Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

macron - Page 40

  • Macron aux Mureaux: discours inutile de la méthode erronée.

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2020

    Macron aux Mureaux: discours inutile de la méthode erronée.

    Embruiné de cavillations et de prudence casuistique destinées à éviter la "stigmatisation", le discours sur les "séparatismes" (l'emploi du pluriel n'est évidemment pas anodin) prononcé ce vendredi à la mairie des Mureaux par Emmanuel Macron s'inscrit dans la longue liste des déclarations de principe non suivies d'effets, commises en pure perte depuis trois décennies au nom de la République, une, indivisible et laïque.

    Se féliciter comme l'a fait le Président de la République de succès fantomatiques en matière de lutte contre l'islamisme est une insulte à ceux qui sont morts, ont été blessés ou violentés ces dernières années par la sauvagerie venue d'ailleurs.

    Prétendre s'attaquer aux effets que l'on dit déplorer mais dont on chérit les causes, selon la formule célèbre de Bossuet, relève du pire mensonge carthaginois. Tant que la source même de la corrosion islamiste de la France ne sera pas traitée, les mesures supposées en réduire la malignité qu'envisage de prendre l'exécutif resteront, en effet, au niveau de l'emplâtre.

    Feindre de vouloir prendre à bras le corps la résolution du problème tout en laissant les tribunaux relâcher chaque année entre soixante et cent djihadistes et en continuant de confier malgré la promesse d'un dispositif d'évitement des extrémistes, le contrôle des organisations cultuelles aux Frères musulmans est une escroquerie en même temps qu'un crime.

    Rêver à l'organisation d'un Islam de France "Islam des Lumières" est une faute majeure contre l'identité et la cohésion nationale française.

    Affirmer sa "détermination" face à ce que d'autres nomment pudiquement "communautarisme" en laissant se développer dans des centaines de cités arrachées à la France les "daïras" des caïds de la drogue et des imams salafistes est une arnaque honteuse.

    Décider de mesures aussi dérisoires qu'inapplicables — encadrement des écoles coraniques, contrôle des associations, renforcement de la laïcité et des normes "républicaines" à l'école, "neutralité" des agents des services publics, interdiction des certificats de virginité, création surréaliste d'un Institut scientifique d'Islamologie, — dans des zones interdites à la police et dans une France soumise à la pression de la bien-pensance comme au laxisme des tribunaux est une plaisanterie.

    Non, l'islamisme n'est pas un séparatisme. Il est un impérialisme politique et religieux venu de la nuit des temps. L'immigration en est la vague porteuse. C'est à elle qu'il convient de s'attaquer non seulement pour l'endiguer mais pour procéder à son inversion totale, absolue, définitive.

    Tout le reste n'est que paroles éparses que le vent d'automne a déjà commencé de balayer.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : 3 personnes, texte qui dit ’BFM 10.55 TV. LE DIRECT LES MUREAUX (YVELINES) La République en actes es Murcaux Vendredi2 octobre 2020 EMMANUEL MACRON Président de République SÉPARATISME L'HEURE DE VÉRITÉ POUR MACRON États-Unis Donald Trump, testé positif au Covid- 19, "va bien" selon le médecin de la Maison Blanche. 17.00 BFMSTORY BFM STORY’
     
     
     
  • Tout ceci risque de se terminer très mal…

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2020

    PAR  LE 

    Tout ceci risque de se terminer très mal…Par H

    « Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement. » Francis Blanche

    Je n’ai jamais adhéré à la personnalité du chef de l’état. J’ai cherché longtemps un qualificatif pour lui et son gouvernement. Je pense, après mûre réflexion, que le meilleur terme est malsain. Élu, quoiqu’on puisse en dire par une large minorité de la population, il n’a eu de cesse que de prendre des décisions dont le moins qu’on puisse dire qu’elles ne suscitent pas un enthousiasme féroce. Le plus souvent basées sur des présupposés douteux quand ils ne sont pas faux, elles contraignent le pays à s’engager sur des chemins qui ne mènent nulle part et qui obèrent considérablement ses capacités actuelles et futures ainsi que notre vie quotidienne. Certes, il a hérité d’une situation budgétaire désastreuse mais strictement rien ne l’obligeait à poursuivre dans cette voie si ce n’est une certaine facilité et une fascination pour le court-terme.

    Les atteintes continuelles aux plus élémentaires libertés individuelles, une complaisance affichée pour des idéologies mortifères comme l’écologisme, un mépris ouvert pour ceux qui font marcher dans l’ombre la machine France que ce soit dans la fonction publique ou dans le monde privé sont proprement sidérants. Il ne se passe pas un jour sans qu’on nous annonce la mise en œuvre ou un projet qui impacte directement nos vies et nos libertés individuelles. La technique est bien rodée. Ça commence généralement par un article où une autorité quelconque, personnalité politique, artiste, ne lance dans un interview une idée généralement d’une bêtise sans égal. Parfois, l’idée est reprise dans un article sans évidemment qu’aucune contradiction ne soit apportée. Devant le tollé soulevé, une idée conne reste une idée conne, l’intéressé fait machine arrière mais, comme on dit, c’est pour mieux rentrer par la petite porte et là, on ne rigole plus du tout. C’est ainsi que sont nées des choses aussi stupides que les 80 km/h (alors que personne ne remettait en cause les 90), des taxes aussi ridicules que destructrices (taxes sur les voyages aériens, les grosses voitures, etc,…). Je crois qu’on atteint le fond avec la pseudo-concertation où 150 imbéciles, soi-disant représentatif de la population, ont planché sur un panel de propositions qui feraient rire si le mamamouchi en chef n’avait pas déclaré les adopter. Autrefois, Paris valait une messe. Au XXIème siècle, la satisfaction d’un égo va nous valoir la ruine de notre pays. Ça atteint un tel niveau que je me demande si Macron et sa bande ne déroulent pas une feuille de route préparée ailleurs, par qui et pourquoi ? Déjà, les gueux de la campagne n’ont plus le droit de se chauffer au fuel et très rapidement, ils ne vont plus pouvoir utiliser leur vieille voiture : https://www-auto–moto-com.cdn.ampproject.org/c/s/www.auto-moto.com/actualite/environnement/radar-anti-voiture-ancienne-quil-faut-savoir-250165.html/amp.

      

    Soit nous parions sur le fait qu’ils sont tous des machiavels en puissance, réfléchissant à trois ou quatre coups en avance, soit ils sont cons comme des manches. La réalité, et en particulier la pitoyable gestion de la crise COVID, a bien du mal à corroborer la première hypothèse mais si jamais la commission européenne adopte le texte dit loi Avia, nous saurons qu’ils sont, en plus de remplir les critères de la seconde hypothèse, dotés d’une méchanceté franchement machiavélique pour le coup. Bien qu’elle s’en défende, cette union européenne qui n’en finit plus de mal mourir sera devenu l’archétype du totalitarisme peut être mou mais diablement efficace. Paré de toutes les vertus d’un modèle démocratique, ce pays deviendra une prison à ciel ouvert où, n’en doutons pas, se manifesteront rapidement nombre de Fouquier-Tainville et autres Saint-Just pour ramener les esprits égarés dans un chemin prétendument droit. Si on peut trouver un point positif dans la crise sanitaire que nous traversons, c’est bien d’avoir mis à nu bien des personnalités douteuses. Les intéressés le savent et c’est peut-être à cause de cela qu’ils sont nombreux à rivaliser de flagornerie et de malhonnêteté intellectuelle pour appuyer la politique désastreuse et mensongère suivie par le pouvoir. Cette dernière pourrait, je dis bien pourrait être justifiée si le nombre de mort imputable au COVID (la faute est intentionnelle) était en totale corrélation avec le nombre de cas dit « positif » enregistré. Mais rien, il n’y a rien. Tirez-en vous-même les conclusions.

    Tout ceci risque de se terminer très mal. Attention, tant va la cruche à l’eau qu’à la fin, elle se casse.

    H

     

    Source : leblogalupus

     
  • Liban : Emmanuel Macron s’égare et dérape

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2020

    Liban : Emmanuel Macron s’égare et dérape

    De Bernard Antony :

    Emmanuel Macron vient de proférer des propos sur la situation du Liban manifestant le très grave double déni de réalité qu’il commet à propos de ce pays indépendant de la France depuis 1920.

    D’abord, le voilà d’évidence saisi par une vaniteuse confusion dans le rôle qu’il peut y jouer en tant que chef de l’État français.

    Il commet un premier déni de réalité sur sa personne, sa fonction, son rôle car il n’est pas mandaté pour parler en patron du Liban et pouvoir en admonester toute la classe politique comme il le fit chez nous à l’égard du général de Villiers. Manifestement, il ne comprend pas que le Liban n’étant pas sa chose, il est tenu à une certaine réserve dans l’expression de ses jugements de maître d’école comminatoire.

    Son deuxième lourd déni de réalité porte sur le Liban dont il parle comme d’une entité unie, ce qui n’est pas plus vrai aujourd’hui que pendant la guerre de 1975 à 1990 opposant les patriotes libanais aux différentes milices et groupes terroristes islamistes et palestiniens et à l’armée d’occupation syrienne.

    Or, sous la présidence du général Aoun, le Liban est de plus en plus passé sous le contrôle du Hezbollah, parti totalitaire chiite sous direction iranienne et puissante organisation militaire alliée du régime syrien. Disposant de ministères essentiels dans les gouvernements successifs, le Hezbollah, qui contrôle globalement le sud et l’est du pays, constitue le principal obstacle à une durable entente interlibanaise.

    Le seul avenir possible pour un Liban en paix ne passe pas par le maintien de la fiction gouvernementale unitaire actuelle nonobstant l’insurmontable division communautariste.

    Elle ne passe pas essentiellement par un illusoire changement comportemental immédiat de l’ensemble des politiciens libanais.

    Elle ne peut résulter que d’un accord des différentes composantes politico-religieuses pour un projet de réforme confédérale du pays, une cantonalisation qui pourrait s’inspirer du modèle suisse. C’est ce que pourrait subtilement inspirer un chef de l’État français réaliste et adroit.

    Mais on le voit bien, ce n’est pas pour l’heure ce que l’on peut attendre du très orgueilleux et très jacobin Emmanuel Macron de surcroît bien peu connaisseur des paramètres religieux et culturels, modelant l’histoire du Liban.

    Macron, qui a proféré l’énormité que l’on sait sur la colonisation « crime contre l’humanité », s’exprime hélas comme un très mauvais colonialiste façon dirigeants radicaux de la III° République.

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron veut relancer le bonus des banquiers qui prennent des risques

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2020

    PAR  LE 

    Le bonus des banquiers est actuellement encadré par des dispositions contraignantes de l’Union Européenne pour éviter les dérives connues en 2008 : prise de risque inconsidérée qui rapportent des sommes colossales en cas de succès, et qui sont financées par le contribuable en cas d’échec. La France demande à ses partenaires d’assouplir cette réglementation…
     
    Tout un symbole. Le bonus des banquiers revient sur la table des revendications françaises dans l’Union. C’est ce qui ressort d’un document que Reuters a consulté. En l’espèce, il s’agit d’un courrier commun de Bruno Le Maire et de son homologue allemand à leurs partenaires européens pour les exhorter à assouplir les règles bancaires. Parmi ces règles figurent celles qui encadrent les bonus des banquiers… Bonus des banquiers et Union bancaire
     
    Nous évoquions la semaine dernière le passage précipité de Bruno Le Maire à Berlin, en marge de l’Eurogroupe. Nous rappelions que l’empressement français à déterrer le dossier de l’Union bancaire était une façon éloquente de manifester l’angoisse des pouvoirs publics vis-à-vis des désordres bancaires que même les dirigeants de la BCE annoncent depuis plusieurs mois. On en sait plus, désormais, sur les discussions que les deux ministres ont eues en coulisse. Elles ont essentiellement porté sur l’assouplissement des règles prudentielles applicables aux banques, héritées de la crise de 2008.
     

     

    Emmanuel Macron: « Quand on vit ce que l’on vit, on ne peut pas demander aux gens de l’avoir prévu il y a dix ans »

  • "Des décisions difficiles" disent-ils...

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2020

    "Des décisions difficiles" disent-ils...

    La crise économique et sociale qui vient s'annonce majeure. Ses conséquences en termes de chômage, d'effondrement du pouvoir d'achat, de désintégration des services publiques et de dislocation nationale seront cruelles.

    La gestion aberrante de la vague épidémique de l'hiver dernier qui fut celle de l'exécutif en est à la fois la cause et l'effet, l'arbre sanitaire servant à cacher la forêt de l'échec du Système.

    Dans le même temps, la France toute entière est devenue un coupe-gorges où meurtres, agressions, viols, cambriolages, actes de barbarie et terrorisme islamique sont devenus le quotidien de nos compatriotes tandis que menace l'explosion générale de la poudrière des cités occupées par des populations venues d'ailleurs.

    Le mal concerne toute l'Europe. La France est en première ligne qui est le maillon premier de la décomposition identitaire et morale du continent qui inventa jadis la civilisation.

    Dès lors, le pouvoir, craignant pour sa survie sait que, face à ces menaces mais aussi face à la colère croissante des Français certes encore rentrée mais frémissante, il n'a d'autre choix que celui de la fuite en avant dans le totalitarisme de la radicalité régimiste redessinée à la mode sanitaire par l'encadrement sévère de la vie de chacun et l'exigence d'un alignement populaire par contrôle absolu de tous les actes du quotidien.

    Les "décisions difficiles" dont il est désormais question pour enrayer la fantasmagorique montée en puissance d'un virus banal doivent se lire à cet éclairage.

    Macron et les siens n'hésiteront pas, même au prix d'une aggravation de la situation économique — les grandes sociétés financiarisées choyées par le Système seront peu touchées contrairement aux commerces et aux petites entreprises dont le sort importe peu à ceux qui se croient puissants— à faire couler sur les libertés publiques une chape de plomb qui n'empêchera certes pas l'ensauvagement allogène mais la dissimulera un peu pour un temps, et surtout donnera au gouvernement les moyens d'étouffer dans l'oeuf la colère des braves gens.

    Qu'ils prennent garde cependant. Les Français sont lents dans leurs réactions. Leur capacité d'inertie, de passivité, de panurgisme et d'acceptation de ce qu'on leur impose est grande. Jusqu'au jour où... Les exemples sont multiples dans notre histoire qui montrent que l'obéissance trouve un jour d'embrasement général ses limites temporelles.

    Caevant Consules... Que les consuls craignent alors la colère du peuple.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : une personne ou plus