    Bernard Antony commente les deux longues pages d’entretien donnés au Figaro par Emmanuel Macron :

    L’homme est fidèle à lui-même dans l’art d’asséner des évidences, des lieux communs, des truismes. Il fait en fait penser à Chirac qui était un champion dans le froncement des sourcils, l’expression de l’indignation, le « comment est-ce possible ? » exclamatoire lorsque on lui demandait de s’expliquer sur un état de fait déplorable ou scandaleux ; tenant pourtant d’évidence à l’incurie gouvernementale ou à des décisions aberrantes.

    Ainsi, questionné sur l’augmentation, depuis quatre ans, de la violence, bref sur ce que Mr Darmanin a qualifié de « menace d’ensauvagement », répond t-il que ce mot a d’abord été utilisé par l’extrême droite (sic !). Le qualificatif « d’extrême droite » n’étant sans doute pas laudatif dans sa bouche, cela tient de la réprimande.

    Darmanin n’a pas dû apprécier !

    Macron précise que « les agressions ont doublé en quinze ans », élégante manière de rappeler la responsabilité de ses prédécesseurs. Mais il formule le constat que « les policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers, élus sont les principales victimes de la progression de la violence dans notre société. »

    Décidément, Mr Macron est un grand expert en observation d’évidences !

    Et il réitère son auto-exonération de responsabilités en répondant à la question sur « ce mal qui ronge le pays » qu’il n’est pas propre à la France. Ce qui est faux ! car il y a beaucoup de nations où en Europe et de par le monde qui ne sont pas gagnées par l’ensauvagement : par exemple la Pologne, la Hongrie, le Japon, Taïwan…

    Et d’asséner que « ce mal s’est sans doute accéléré sous l’effet d’une désinhibition provoquée par les réseaux sociaux et la culture de l’anonymat ».

    Ceux qui observent quelque corrélation entre l’augmentation de l’insécurité et l’immigration sont sans doute des esprits chagrins influencés par « l’extrême-droite ».

    Mr Macron, lui, qui ne veut pas parler d’ensauvagement, ne veut pas davantage évoquer l’immigration, et encore moins, eu égard à ses chiffres énormes, ce que nous avons qualifié de « tsunamigration », dans les causes de l’augmentation des violences.

    Mais, on doit tout de même l’admirer lorsqu’il émet la très pertinente, la très originale, la très émouvante considération selon laquelle « tous ont le droit de prétendre à une vie calme, où qu’ils habitent » et qu’il confie fièrement : « Je me bats pour le droit à une vie paisible ».

    Mais la vérité, Monsieur Macron, c’est que vous ne battez pas pour  que les Français, aient une vie paisible ! Car si tel était votre souci, vous prendriez les mesures qui s’imposent pour en finir avec la tsunamigration qui n’est pas la seule cause de l’insécurité galopante mais qui en est, et vous le savez bien, une source essentielle.

    Venons-en à la question qui lui est posée sur les condamnations de cinq d’entre eux, dérisoires pour la gravité des faits, et les relaxes pour les huit autres, des auteurs de l’abominable attentat de Viry-Châtillon.

    Condescendant, Micro Néron exprime qu’il a eu une pensée pour les victimes et leurs familles… Cela va sans doute aller droit au cœur de la gardienne de la paix sortie atrocement brûlée du véhicule incendié et lapidée par des salopards criminels de la racaille des assaillants.

    Certes, séparation des pouvoirs oblige, Mr Macron ne doit pas commenter une décision de justice.

    Mais sa fonction est de veiller à ce que la justice en France ne soit pas trop souvent rendue par des « juges » idéologues. Sa fonction lui permet de décider d’en finir avec l’Ecole Nationale de la Magistrature, et de la remplacer par un autre mode de recrutement et de formation des juges.

    L’islam et L’islamisme

    Il y avait 5000 salafistes et frères musulmans en France il y a vingt ans. Le Figaro interroge Macron sur le fait qu’ils sont aujourd’hui plusieurs dizaines de milliers. Et les années Macron sont des années de grosse augmentation.

    Naturellement, il répond par l’ineptie ritournelle qu’il ne faut pas confondre islam et islamisme.

    Comme si l’islamisme ne se propageait pas sur le terreau de l’islam ? Comme si l’islamisme était autre chose qu’un islam au pied de la lettre ? Comme si l’islam « mains rouges » ne s’engouffrait pas massivement derrière l’islam « patte blanche » ? Comme si l’islam salafiste et les frères musulmans ne constituaient pas une vaste proportion de l’islam réel ? Mr Macron ne se lasse pas du déni de réalité !

    Ni du mensonge, car il ment lorsqu’on l’interroge sur la consigne donnée par des préfets d’appliquer le couvre-feu avec une grande souplesse pour les musulmans en ce mois de ramadan. Il ose répondre que « le couvre-feu s’applique sur l’ensemble du territoire et pour tout le monde, sans distinction ».

    Oui Micro-Néron est vraiment un gros menteur : on nous a transmis la directive de la préfète du Tarn autorisant les musulmans à circuler jusqu’à 22 heures et son ordre en conséquence aux forces de police. Et ce pour toute la durée du ramadan. Il n’y a pas eu semblable disposition pour les offices catholiques de la seule Veillée Pascale !

    On l’interroge enfin sur l’Algérie. Et sur ce douloureux sujet une fois encore il se moque des Français.

    Il invoque les « mémoires fracturées ». Mais qui donc plus que lui, parlant de la colonisation, comme d’un « crime contre l’humanité » a-t-il autant contribué à piétiner la mémoire française ?

    Sous son expression de « mémoire fracturée » Macron met simultanément « celle des pieds-noirs, des harkis, celle des appelés du contingent, celle des militaires français, celle des Algériens venus ensuite en France, celle des enfants de cette migration, celle des binationaux. » Et il ajoute l’énormité que voici : « Toutes ces mémoires cohabitent sur notre sol et vivent dans un même pays dont elles partagent le projet national. Il faut la réconciliation ».

    Outre le fait de son expression gauche selon laquelle des mémoires cohabitent, observons qu’il parle de mémoires de français (pieds-noirs, harkis, soldats français) et de mémoires d’Algériens. Et il ose proférer l’énormité qu’ « elles partagent le projet national ». Mais quel projet national ? Le Français ? l’Algérien ? Ou en même temps l’un et l’autre. Vraiment, de quoi cause t-il ? Quel est ce salmigondis ?

    Et il se félicite de ce que sa volonté de réconcilier les mémoires soit très largement partagée, notamment par le président Tebboune; ajoutant « Il est vrai qu’il doit compter avec quelques résistances ». Ses questionneurs de supputer : « comme ce ministre, qui a déclaré que la France était l’ennemi traditionnel et éternel des Algériens ?» (Hachemi Djaâboub, ministre du travail, le 8 avril)

    Mais que font alors en France ces Algériens qui pensent cela, sinon l’occuper, la soumettre ?

    Et que devrait faire un gouvernement français de pareils ennemis, sinon les expulser ? Mais ce n’est pas sur Mr Macron qu’il faut compter pour commencer l’œuvre de libération de notre France.

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron interrogé par la chaîne américaine CBS : “Nous devons déconstruire notre propre histoire”

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2021

     

    MARGARET BRENNAN : OK, compris. M. le Président, la race est un sujet très chaud dans ce pays en ce moment. Et je veux vous interroger sur quelque chose que vous avez dit récemment. La France est une ancienne puissance coloniale, mais vous avez dit en comparant nos deux pays, “Je suis sûr d’une chose, nous ne sommes pas les États-Unis d’Amérique. Nous avons une préférence pour l’égalité qui est fondée – qui ne se trouve pas aux États-Unis. Nos valeurs ne sont pas tout à fait les mêmes. Nous avons un attachement à la social-démocratie, à plus d’égalité.” Qu’entendez-vous par là ?

    PRÉSIDENT MACRON : Je pense que les Etats-Unis et l’Europe sont- sont confrontés à des défis communs, à des réseaux d’inégalités, à des discours de haine, etc. et à des tensions dans nos sociétés. Et la race arrive, je dirais en plus de cela, parce que nous n’avons pas réglé cette question. Et c’est une question qui existe dans notre société. Dans votre société, il y avait de la ségrégation et vous avez réussi à réagir précisément et à réorganiser votre société dans les années 60 avec une action positive et affirmative et des politiques nucléaires, afin de faire face à ce phénomène. Notre histoire est très différente parce que nous étions des États coloniaux et que nous sommes maintenant – nous sommes au centre et nous étions et nous sommes toujours des contrariétés de l’immigration avec beaucoup de gens venant des anciennes colonies et, par exemple, du continent africain. Et nous avons définitivement cette question de la race, qui est au cœur même de notre société, et qui crée de nombreuses tensions lorsque des personnes sont victimes de discrimination et lorsque des personnes poussent des discours racistes, du racisme ou des discours inacceptables. Ma conviction est que nous devons aborder cette question en commençant par la transparence et une évaluation équitable. C’est pourquoi j’ai lancé de nouvelles plateformes pour lutter contre la discrimination, le racisme, etc. Deuxièmement, un dialogue calme et ouvert pour comprendre comment cela s’est passé et, d’une certaine manière, pour déconstruire notre propre histoire. Mais sans aucune confusion, nos histoires sont très différentes. La façon dont nous nous sommes comportés dans le passé, la façon dont nous avons construit notre propre traumatisme sont très différentes, même si nous avons des phénomènes communs. Je pense donc que nous devons – nous devons essentiellement – aller aux racines mêmes de ce phénomène. Mais nous devons lancer de nouvelles politiques, concrètes et déterminées, pour nous débarrasser du racisme dans notre société. C’est essentiel. Mais troisièmement, nous devons reconstruire l’unité de nos sociétés. Et l’un des grands risques aujourd’hui est d’être inefficace dans la gestion de la discrimination et, d’une certaine manière, de pousser à la fragmentation de toutes les sociétés en encourageant, je dirais, une sorte de construction où une nation serait l’addition de différentes races ou l’addition de différentes minorités. Je ne le pense pas. Je pense qu’une nation est basée sur l’unité avec les différences, est basée sur l’unité des projets, et nous ne devrions jamais accepter la fragmentation de ce projet à travers toutes ces différences et spécificités. Donc ce dont nous avons besoin d’une certaine manière des deux côtés de l’Atlantique, c’est d’une politique de reconnaissance, de construire notre unité en étant plus efficace contre les inégalités, contre la discrimination, et en travaillant pour l’unité et en reconnaissant toutes les différences. C’est un défi énorme, mais c’est l’un des défis essentiels de notre génération.

    CBS via fdesouche

  • "FERMETÉ"

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2021

    Avant son déplacement à Montpellier consacré à la sécurité, Emmanuel Macron, dans un long entretien accordé au Figaro, affiche ce lundi sa "FERMETÉ".
    10 000 policiers et gendarmes seront recrutés d'ici avril 2022, c'est a dire moins que les 13 000 postes supprimés par Sarkozy entre 2007 et 2012 et jamais compensés depuis. Mesure qui relève d'autant plus du saupoudrage que rien n'indique que l'ensemble de ces fonctionnaires seront affectés sur le terrain et se retrouveront vraiment sur la voie publique. Mais ce qui compte, n'est-ce pas, c'est l'affichage.
    Généralisation des caméras-piétons qui n'auront d'autres effets que de gêner les forces de l'ordre tant dans les choix des contrôles que dans leur déroulement. Mais ce qui compte, n'est-ce pas, c'est la communication.
    Remplacement de la casquette par un calot, ce qui, chacun en conviendra, changera du tout au tout la donne en terrorisant la racaille et en imposant aux méchants le respect de la loi et de ceux qui sont chargés de la faire respecter. Avec le calot, plus de caillassages, plus de guet-apens, plus de policiers brûlés vifs.
    Création d'une surréaliste "école de guerre" destinée à la formation continue des policiers. Guerre contre quoi? Contre qui? Sans doute contre les automobilistes et les "délinquants" sanitaires, ceux qui enfreignent la loi en courant dans la nature à plus de 10 kilomètres de chez eux, où ceux qui vont à la messe.
    Ouverture enfin d'un "grand-débat citoyen" (sur la drogue cette fois), inévitable et incontournable gadget itératif de la Macronie.
    Quelle poigne! Qu'elle hardiesse! Grâce à Macron et par la mise en oeuvre de ce plan ambitieux, l'ensauvagement sera bientôt vaincu et la libération des quartiers de non-France une réalité.
    Fumisterie électorale! Ce qui compte, n'est-ce pas, c'est la Présidentielle qui approche à grands pas.
    JFT.
    Peut être une image de 1 personne et position debout