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macron - Page 32

  • 2022 : pourquoi 382 élus locaux LR et PS soutiennent les mesures de Macron

    Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2021

    Dans une tribune publiée dans le JDD, 382 élus de toutes sensibilités, mais pour beaucoup issus des rangs de la droite, applaudissent le tour de vis sanitaire donné lundi par Emmanuel Macron. Mais pas seulement. “Sur le plan économique, nous partageons également les orientations annoncées, la priorité donnée au travail, à la production et au mérite“, ajoutent-ils. C’est donc désireux “d’agir ensemble pour la France” que ces élus locaux affirment soutenir “les actions que vient d’annoncer” le chef de l’État.

    Notre conviction est que nous vivons un moment de bascule comme l’Histoire en offre parfois. ” affirment les signataires.

    Parmi les signataires, nombre de maires de droite qui avaient déjà fait mouvement vers le Président : Christian Estrosi (Nice), Christophe Béchu (Angers), Karl Olive (Poissy), Caroline Cayeux (Beauvais). Mais d’autres viennent se greffer à ce courant tenté de longue date par le macronisme : le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc ; celui de Limoges, Émile Roger Lombertie ; Stéphane Beaudet, vice-président du conseil régional d’Île-de-France, dirigé par Valérie Pécresse ; la présidente du département des Bouches-du-Rhône, Martine Vassal ; ainsi que ses homologues de Seine-Maritime, de la Réunion ou de Guadeloupe. À noter : le maire du Havre, l’ancien Premier ministre Édouard Philippe, sollicité, n’a pas signé ; mais plusieurs de ses proches l’ont fait. […]

    La pêche, en réalité, se révèle un peu moins fructueuse à gauche, même si parmi les prises figurent les maires PS de Dijon et de Créteil, François Rebsamen et Laurent Cathala. C’est donc d’abord en direction de la droite que “la poutre travaille” toujours, selon l’expression utilisée par Édouard Philippe pour indiquer que la recomposition politique engendrée par l’élection de Macron n’était pas terminée. De fait, les stratèges de la Macronie persistent à creuser le sillon tracé en 2017. Mais, désormais, sur la base d’un double constat : la faiblesse de La République en marche, la formation présidentielle, constatée à l’occasion des régionales de juin ; le rejet croissant par l’opinion de la forme partidaire.

    Nombre de proches du chef de l’État caressaient, depuis un ou deux ans, l’ambition de bâtir en vue de 2022 une grande “confédération” macroniste, sur le modèle d’une UDF 2.0 : agréger une kyrielle de groupuscules, d’Agir (l’aile droite de la majorité) à Territoires de progrès (son aile gauche) autour d’un môle central, LREM, et de son allié puissant, le MoDem de François Bayrou, afin de ratisser le plus largement possible. Ils ont donc changé leur fusil d’épaule pour miser non sur une formation politique, mais sur un seul homme : le Président. […]

    Texte de la tribune

    le JDD

  • La Chine, modèle de la France de Macron : des millions de Chinois non vaccinés menacés d’être mis au ban de la société

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2021

    La Chine, modèle de la France de Macron : des millions de Chinois non vaccinés menacés d’être mis au ban de la société

    Le futur de la France s’écrit en Chine, si l’on en croit cet article de l’AFP :

    Interdits d’université, d’hôpital ou de supermarché… Des millions de Chinois sont menacés d’être mis au ban de la société s’ils ne sont pas vaccinés contre le Covid-19, selon des directives adoptées par une vingtaine de collectivités locales.

    La Chine, où le coronavirus a fait son apparition à la fin de 2019, a déjà administré plus de 1,4 milliard de doses de ses vaccins et prévoit d’immuniser totalement les deux tiers de sa population d’ici à la fin de l’année. Mais nombre de Chinois ne sont pas convaincus, soit qu’ils doutent de l’efficacité des vaccins, soit qu’ils ne jugent pas nécessaire de le faire puisque l’épidémie est pratiquement éradiquée dans le pays.

    Mais alors que le variant Delta, plus contagieux, circule dans les pays voisins, plusieurs villes et comtés tentent d’imposer la vaccination à leurs habitants — une démarche qui pourrait annoncer des mesures prises au plan national. Dans le Yunnan, la ville de Chuxiong (510.000 habitants) a ainsi annoncé mercredi 14 juillet au soir que tous les citoyens de plus de 18 ans devraient avoir reçu au moins une dose de vaccin avant le 23 juillet. Les récalcitrants «ne seront pas admis dans les lieux publics tels que hôpitaux, maisons de retraite, écoles, bibliothèques, musées, prisons ou transports publics», a averti la mairie. Un mois plus tard, seules les personnes ayant reçu deux injections pourront accéder à ces lieux.

    Dans le Henan, le comté de Tianhe a pour sa part menacé de licencier les fonctionnaires non vaccinés d’ici au 20 juillet, selon un avis publié lundi. Ces différentes mesures ont été critiquées sur les réseaux sociaux. «D’abord on nous a dit que la vaccination était facultative et maintenant ça devient obligatoire», tempête un internaute sur le réseau Weibo. «Je viens d’avoir ma deuxième dose mais cette politique ressemble à un oukase», se plaint un autre utilisateur.

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron ce soir dévoile sa vraie nature et celui de son régime.

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2021

    Macron ce soir dévoile sa vraie nature et celui de son régime.
    Macron c'est Brejnev sans le folklore rouge mais avec la même froideur soviétique du totalitariste progressiste qu'il est.
    Interdire à des Français de prendre le train ou le car et de faire leurs courses dans une grande surface est un acte dictatorial.
    L'internement, le goulag, c'est maintenant.
    JFT.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
  • La reprise est là, mais la France de Macron est déjà en faillite !

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2021

    synthesenationale

    Marc Rousset

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    La droite « fourmi » allemande met déjà en garde la France sur son budget, souhaitant une « Union de la stabilité et non une Union de la dette », même si la chancelière Merkel est consciente que des dépenses publiques gigantesques devront être budgétées dans le secteur des hautes technologies et plus particulièrement dans l’intelligence artificielle, l’informatique quantique, les batteries et les puces électroniques. La France « cigale » qui gaspille depuis 40 ans avec une politique socialiste de dépenses de fonctionnement inacceptables (âge de la retraite, 35 heures, régimes spéciaux, invasion migratoire, 2 millions de fonctionnaires en trop…) risque de caler beaucoup plus vite qu’espéré, rattrapée par ses dettes passées, de ne plus pouvoir emprunter en raison de la hausse des taux, ce qui l’empêcherait alors d’investir dans les investissements d’avenir.

    Le budget 2022 de Bercy est une plaisanterie irréaliste, un conte de fées qui se paie de mots. Alors que les dépenses publiques ont augmenté de 1,9 % en 2019, 1,3 % en 2020, 2,3 % en 2021, Olivier Dussopt veut nous faire croire qu’elles n’augmenteront plus chaque année, à partir de 2022, que de 0,7 % jusqu’en 2027. On vient d’apprendre que la seule assurance maladie, en équilibre ces dernières années, connaîtra en 2021, après 2020, de nouveau un déficit substantiel de 31 milliards d’euros ! Le déficit public et la dette publique en 2022 seront bien supérieurs aux 5,3 % et 116,3 % du PIB annoncés. La réforme des retraites du technocrate Macron, après l’usine à gaz du prélèvement à la source en lieu et place d’un simple prélèvement mensuel basé sur l’impôt de l’année précédente, devrait se limiter à une simple augmentation de l’âge du départ à la retraite et à la fin immédiate des régimes spéciaux, sans vouloir chambouler pour autant, d’une façon injuste, tout le système.

    La dette publique française à la fin mars 2021 représente déjà 2.739,2 milliards d’euros et 118,2 % du PIB. L’endettement de la France représente donc le double de l’autorisation maximale de 60 % du PIB. Bruno Le Maire est obligé de changer le texte de sa chansonnette : il reconnaît que la croissance ne suffira pas pour rembourser la dette, qu’il faudra (mais demain, toujours demain) des réformes de structure, diminuer fortement les dépenses publiques sans rien décider pour l’instant avec Macron. Les taux finiront un jour inéluctablement par remonter ; les marchés, ce que reconnaît la Cour des comptes, peuvent décider d’arrêter de prêter du jour au lendemain.

    Tandis que les autres pays vont voir leur taux d’endettement diminuer, la France gardera au mieux son taux démentiel et la moindre hausse des taux d’intérêt sera le coup de grâce qui la conduira au tapis ! Les perspectives d’inflation aux États-Unis pourraient faire connaître au monde d’ici un an ou deux, avec ces gigantesques masses monétaires déjà créées par les banques centrales, une situation semblable aux années 1970 avec des taux d’intérêt qui s’étaient élevés au-delà de 20 % dans les premiers jours de 1981 ! Le système occidental ne supporterait pas aujourd’hui une augmentation de taux d’intérêt au-delà de 3 %. Dans ces conditions, l’inflation a de beaux jours potentiels devant elle. En Angleterre, l’inflation vient déjà de dépasser les 3 %. Une augmentation rampante non temporaire de l’inflation est pour l’instant plus que probable partout dans le monde.

    La dernière réunion du G7 n’était qu’une exhortation à poursuivre la fuite en avant de la création monétaire et de l’augmentation des dépenses publiques ; Mario Draghi a alors déclaré qu’il était absolument nécessaire de rassurer les investisseurs avec un « ancrage budgétaire à long terme », pour éviter une hausse des taux d’intérêt. Faut-il encore que cet ancrage budgétaire soit sérieux, ce qui n’est pas le cas de la France… Draghi, de son côté, a fait son possible pour favoriser, dans ses budgets, l’investissement en Italie, mais il n’a pas encore gagné la partie pour autant. La situation de la France et de l’Italie ne tient en fait qu’à un fil, et le moindre nouveau cygne noir déclencheur d’une hausse des taux d’intérêt conduira inéluctablement ces deux pays à la faillite officielle, au retrait de la zone euro afin de pouvoir dévaluer la lire et le franc, ce qui créera une gigantesque hyperinflation.

     
    Boulevard Voltaire cliquez ici
  • Un écolier de Poix-de-Picardie (80) interroge Emmanuel Macron : « Ça va, la claque ? »

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

     

    Source : fdesouche