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macron - Page 32

  • Allocution d'Emmanuel Macron : le petit VRP des laboratoires pharmaceutiques

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2021

    Emmanuel Macron n'a pas pu s'empêcher de démarrer son allocution avec la reprise du sketch éculé de l'énième reprise fantasmée de la pseudo-épidémie de Covid. Se grimant une fois de plus en petit VRP des laboratoires pharmaceutiques, il a annoncé sans surprise la 3e dose obligatoire pour les seniors si ceux-ci veulent conserver leur pass sanitaire. Pour les autres, ce sera sans doute pour bientôt, nous pouvons lui faire confiance.
    Nous avons ensuite appris que, grâce à ses efforts, notre système hospitalier ne s'est jamais aussi bien porté. Les soignants à bout et les Français qui subissent la tiers-mondisation de la santé publique apprécieront...
    Côté économie et emploi, tout va bien aussi, sachez-le. Grâce aux milliards d'argent public injectés et les mesures gouvernementales que le monde entier nous envie, nous sommes là aussi de sacrés veinards d'après notre Président de la République.
    L'insécurité est en baisse, oui oui ; toujours grâce à son action déterminante que les Français peuvent constater chaque jour.
    Enfin, avec un culot monstre, après avoir fait fermer la centrale de Fessenheim pour plaire au lobby Vert, Emmanuel Macron a annoncé la construction de nouvelles centrales nucléaires, alors que nous n'avons même plus le savoir-faire !
    Cette allocution a consisté en un panégyrique bilan d'un candidat-Président bouffi d'autosatisfaction, promettant monts et merveilles, avec encore plus de dépenses publiques, pour - tenez-vous bien - l'horizon 2030 !
    Merci à Emmanuel Macron d'avoir éclairé les Français les plus lucides sur la nécessité de le mettre hors d'État de nuire le plus rapidement possible, c'est ce à quoi nous devons nous atteler dans les mois à venir !
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
    Peut être une image de 2 personnes, personnes debout et texte qui dit ’E20H TFI T De nouvelles décisions comme nation pour les années qui viennent. Nous avons de grandes décisions’
     
     
     
     
     
     
     
  • Guerre d’Algérie : Macron, 1er président à commémorer en personne l’anniversaire de la manifestation du 17 octobre 1961

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    Emmanuel Macron présidera ce samedi à Colombes (Hauts-de-Seine) la cérémonie commémorant le 60e anniversaire de la répression sanglante d’une manifestation d’Algériens, le 17 octobre 1961, en présence de familles des victimes.

    […]

    Présent ce samedi à la cérémonie du 60e anniversaire au Pont de Bezons à Colombes (Hauts-de-Seine), par lequel passèrent des hommes, femmes et enfants habitants du grand bidonville voisin de Nanterre pour aller à la manif, Emmanuel Macron sera le premier président à commémorer en personne cette date funeste, en présence notamment de familles de victimes. 

    Le chef de l’État, qui ne prononcera pas de discours mais publiera un texte à l’issue de la cérémonie, « ira plus loin », promet un conseiller de l’Élysée sans en dire plus… Le même assure cependant qu’il n’y aura ni excuses ni demande de pardon, contrairement au récent geste à l’endroit des harkis. Explication ? « La manière dont les harkis ont été traités résulte d’un choix politique mis en œuvre par les organes de l’État, il y a donc eu demande de pardon — acceptée de bon cœur — pour ce que la République leur a infligé. Le 17 octobre 1961, il s’agissait de faits de violences dans le contexte du couvre-feu imposé aux Français musulmans d’Algérie : le préfet de police Papon avait certes la main mais pas l’ordre de tirer sur les manifestants », justifie l’Élysée. Le texte écrit par Macron pourrait d’ailleurs mentionner le rôle de la préfecture de police de Paris.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • 50 ans du Variétés Club de France : Les 50.000€ récoltés partiront à Kaboul, capitale de l’Émirat islamique d’Afghanistan

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    Jeudi à Poissy, Emmanuel Macron a chaussé les crampons avec le Variétés Club de France pour disputer un match de football caritatif contre une sélection du personnel soignant du centre hospitalier de Poissy/Saint-Germain-en-Laye. Devant 2.000 spectateurs au stade Léo-Lagrange, le président de la République a joué 75 minutes et a inscrit un but sur penalty. Son équipe, composée de nombreuses anciennes gloires du ballon rond (Christian Karembeu, Robert Pirès, Marcel Desailly, Alain Giresse, Dominique Rocheteau…) s’est facilement imposée (6-1).

    Après la rencontre, l’ensemble des acteurs de ce match, qui a permis de récolter 50.000 euros à destination de l’Institut médical pour la mère et l’enfant de Kaboul, se sont retrouvés à l’Élysée pour un dîner.

    […]

     

    Le Figaro via fdesouche

  • Macron ou le désastre d’une politique étrangère.

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2021

    Qui se souvient encore de Jupiter recevant fastueusement les présidents américain et russe, l’un aux Invalides, l’autre à Versailles, ces hauts lieux de la monarchie qu’il prétendait ainsi restaurer comme monarque républicain concentrant tous les pouvoirs ? On pressentait que le jeune Chef d’Etat “brillant” allait faire un malheur sur la scène internationale.

    macron,désastre politique étrangèreLa cour et le choeur médiatiques chantaient  des dithyrambes en son honneur. Les rangs des adorateurs se sont depuis éclaircis mais il en reste suffisamment dans les mains de ses amis milliardaires pour maintenir cet homme désastreux à 24 % de votes dans les sondages actuels. Il est vrai que le Jupiter tonnant qui osait s’en prendre au Général de Villiers ne connaît que les campagnes politiciennes, et qu’il fait aujourd’hui campagne pour sa réélection en trahissant  l’esprit même de la Ve République. Celui-ci impliquait à la tête de l’Etat un homme au-dessus du commun, doté d’un pouvoir qui lui assurerait une place prééminente dans les relations internationales en raison de ce pouvoir et malgré la taille réduite de la France après la perte de son Empire. Macron n’est pas l’homme providentiel élu par le peuple en dehors du jeu des partis. Il est un accident de l’histoire élu par défaut grâce à un complot de cabinet, et la France paie maintenant le prix de ce choix calamiteux.

    Au hasard de ses discours de campagne, il privilégie l’effet immédiat obtenu auprès de son public plutôt que l’intérêt supérieur de notre pays dans le monde. Sans doute pour séduire les double-nationaux franco-algériens, avait-il cru bon de multiplier les repentances à propos de la guerre d’Algérie. Il avait confié à un homme connu pour son penchant en faveur des indépendantistes la mission d’établir le bilan de notre présence dans ce “pays” qui n’avait ni nom, ni existence, avant sa conquête par la France. Sûr de ne pouvoir compter sur le soutien ni de ceux qui regrettent l’Algérie française, ni de tous les patriotes qui voient en lui un ennemi déclaré, il avait fait le choix d’abîmer l’image de la France pour gagner des voix chez ceux qui la détestent. Mais comme parmi cette jeunesse en qui il place ses espoirs, il y a aussi les enfants des harkis, il a donc dit tout le mal qu’il pensait du gouvernement d’Alger “construit sur une rente mémorielle”, devant notamment 18 petits-enfants de harkis. Le “en même temps”, où certains voyaient paraître enfin le génie du centrisme, révélait son secret : dire tout et son contraire en fonction des publics auxquels on s’adresse. Peu importe ce que M. Macron pense du passé, c’est l’intérêt présent de notre pays qui est en jeu. Le pouvoir algérien est ombrageux : convocation de l’Ambassadeur de France, puis rappel de l’ambassadeur d’Algérie à Paris, et enfin interdiction de survol du territoire algérien par les avions français alors que celui-ci est nécessaire pour nos opérations militaires au Sahel. Le Jupiter foudroyant du haut de la puissance française n’est décidément qu’un matamore bavard dont chaque discours risque de ne foudroyer que les intérêts de son propre pays.

    Les coups d’Etat ont été nombreux dans les anciennes colonies africaines françaises. Certains pensaient même, non sans quelque raison, que la France n’y était pas toujours étrangère. Or c’est dans l’épicentre du terrorisme sahélien, le Mali, que M. Macron a jugé utile de fustiger le gouvernement issu du dernier d’entre eux, dénué selon lui de la moindre légitimité. Là aussi, des paroles inconsidérées, acceptables chez une personne privée, mais maladroites chez un homme d’Etat qui doit en peser les risques, sont venues pourrir les rapports de la France avec un pays dans lequel plus de cinquante Français sont morts. Entre le retrait partiel des troupes françaises et le mot excessif d'”abandon” employé par le Premier ministre malien, la mort d’un nouveau militaire français avait de quoi susciter la colère, mais celle-ci exprimée à l’encontre du gouvernement, soutenu, semble-t-il par une large partie de l’opinion, était malvenue dans la bouche du président français, car elle conduit à une impasse. L’homme fort de Bamako se souvient que le Mali a déjà eu une relation privilégiée avec Moscou et la Russie met désormais un pied au Mali comme elle l’a fait en République Centre-Africaine. Que nos opérations militaires et la mort de nos soldats conduisent à une mainmise russe n’est guère la preuve d’une politique cohérente et efficace. Les clés de la sécurité dans le Sahel sont l’Algérie et la Libye. Avant de gâcher nos relations avec la première, nous avions déjà laissé place au tandem russo-turc dans la seconde. Là-encore, à quoi servait-il de s’en prendre à la mort cérébrale de l’Otan face à Erdogan si c’était pour le laisser agir à sa guise en méditerranée ? Alors Macron a dressé un village Potemkine à Montpellier, un sommet Afrique-France plein de jeunes espoirs, mais sans chefs d’Etat ou de gouvernement, bref une plaine de jeux à défaut d’un sommet qu’il a rendu impossible. Le sommet s’est déroulé à Sotchi, il y a deux ans, lorsque Vladimir Poutine a accueilli plus de quarante dirigeants africains.

    Le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian est arrivé à Beyrouth en provenance de Moscou. Il est venu annoncer la construction de deux centrales électriques et la permanence du ravitaillement du pays du Cèdre par Téhéran. La France avait un rôle majeur dans ce pays. Après les déclarations péremptoires de M. Macron au lendemain de la terrible explosion qui a ravagé le port de Beyrouth, il ne s’est rien passé, sauf que désormais c’est l’Iran et non l’Arabie saoudite qui aide financièrement le pays.

    Trump dînait avec Macron à la Tour Eiffel. Son successeur Biden a fait tomber “notre” président de haut jusque dans les profondeurs en lui piquant un énorme contrat de sous-marins pour l’Australie. Quant à Poutine, il attend sans doute le président suivant pour traiter à nouveau sérieusement avec la France.

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Macron installe une commission contre le complotisme et les fake news

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021
     
     

    Le président de la République a installé une équipe d’une quinzaine d’universitaires et personnalités qui auront pour défi de proposer des solutions face à la montée de la désinformation.

    Emmanuel Macron a installé mercredi une équipe d’une quinzaine d’universitaires et personnalités, présidée par le sociologue Gérald Bronner, chargée de faire d’ici à la fin de l’année des propositions face à l’emprise des théories complotistes et de la désinformation dans le débat public.

    La commission, intitulée Les lumières à l’ère numérique, “devra formuler d’ici la fin de l’année des propositions concrètes dans les champs de l’éducation, de la régulation, de la lutte contre les diffuseurs de haine et de la désinformation”, indique la présidence de la République dans un communiqué.

    Lors d’un point de presse mercredi, Gérald Bronner a évoqué une société qui a la “chance” de vivre dans une profusion d’informations, qui représente un “formidable espoir” en termes de capacité “d’intelligence collective”.