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macron - Page 33

  • La reprise est là, mais la France de Macron est déjà en faillite !

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2021

    synthesenationale

    Marc Rousset

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    La droite « fourmi » allemande met déjà en garde la France sur son budget, souhaitant une « Union de la stabilité et non une Union de la dette », même si la chancelière Merkel est consciente que des dépenses publiques gigantesques devront être budgétées dans le secteur des hautes technologies et plus particulièrement dans l’intelligence artificielle, l’informatique quantique, les batteries et les puces électroniques. La France « cigale » qui gaspille depuis 40 ans avec une politique socialiste de dépenses de fonctionnement inacceptables (âge de la retraite, 35 heures, régimes spéciaux, invasion migratoire, 2 millions de fonctionnaires en trop…) risque de caler beaucoup plus vite qu’espéré, rattrapée par ses dettes passées, de ne plus pouvoir emprunter en raison de la hausse des taux, ce qui l’empêcherait alors d’investir dans les investissements d’avenir.

    Le budget 2022 de Bercy est une plaisanterie irréaliste, un conte de fées qui se paie de mots. Alors que les dépenses publiques ont augmenté de 1,9 % en 2019, 1,3 % en 2020, 2,3 % en 2021, Olivier Dussopt veut nous faire croire qu’elles n’augmenteront plus chaque année, à partir de 2022, que de 0,7 % jusqu’en 2027. On vient d’apprendre que la seule assurance maladie, en équilibre ces dernières années, connaîtra en 2021, après 2020, de nouveau un déficit substantiel de 31 milliards d’euros ! Le déficit public et la dette publique en 2022 seront bien supérieurs aux 5,3 % et 116,3 % du PIB annoncés. La réforme des retraites du technocrate Macron, après l’usine à gaz du prélèvement à la source en lieu et place d’un simple prélèvement mensuel basé sur l’impôt de l’année précédente, devrait se limiter à une simple augmentation de l’âge du départ à la retraite et à la fin immédiate des régimes spéciaux, sans vouloir chambouler pour autant, d’une façon injuste, tout le système.

    La dette publique française à la fin mars 2021 représente déjà 2.739,2 milliards d’euros et 118,2 % du PIB. L’endettement de la France représente donc le double de l’autorisation maximale de 60 % du PIB. Bruno Le Maire est obligé de changer le texte de sa chansonnette : il reconnaît que la croissance ne suffira pas pour rembourser la dette, qu’il faudra (mais demain, toujours demain) des réformes de structure, diminuer fortement les dépenses publiques sans rien décider pour l’instant avec Macron. Les taux finiront un jour inéluctablement par remonter ; les marchés, ce que reconnaît la Cour des comptes, peuvent décider d’arrêter de prêter du jour au lendemain.

    Tandis que les autres pays vont voir leur taux d’endettement diminuer, la France gardera au mieux son taux démentiel et la moindre hausse des taux d’intérêt sera le coup de grâce qui la conduira au tapis ! Les perspectives d’inflation aux États-Unis pourraient faire connaître au monde d’ici un an ou deux, avec ces gigantesques masses monétaires déjà créées par les banques centrales, une situation semblable aux années 1970 avec des taux d’intérêt qui s’étaient élevés au-delà de 20 % dans les premiers jours de 1981 ! Le système occidental ne supporterait pas aujourd’hui une augmentation de taux d’intérêt au-delà de 3 %. Dans ces conditions, l’inflation a de beaux jours potentiels devant elle. En Angleterre, l’inflation vient déjà de dépasser les 3 %. Une augmentation rampante non temporaire de l’inflation est pour l’instant plus que probable partout dans le monde.

    La dernière réunion du G7 n’était qu’une exhortation à poursuivre la fuite en avant de la création monétaire et de l’augmentation des dépenses publiques ; Mario Draghi a alors déclaré qu’il était absolument nécessaire de rassurer les investisseurs avec un « ancrage budgétaire à long terme », pour éviter une hausse des taux d’intérêt. Faut-il encore que cet ancrage budgétaire soit sérieux, ce qui n’est pas le cas de la France… Draghi, de son côté, a fait son possible pour favoriser, dans ses budgets, l’investissement en Italie, mais il n’a pas encore gagné la partie pour autant. La situation de la France et de l’Italie ne tient en fait qu’à un fil, et le moindre nouveau cygne noir déclencheur d’une hausse des taux d’intérêt conduira inéluctablement ces deux pays à la faillite officielle, au retrait de la zone euro afin de pouvoir dévaluer la lire et le franc, ce qui créera une gigantesque hyperinflation.

     
    Boulevard Voltaire cliquez ici
  • Un écolier de Poix-de-Picardie (80) interroge Emmanuel Macron : « Ça va, la claque ? »

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

     

    Source : fdesouche
  • Le président Macron exhorte les pays du G7 à vendre leurs réserves d’or pour financer l’aide à l’Afrique

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2021

    (…) “La singularité de l’Afrique c’est qu’elle n’a pas les moyens financiers aujourd’hui de protéger et de relancer son économie, comme l’ont fait tous les autres continents”, a souligné en mai sur RFI le ministre français des Finances, Bruno Le Maire.

    En avril, les chefs des finances mondiales ont accepté d’augmenter les réserves (DTS) du Fonds monétaire international de 650 milliards $ et de prolonger le gel du service de la dette pour aider les pays en développement à faire face à la pandémie. Seulement 34 milliards $ ont été alloués à l’Afrique.

    “La France veut aller beaucoup plus loin en réaffectant les DTS destinés aux pays développés au profit des pays africains”, a indiqué un officiel français aux journalistes.

    D’après Emmanuel Macron, un “new deal” est nécessaire pour l’Afrique afin d’apporter au continent une bouffée d’air frais.

    Aujourd’hui, le président français a appelé les membres du G7 à trouver un accord dans le cadre des efforts visant à redistribuer 100 milliards $ de DTS du FMI aux pays africains.

    Alors, comment financer le plan de sauvetage ?

    En conférence de presse, M. Macron s’est dit prêt à vendre des réserves d’or pour financer le sauvetage des économies africaines.

    Or.fr via fdesouche

  • BAROQUE ET FATIGANT…

    Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2021

    BAROQUE ET FATIGANT…
    Pour la mornifle à Tata et tout le grotesque de la situation qui tourne en boucle, Damien Taurel se prend donc quelques mois de prison. Pas tant pour le soufflet d’ailleurs que pour son attitude lors de la comparution immédiate où, nous dit-on, le bonhomme a fanfaronné outre-mesure quand on attendait de lui pleurniche, repentance, excuses minables qui caractérisent les petites frappes impunies, protégées, promues par l’Ordre bourgeois qui en tremble.
    « L’abruti » en question, le « paumé » et toute la panoplie ordurière de rigueur dont l’affublent les médias depuis trois jours, n’a pas baissé la tête devant ses juges corrompus qui avaient pour ordre de faire dans « l’en même temps ». Peu de prison mais, en revanche, une mort sociale assurée et, cerise sur le gâteau, une « obligation de soins psychiatriques »… comme au bon vieux de temps de la Loubianka, façon En Marche.
    Lors de son procès expédié fissa (pour une fois la Justice avait tous les moyens et le temps) Damien a invoqué la chevalerie, son combat pour les Gilets Jaunes et les Patriotes en général. Il a évoqué un éventuel duel avec Tata que celui-ci aurait bien sûr refusé. Cette rhétorique fleure bon la chanson de geste et la virilité moyenâgeuse. Comme dit mon père de 92 ans : « Ce type a du cran »…
    C. Rol
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  • Tain-l’Hermitage (26) : Emmanuel Macron giflé par un homme

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2021

    fdesouche

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