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californie

  • Californie : une loi autorise la chirurgie de changement de sexe pour les mineurs, même si leurs parents s’y opposent

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2022

    Auteur : 

    La gaystapo continue son ravage au sein de la jeunesse.

    En Californie, un des Etats les plus arc-en-ciel des Etats-Unis, une nouvelle loi dictée par le lobby Lgbtqi++++ protège les enfants de la « persécution » de leurs parents et décrète l’éloignement de leurs familles. Cette loi autorise la chirurgie de changement de sexe pour les mineurs, même si leurs parents s’y opposent. L’éloignement s’applique à la fois pendant la période de l’opération elle-même et le déroulement de l’hormonothérapie qui la précède. En outre, la loi protège contre les poursuites ceux qui accompagnent ces enfants pour ce genre d’opérations mutilantes, y compris ceux d’autres États. Et il sera interdit de transférer des informations les concernant vers d’autres régions.

    En Californie, il est désormais possible d’effectuer des opérations de changement de sexe sur des enfants sans le consentement parental.

    Un père de famille d’origine russe a témoigné de la pression exercée ainsi sur les parents vivant en Californie :

    « Nous avons pris notre fils de trois ans pour un examen physique de routine. Le médecin est entré et a demandé : « Es-tu un garçon ou es-tu une fille ? »

    J’ai pensé, que diable. Heureusement, mon fils s’est rendu compte de l’évidence à l’âge de trois ans et a répondu qu’il était un garçon. Pendant l’inspection, je n’arrêtais pas de penser à la raison pour laquelle ce type posait une telle question. Et puis je me suis souvenu : oh ouais, je vis en Californie.

    Considérez-moi paranoïaque, mais je pense que ce n’est pas sans raison, étant donné d’autres cas. Beaucoup disent que le nouveau projet de loi sur l’égalité pourrait voir plus de parents perdre les droits sur leurs enfants qui veulent changer de sexe.

    Alors je me demande si le médecin a posé cette question à mon fils pour voir si cela pourrait étayer avec le temps l’idée que mon fils veut être une fille. Mais voilà, mon bébé a trois ans. Je ne lui donne même pas le choix de ce qu’il aura pour le dîner. Parfois, il se considère comme un dinosaure. Mais je ne veux pas le laisser se transformer en dinosaure ».

    Poutine a-t-il tort d’affirmer : « La dictature des élites occidentales prend la forme d’une religion à l’envers, un vrai satanisme » ?

    Francesca de Villasmundo

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    Source : medias-presse.info

  • La Californie pourrait légaliser l’infanticide

    Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2022

    La Californie pourrait légaliser l’infanticide

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    Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, se voit comme un futur candidat à l’élection présidentielle et fait tout ce qu’il peut pour séduire la base radicale “progressiste” du parti Démocrate.

    M. Newsom cherche à positionner la Californie comme un “État sanctuaire” lorsqu’il s’agit de promouvoir l’avortement. Il a formé un “California Future Of Abortion Council” (Conseil sur l’Avenir de l’Avortement en Californie) pour élaborer des propositions visant non seulement à garantir la disponibilité continue de l’avortement en Californie – pour les résidents et les non-résidents – mais aussi à étendre considérablement les soi-disant droits reproductifs pour inclure l’avortement même après la naissance. En d’autres termes, l’infanticide.

    En vertu de la législation (Assembly Bill 2223) visant à mettre en œuvre l’une des recommandations du Conseil sur l’Avortement de Newsom, les “personnes enceintes” (autrement appelées femmes) seraient protégées des sanctions pénales ou civiles pour toute “action ou omission” liée à leur grossesse, “y compris la fausse couche, la mortinaissance, l’avortement, ou la mort périnatale”. De plus, toute personne qui “aide ou assiste” une femme dans l’exercice de ses “droits” en vertu de la législation est exonérée de toute responsabilité. En outre, si un agent des forces de l’ordre ou une autre autorité devait arrêter ou inculper quelqu’un pour un crime lié à un acte protégé par la législation, l’agent pourrait être poursuivi personnellement et des dommages-intérêts pourraient lui être demandés.

    La question de savoir si AB 2223 autorise l’infanticide dépend de la signification de la “mort périnatale”. Il est révélateur que la législation elle-même ne définisse pas le terme, ce qui nous oblige à recourir à d’autres sources de définition. Si les définitions médicales varient, elles incluent toutes le décès des nouveau-nés jusqu’à sept jours après la naissance. Il semble donc évident que – en l’absence d’une décision contraire de la Cour – en vertu des dispositions de la loi AB 2223, un bébé né vivant peut être tué pendant sept jours, voire plus.

    En Californie, une femme a le droit d’avorter de son enfant pour n’importe quelle raison, ou sans raison du tout, pendant toute la durée de sa grossesse, pour autant qu’elle affirme que cela est nécessaire pour protéger sa santé mentale ou physique. L’AB 2223 éliminerait entièrement l’”exception de santé” et étendrait ce droit élargi à l’”interruption de grossesse” des enfants âgés de sept jours ou peut-être même plus. Ainsi, une femme peut donner naissance à un bébé en bonne santé, mais il y a peut-être quelque chose chez cet enfant qui la dérange. La couleur de sa peau est peut-être trop foncée ou trop claire. Ou ses yeux ont l’air inclinés, ou pas assez inclinés. Peut-être que l’enfant pleure trop. Ou bien le bébé est une fille et la femme voulait un garçon, ou vice versa. L’enfant est peut-être né avec une maladie qui nécessitera des soins médicaux ultérieurs. Ou peut-être la femme souffre-t-elle d’une dépression post-partum et ne désire-t-elle plus être mère. Toutes ces circonstances, ainsi que toute autre raison (ou aucune raison), sembleraient donner lieu à une protection juridique de la femme – et de toute personne qu’elle choisit pour “l’aider ou l’assister” – pour tuer l’enfant et le faire ainsi subir une “mort périnatale”.

     

    Source : lesalonbeige

  • « Il ne manque que la mer à la Seine-Saint-Denis pour devenir la Californie » (Macron) !

    Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2021

    Démagogie et start-up Nation...

    Emmanuel Macron pendant une conférence de presse lors du sommet européen du 25 mai 2021 © John Thys/AP/SIPA Numéro de reportage : AP22570473_000178

    Jupiter est tout puissant. Nous pouvons lui faire confiance pour changer la géographie de la France. 

    californie,macron,mer,seine-saint-denisLe président de la République s’est confié à Zadig. Un magazine dégoulinant de crème pâtissière bien-pensante. Pauvre Voltaire ! Mais il n’est plus là pour protester.

    Macron a communiqué aux lecteurs de Zadig sa vision de la France qu’il aime. Il a évoqué Amiens, le berceau où il a grandi. Puis il s’est attardé sur le 9-3 à qui, selon lui, « il ne manque que la mer pour devenir la Californie ».

    À l’appui de cette superbe envolée lyrique, il a avancé deux arguments. La Seine-Saint-Denis est, a-t-il dit, « le département le plus jeune de France ». Il a toutefois oublié de préciser que le 9-3 était surtout très « jeunes ». Deuxième argument : « la Seine-Saint-Denis est le département qui compte le plus grand nombre de créations de start-up par habitant ». C’est tout à fait exact si l’on range dans cette catégorie les points de deal.

    Zadig est un magazine niais. Pour être au diapason de ses lecteurs, le chef de l’État a bien compris qu’il lui fallait, lui aussi, être niais. Et dans ce registre, il a été excellent. La mer, Macron ira la chercher avec les dents. La plus proche du 9-3, c’est la Manche. Mais ses eaux sont froides et la population du 9-3 est frileuse. Ce sera donc la Méditerranée, plus chaude et plus propice à l’épanouissement des Dionysiens.

    Macron est un démagogue éprouvé. Quand il lui faut parler d’insécurité, il fait un pas vers la droite. Quand il évoque les Français qui sont à la peine, il lorgne vers la gauche. Mais il n’est jamais aussi inspiré que quand il se penche amoureusement sur la banlieue jeune, vigoureuse et virile.

    Pour conclure, j’emprunte une formule à un tenant de la fachosphère : « ce serait déjà bien si la Seine-Saint-Denis ressemblait à la France ». Je lui laisse la responsabilité de ses propos insupportables. 

    Benoît Rayski

    Source : https://www.causeur.fr/