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macron - Page 40

  • Liban : Emmanuel Macron s’égare et dérape

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2020

    Liban : Emmanuel Macron s’égare et dérape

    De Bernard Antony :

    Emmanuel Macron vient de proférer des propos sur la situation du Liban manifestant le très grave double déni de réalité qu’il commet à propos de ce pays indépendant de la France depuis 1920.

    D’abord, le voilà d’évidence saisi par une vaniteuse confusion dans le rôle qu’il peut y jouer en tant que chef de l’État français.

    Il commet un premier déni de réalité sur sa personne, sa fonction, son rôle car il n’est pas mandaté pour parler en patron du Liban et pouvoir en admonester toute la classe politique comme il le fit chez nous à l’égard du général de Villiers. Manifestement, il ne comprend pas que le Liban n’étant pas sa chose, il est tenu à une certaine réserve dans l’expression de ses jugements de maître d’école comminatoire.

    Son deuxième lourd déni de réalité porte sur le Liban dont il parle comme d’une entité unie, ce qui n’est pas plus vrai aujourd’hui que pendant la guerre de 1975 à 1990 opposant les patriotes libanais aux différentes milices et groupes terroristes islamistes et palestiniens et à l’armée d’occupation syrienne.

    Or, sous la présidence du général Aoun, le Liban est de plus en plus passé sous le contrôle du Hezbollah, parti totalitaire chiite sous direction iranienne et puissante organisation militaire alliée du régime syrien. Disposant de ministères essentiels dans les gouvernements successifs, le Hezbollah, qui contrôle globalement le sud et l’est du pays, constitue le principal obstacle à une durable entente interlibanaise.

    Le seul avenir possible pour un Liban en paix ne passe pas par le maintien de la fiction gouvernementale unitaire actuelle nonobstant l’insurmontable division communautariste.

    Elle ne passe pas essentiellement par un illusoire changement comportemental immédiat de l’ensemble des politiciens libanais.

    Elle ne peut résulter que d’un accord des différentes composantes politico-religieuses pour un projet de réforme confédérale du pays, une cantonalisation qui pourrait s’inspirer du modèle suisse. C’est ce que pourrait subtilement inspirer un chef de l’État français réaliste et adroit.

    Mais on le voit bien, ce n’est pas pour l’heure ce que l’on peut attendre du très orgueilleux et très jacobin Emmanuel Macron de surcroît bien peu connaisseur des paramètres religieux et culturels, modelant l’histoire du Liban.

    Macron, qui a proféré l’énormité que l’on sait sur la colonisation « crime contre l’humanité », s’exprime hélas comme un très mauvais colonialiste façon dirigeants radicaux de la III° République.

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron veut relancer le bonus des banquiers qui prennent des risques

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2020

    PAR  LE 

    Le bonus des banquiers est actuellement encadré par des dispositions contraignantes de l’Union Européenne pour éviter les dérives connues en 2008 : prise de risque inconsidérée qui rapportent des sommes colossales en cas de succès, et qui sont financées par le contribuable en cas d’échec. La France demande à ses partenaires d’assouplir cette réglementation…
     
    Tout un symbole. Le bonus des banquiers revient sur la table des revendications françaises dans l’Union. C’est ce qui ressort d’un document que Reuters a consulté. En l’espèce, il s’agit d’un courrier commun de Bruno Le Maire et de son homologue allemand à leurs partenaires européens pour les exhorter à assouplir les règles bancaires. Parmi ces règles figurent celles qui encadrent les bonus des banquiers… Bonus des banquiers et Union bancaire
     
    Nous évoquions la semaine dernière le passage précipité de Bruno Le Maire à Berlin, en marge de l’Eurogroupe. Nous rappelions que l’empressement français à déterrer le dossier de l’Union bancaire était une façon éloquente de manifester l’angoisse des pouvoirs publics vis-à-vis des désordres bancaires que même les dirigeants de la BCE annoncent depuis plusieurs mois. On en sait plus, désormais, sur les discussions que les deux ministres ont eues en coulisse. Elles ont essentiellement porté sur l’assouplissement des règles prudentielles applicables aux banques, héritées de la crise de 2008.
     

     

    Emmanuel Macron: « Quand on vit ce que l’on vit, on ne peut pas demander aux gens de l’avoir prévu il y a dix ans »

  • "Des décisions difficiles" disent-ils...

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2020

    "Des décisions difficiles" disent-ils...

    La crise économique et sociale qui vient s'annonce majeure. Ses conséquences en termes de chômage, d'effondrement du pouvoir d'achat, de désintégration des services publiques et de dislocation nationale seront cruelles.

    La gestion aberrante de la vague épidémique de l'hiver dernier qui fut celle de l'exécutif en est à la fois la cause et l'effet, l'arbre sanitaire servant à cacher la forêt de l'échec du Système.

    Dans le même temps, la France toute entière est devenue un coupe-gorges où meurtres, agressions, viols, cambriolages, actes de barbarie et terrorisme islamique sont devenus le quotidien de nos compatriotes tandis que menace l'explosion générale de la poudrière des cités occupées par des populations venues d'ailleurs.

    Le mal concerne toute l'Europe. La France est en première ligne qui est le maillon premier de la décomposition identitaire et morale du continent qui inventa jadis la civilisation.

    Dès lors, le pouvoir, craignant pour sa survie sait que, face à ces menaces mais aussi face à la colère croissante des Français certes encore rentrée mais frémissante, il n'a d'autre choix que celui de la fuite en avant dans le totalitarisme de la radicalité régimiste redessinée à la mode sanitaire par l'encadrement sévère de la vie de chacun et l'exigence d'un alignement populaire par contrôle absolu de tous les actes du quotidien.

    Les "décisions difficiles" dont il est désormais question pour enrayer la fantasmagorique montée en puissance d'un virus banal doivent se lire à cet éclairage.

    Macron et les siens n'hésiteront pas, même au prix d'une aggravation de la situation économique — les grandes sociétés financiarisées choyées par le Système seront peu touchées contrairement aux commerces et aux petites entreprises dont le sort importe peu à ceux qui se croient puissants— à faire couler sur les libertés publiques une chape de plomb qui n'empêchera certes pas l'ensauvagement allogène mais la dissimulera un peu pour un temps, et surtout donnera au gouvernement les moyens d'étouffer dans l'oeuf la colère des braves gens.

    Qu'ils prennent garde cependant. Les Français sont lents dans leurs réactions. Leur capacité d'inertie, de passivité, de panurgisme et d'acceptation de ce qu'on leur impose est grande. Jusqu'au jour où... Les exemples sont multiples dans notre histoire qui montrent que l'obéissance trouve un jour d'embrasement général ses limites temporelles.

    Caevant Consules... Que les consuls craignent alors la colère du peuple.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : une personne ou plus
  • Macron a failli s’étouffer en avalant des particules de son masque

    Publié par Guy Jovelin le 09 septembre 2020

    S’il fallait encore une preuve du danger du port du masque obligatoire, elle vient d’être fournie par le président Emmanuel Macron en personne.

    Emmanuel Macron a failli s’étouffer lors d’une visite dans un lycée professionnel à Clermont-Ferrand. Portant le masque, il s’adressait à des élèves, lorsqu’il a été pris d’une quinte de toux.

    Selon lui, il aurait avalé “un truc du masque.

    “(…) Je vais essayer d’aller au bout. Deuxième chose, on l’a vu ce matin à travers le campus … on tient les distances mais… donnez-moi un masque plus léger… je vais mettre un masque plus léger parce que j’ai dû absorber un truc du masque… on va y arriver, merci pour votre patience!”, dit le chef de l’État français entre des toussotements répétés.

    Cette scène éloquente devrait faire réfléchir ceux qui pensent que l’on peut passer chaque journée de travail, chaque sortie en rue, avec un tel masque sur la bouche et le nez.

    Bien des professionnels de la santé ont déjà répété qu’un tel usage du masque transforme celui-ci en nid de bactéries.

     

    Source : medias-presse.info

  • VERS UN SUPER-ÉTAT EUROPÉEN

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2020

    POSTÉ LE SEPTEMBRE 01, 2020, 10:58

    Après 4 jours d’âpres discussions, les dirigeants des 27 pays de l’UE sont parvenus le 21 juillet 2020 à un accord sur un plan de relance de 750 milliards d’Euros pour atténuer les conséquences de la COVID -19.
    Ce plan se décompose en 390 milliards de subventions (dont 40 pour la France), et 360 de prêts (qui devront être remboursés).
    Il faut rappeler que l’accord initial franco-allemand du 18 mai portait sur 500 milliards de subventions.
    L’obstination des « pays frugaux », emmenés par le Premier ministre des Pays Bas, l’a emporté sur les désirs du couple Macron-Merkel.
    Le résultat du marathon de Bruxelles est donc très éloigné des cris de satisfaction poussés par la Macronie.
    Les 40 milliards accordés à la France sont une goutte d’eau dans l’océan des aides diverses accordées par le gouvernement français pour atténuer les conséquences désastreuses du confinement sur l’économie du pays.
    En ajoutant l’indemnisation du chômage partiel, les aides aux entreprises en difficulté, les prêts garantis par l’État, les nombreuses augmentations de salaires (aux personnels de santé, aux forces de l’ordre, aux enseignants, etc.), on dépasse largement les 500 milliards d’Euros.
    Si l’on ajoute le fait que les « pays frugaux » ont monnayé leur soutien en échange de rabais substantiels sur leurs contributions au financement de l’UE, on voit que le résultat pour la France est dérisoire.
    En revanche, le diable se niche toujours dans les détails, et Macron peut être fier d’avoir marqué un point essentiel dans sa démarche inchangée visant à faire de l’UE un super-État.
    En effet, il a obtenu que les défaillances éventuelles des États-membres dans leurs obligations découlant du plan de relance seraient couvertes par des impôts créés à l’initiative de l’Union européenne.
    Or la notion même d’État est indissociable de la notion de fiscalité. Il n’y a d’État qu’à partir du moment où une autorité est maîtresse de la fiscalité s’appliquant au territoire sur lequel elle a juridiction.
    Par ce petit artifice autorisant l’UE à créer et à lever des impôts, Macron fait de l’UE un État – ce qu’elle n’est pas jusqu’à maintenant.
    Ainsi Macron a remarquablement marqué un point dans la partie qu’il joue depuis son accession au pouvoir : réduire les États-nations au rang de vassaux d’un super-État : l’Europe.
    Mais se rappelle-t-il qu’il est – pour le moment – le Président des Français ?

     

    Source : les4verites