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migrants - Page 3

  • La Pologne va soumettre l’accord européen sur les migrants à référendum : “Les Polonais doivent s’exprimer sur cette question.”

    Publié par Guy de Laferrière le 16 juin 2023

    Un accord de l’Union européenne sur la répartition de la responsabilité de la prise en charge des migrants et des réfugiés devrait faire l’objet d’un référendum en Pologne, a déclaré jeudi le chef du parti au pouvoir en soulignant l’opposition de Varsovie à l’accord.

    Dans le cadre de l’accord, chaque pays serait responsable d’un nombre défini de personnes, mais n’aurait pas nécessairement à les accueillir.

    Les pays qui ne souhaitent pas accueillir les migrants irréguliers et les réfugiés arrivant ad hoc dans l’UE aideraient leurs homologues hôtes en espèces – environ 20 000 euros par personne – en équipement ou en personnel.

     

    La Pologne s’oppose à l’accord, affirmant qu’elle a déjà accueilli plus d’un million de personnes fuyant la guerre en Ukraine et qu’elle ne paiera pas si elle refuse d’accueillir des réfugiés d’Afrique et du Moyen-Orient.

    “Cette question doit faire l’objet d’un référendum et nous organiserons ce référendum”, a déclaré Jaroslaw Kaczynski à la chambre basse du parlement polonais, le Sejm. “Les Polonais doivent s’exprimer sur cette question.”

    Reuters via fdesouche

  • Faux chrétien ou faux homosexuel : ces migrants prêts à tout pour l’asile

    Publié par Guy de Laferrière le 14 juin 2023

    14 Juin 2023, 06:49am | Publié par Thomas Joly

    Depuis le 8 juin dernier et l’attaque au couteau à Annecy, une controverse agite l’espace médiatique. L’assaillant est-il un « vrai » chrétien, comme il l’affirme ? D’un côté, les éléments factuels recueillis semblent bel et bien indiquer que le suspect évoluait au sein de la communauté chrétienne. Au-delà du cri « In the name of Jesus Christ », on voit l’agresseur arborer une croix sur plusieurs vidéos. Interrogée par BFM TV, son ex-femme confirme elle aussi l’appartenance religieuse du suspect. De l’autre côté, plusieurs personnalités, dont Éric Zemmour, émettent des doutes quant à l’identité chrétienne autoproclamée par l’assaillant. L’avocat Thibault de Montbrial, sur le plateau de CNews, explique par ailleurs que « dans certaines filières d’immigration, les associations et les avocats conseillent à leurs clients des histoires qui "passent". C’est-à-dire des récits clés en main qui sont livrés avec deux grands arguments mis en avant : soit l’homosexualité, soit être chrétien d’Orient. » Si, pour l’heure, aucun élément ne permet d’accréditer la thèse du « faux chrétien » en ce qui concerne l’homme au couteau d’Annecy, cette controverse lève un voile sur un véritable contournement du droit d’asile : les faux récits de vie.

    Être chrétien, un sésame pour l’asile

    Ce 31 mai, devant le tribunal administratif de Paris, Monsieur B., originaire du Sénégal, après avoir été débouté par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), espère encore obtenir l’asile en France. Dans son dossier, le requérant raconte « avoir rejeté les principes de l’islam » dans son enfance et s’être alors « tourné vers la religion chrétienne ». Mais en 2017, son père devenu chef du village aurait chassé l’ensemble de la communauté chrétienne, explique-t-il. Il aurait finalement décidé de quitter son pays, « craignant pour sa sécurité ». Ce récit, bien qu’émouvant, ne semble pas convaincre les magistrats habitués à ce genre de parcours stéréotypé. « Ses déclarations sont dénuées de tout élément circonstancié et son récit sur sa pratique du christianisme manque de crédibilité, le requérant ne parvenant à décrire ni les circonstances dans lesquelles il se serait rapproché de la religion chrétienne ni les cérémonies auxquelles il aurait pris part », commente le tribunal. Et d’ajouter : « Son propos démontre une méconnaissance de la religion chrétienne à laquelle il prétend adhérer. »

    Des récits comme celui-là, la jurisprudence récente en regorge. Depuis l’annonce des gouvernements européens d’accueillir les chrétiens persécutés au Moyen-Orient au milieu des années 2010, nombre de demandeurs d’asile s’inventent un passé de chrétien discriminé. Ainsi, le 6 juin dernier, à Nancy, un Guinéen sous le coup d’une OQTF assurait avoir fui son pays d’origine « en raison d’un conflit l’opposant à son père au sujet de son amie de confession chrétienne ». Mais après examen du dossier, il s’avère qu’il n’existe « aucun élément probant au soutien de ces allégations ».

    Homosexuel ou opposant politique

    Et quand ce ne sont pas les persécutions chrétiennes qui sont revendiquées, certains demandeurs d’asile n’hésitent pas à se dire homosexuels – catégorie reconnue depuis 2013 par la Convention de Genève - pour obtenir l’asile. Ce 30 mai, devant la cour administrative d’appel de Paris, un Jamaïcain, expulsé d’Allemagne après y avoir commis une vingtaine d’infractions, requiert l’asile en France. Pour justifier sa demande, il fait état « de son orientation sexuelle, de ses difficultés pour trouver un emploi ». Mais son récit ne parvient pas à duper les magistrats, qui notent que le requérant « n’a fourni aucun développement sur son environnement familial, sur sa prise de conscience de l’homosexualité […] et aucune information personnalisée et circonstanciée sur son parcours ». Quelques jours plus tôt, à Versailles, un migrant algérien plaide à la fois l’identité chrétienne et son homosexualité pour rester en France. Mais une nouvelle fois, il « ne met pas le tribunal à même de vérifier ces allégations ».

    Derrière ces récits stéréotypés se cachent des « vendeurs d’histoire » - membres de la même communauté d’origine ou d'associations - qui, contre quelques dizaines, voire centaines, d’euros, proposent aux migrants un parcours clés en main censé faciliter l’obtention du statut de réfugié. Les récits proposés par les Bangladais – l’une des premières communautés demandeurs d’asile en France – en sont la preuve. Tous (ou presque) racontent la même histoire, comme ce Monsieur A., visé par OQTF, passé devant le tribunal administratif de Paris en mars dernier. Membre du Bangladesh National Party, parti d’opposition, il explique s’être retrouvé en conflit pour des terres agricoles avec un homme proche de la ligue Awami, force politique principale. Menacé, selon ses dires, il cherche donc l’asile en France. Un récit étrangement similaire à celui de Monsieur B., ayant comparu devant le tribunal administratif de Montreuil en juillet 2022. Dans les deux cas, ces histoires n’étant assorties « d’aucun commencement de preuve », la requête est rejetée.

    Ces récits, fabriqués de toutes pièces, sont la preuve du grand dévoiement du droit d’asile qui permettait autrefois d’accueillir Alexandre Soljenitsyne, mais qui est aujourd’hui devenu une véritable filière d’immigration. Car si ces fausses histoires sont régulièrement démasquées, certaines permettent malgré tout l’obtention du statut de réfugié.

    Clémence de Longraye

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Victoire à Réalmont (Tarn) : il n’y aura pas de migrants, le préfet du Tarn a dû reculer !

    Publié par Guy de Laferrière le 07 juin 2023

    synthesenationale

    Communiqué de la Coordination Partout Callac :

    Le préfet du Tarn vient de tenter une opération qui s’est mal terminée.

    Il a fait demander aux habitants de Réalmont et ses environs d’indiquer les logements vacants et a tout simplement proposé de les rénover et de signer un contrat d’hébergement pluriannuel après la réalisation des travaux.

    Ce que les habitants ne savaient pas c’est qu’il s’agissait pour le préfet d’aboutir au logement d’une cinquantaine de migrants, dénommés « réfugiés » alors que tout le monde sait que, dans leur immense majorité, ils ne sont nullement réfugiés.

    Ce sont les avocats de ONG qui ont trouvé ce moyen pour faire entrer aisément les migrants en France. Ce sont ces personnes qui sont placées dans des CADA pendant le temps de l’instruction de leur dossier. Mais s’ils sont déboutés, ils restent quand même en France et ne quittent pas notre pays.

    Lorsque les habitants ont découvert le pot aux roses, une mobilisation a été immédiatement organisée. Le préfet qui a tenté de tromper les habitants a interdit toute possibilité de manifester concernant ce sujet.

    La population et les élus se sont fortement agacés de tout cela – la tentative de tromperie puis l’interdiction d’exprimer le refus du projet préfectoral – et devant l’ampleur de la mobilisation populaire et des élus, le préfet a été obligé de remballer son projet.

    Cette tentative du préfet, on en retrouve de similaires dans une multitude de communes. Avec les mêmes travers : pas de consultation des élus, pas d’information ni de consultation de la population concernée, montage du projet en toute discrétion en s’appuyant sur des associations gavées de subventions (nos impôts) pour qui l’immigration est un business. Mais qui rapporte gros.

    Ce qui vient de se passer à Réalmont démontre que partout les populations doivent être vigilantes. Dès que des projets semblables à celui de Réalmont sont repérés, la mobilisation doit s’organiser. Mais la victoire à Réalmont démontre aussi que, comme à Callac, lorsqu’on se bat on peut gagner.

    La Coordination Partout Callac invite tous les citoyens à se mobiliser pour mettre en échec la « transition démographique » qui est en réalité l’invasion de nos campagnes, voulue par Macron.

    La Coordination Partout Callac est disponible pour aider tous les citoyens confrontés à un problème de ce genre, afin de les aider à combattre et leur faire profiter de notre expérience.

    Bernard Germain, porte-parole de la Coordination Partout Callac

    Site de la Coordination cliquez ici

  • Livreurs à vélo à Bordeaux : régularisations, possibilité d’une grève… le cri de révolte de migrants clandestins qui dénoncent une exploitation du système de leur situation

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mai 2023

    À travers l’Association de mobilisation d’Aide aux livreurs, des travailleurs sans-papiers dénoncent la perversion d’un système qui exploite leur situation irrégulière. Ils demandent à rencontrer élus et responsables locaux

    « Le moment est venu de parler. » C’est une prise de parole inattendue. Début avril, quand la presse quotidienne régionale avait enquêté sur les livreurs à vélo, les plus précaires d’entre eux n’avaient pas souhaité s’exprimer à visage découvert. Sans-papiers habitant en squat, ils redoutaient de s’exposer.

    […]

     

    Sud-Ouest via fdesouche