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migrants - Page 7

  • Au Pays basque, la police débordée face à l’afflux de migrants : “Beaucoup d’aides locales les aident à passer”

    Publié par Guy de Laferrière le 14 février 2023

    Au Pays basque, la police connaît de grandes difficultés en ce moment pour contrôler le flux de migrants entre l’Espagne et la France, pour la plupart fuyant des pays en guerre, en Afrique.

    La police aux frontières basque dénonce des manques d’effectifs pour les contrôles des frontières, notamment en raison de l’actualité sociale, et ce, même si le nombre de candidats au passage n’est pas plus important que les trois années précédentes.

    «BEAUCOUP D’AIDES LOCALES LES AIDENT À PASSER»

    D’après plusieurs sources locales, les migrants qui tentent le passage en France sont originaires à 80 % d’Afrique subsaharienne et du Maghreb. Leurs points de passage sont nombreux, comme ici, dans la région d’Hendaye, dans les Pyrénées-Atlantiques, au bord du fleuve frontalier ou encore dans ses collines.

    «Il y a beaucoup d’aides locales qui les aident à passer donc forcément ils connaissent aussi bien que nous le terrain et la topographie», témoigne Sébastien Boussinot, le délégué UNSA de la police de l’air et des frontières, qui estime que «c’est de plus en plus compliqué d’arrêter des migrants».

    CNews via fdesouche

  • Une analyse démontre qu’en l’absence de bateaux d’ONG en Méditerranée, il n’y a pas plus de morts de migrants et que parfois il y en a même moins.

    Publié par Guy de Laferrière le 13 février 2023

    Les navires humanitaires sauvent des milliers de vies en Méditerranée, mais en leur absence, il n’y a pas forcément plus de morts. Enquête sur un paradoxe.

    (…)

    Les ONG martèlent pourtant dans leurs campagnes de lever de fonds qu’il faut donner « pour que la Méditerranée cesse d’être un cimetière », comme si l’essentiel du fardeau reposait sur leurs seules épaules. Certes, à première vue, le bilan de leurs actions semble se passer de commentaires. L’Ocean Viking a secouru 2 832 personnes en 2021, annonce SOS Méditerranée. Le total pour toutes les ONG actives dans le canal de Sicile en 2021 dépasse les 10 000 migrants sauvés.

    Effet pandémie

    Mais seraient-ils tous morts noyés, si les humanitaires n’avaient pas été là ? Paradoxalement, le nombre de péris en mer n’augmente pas systématiquement quand ils se retirent du théâtre des opérations. L’examen des données très détaillées compilées par l’Office des migrations internationales (OMI) dans sa base Missing Migrants laisse songeur. À des périodes et à des endroits précis, où les navires humanitaires avaient cessé d’opérer, le nombre de morts, loin de s’envoler, baisse parfois.

    En mai 2020, par exemple. Pandémie de Covid oblige, aucun navire humanitaire ne croisait au large de la Libye. L’OMI recense 11 morts dans la zone, contre 65 en mai 2019 et 157 en mai 2021. Idem en octobre 2018. Malgré une très faible activité des ONG, le mois a été relativement calme, avec 7 morts seulement en Méditerranée centrale, contre 166 en octobre 2017. « La plupart des navires d’ONG de recherche et de sauvetage restent empêchés d’accomplir leurs missions en Méditerranée centrale », écrit SOS Méditerranée le 14 juillet 2021. Bilan du mois, 263 péris en mer. C’est deux fois plus qu’en juillet 2022, mais deux fois moins qu’en juillet 2018, alors que SOS Méditerranée, Sea Watch et MSF étaient en action.

     

    (…) « Les humanitaires que j’ai côtoyés à bord de l’Aquarius (le prédécesseur de l’Ocean Viking, NDLR) se posaient peut-être des questions, mais ils n’en parlaient pas entre eux », raconte une documentariste. C’est ce que deux chercheurs appellent « l’ignorance volontaire », dans un article publié en 2022 dans Migration Studies, intitulé « Sanctuaires flottants, l’éthique des opérations de recherche et secours en mer ». 25 humanitaires opérant en Méditerranée ont accepté de leur parler, sous le couvert de l’anonymat. Soupçon de trafic de femmes destinées à la prostitution, discussion prolongée avec des passeurs, trafiquants dissimulés parmi les migrants… Parfois, il vaut mieux ne pas creuser. « Il y a un bateau en détresse », raconte l’un d’entre eux, « je ne veux pas en savoir plus, c’est un choix conscient […], pour me protéger moi et pour protéger les gens sur le bateau ». « Nous devons vivre avec ça, raconte un autre. Nous sommes une partie de la chaîne. Les trafiquants, les passeurs, les contrebandiers, appelez-les comme vous voulez… Ils connaissent notre existence et ils ne sont pas stupides. C’est un système pervers. » Même au cœur du système, certains doutent.

    Le Point via fdesouche

  • « Faites-les sortir » : échauffourée à Knowsley, près de Liverpool, en marge d’une manifestation devant un hôtel qui héberge temporairement des migrants qui demandent l’asile

    Publié par Guy de Laferrière le 11 février 20233

    fdesouche

    Trois personnes soupçonnées de troubles violents ont été arrêtées à la suite d’affrontements devant un hôtel offrant un refuge à des demandeurs d’asile dans le Merseyside.

    Des foules se sont rassemblées près de l’hôtel Suites à Knowsley, où un fourgon de police a été incendié.

    […]

     

    Clare Mosley, fondatrice de l’organisation caritative pour les réfugiés Care4Calais, a déclaré à la BBC qu’elle avait participé à une contre-manifestation de solidarité avec les migrants.

    Elle s’est dite « profondément choquée et secouée » de voir « des centaines » de manifestants, qu’elle a décrits comme « d’extrême droite », en colère contre les migrants dans l’hôtel.

    BBC

  • Toulon : 3 policiers en civil reconnus dans la rue, insultés et roués de coups par une dizaine d’individus munis de ceintures (MàJ : 2 migrants mis en examen, l’un a été laissé libre)

    Publié par Guy de Laferrière le 08 février 2023

    fdesouche

    08/02/23

    Deux hommes ont été mis en examen lundi soir, et l’un d’eux a été placé en détention provisoire, pour la violente agression de trois policiers qui n’étaient pas en service samedi à Toulon, a appris BFM Toulon Var auprès du procureur de Toulon.

    Le premier, un Guinéen de 31 ans, a été mis en examen pour violences aggravées et laissé libre sous contrôle judiciaire. Le second, demandeur d’asile âgé 28 ans, a également été mis en examen pour les violences aggravées ainsi que le vol en réunion du téléphone d’un des policiers. Il a été placé en détention provisoire à la prison de La Farlède. Ils encourent une peine de 10 ans d’emprisonnement.

    (…) Les agents de police avaient d’abord été insultés puis roués de coups par une dizaine d’individus. “Ces trois à quatre individus, d’après les images de vidéosurveillance, les ont tout de suite interpellés sur leurs qualités de fonctionnaires de police” avant de “commettre des violences particulièrement graves à leur encontre”, avait souligné lundi le procureur.

    (…) BFMTV


    04/02/23

    Trois policiers hors service ont été victimes d’une violente agression dans la nuit de vendredi à samedi à Toulon (Var) a-t-on appris. Ils sont blessés, dont deux sérieusement. Une dizaine de suspects sont en fuite et une enquête a été ouverte.

    Cette agression s’est déroulée au centre-ville, sur la place-d’Armes, vers 01h40, dans des circonstances qui restent à déterminer. Un groupe d’une dizaine de personnes ont violemment frappé les trois fonctionnaires. Ces derniers ont été pris en charge par les secours. L’un, souffrant d’une fracture ouverte au niveau d’un coude, a été opéré à son arrivée à l’hôpital. Un second avait le visage tuméfié et souffrirait d’une fracture du plancher orbital, tandis que le troisième présentait une plaie ouverte au niveau de la tête. L’un des agents se serait fait voler son téléphone durant cette agression indique une source policière.

    Actu 17

  • « Protégez nos enfants des migrants ! » Une lettre ouverte au Préfet de Loire Atlantique au sujet de Saint-Brévin-les-Pins

    Publié par Guy de Laferrière le 10 janvier 2023

    Ci-dessous une lettre ouverte adresse au Préfet de Loire Atlantique et rédigée par le Collectif Préservation de l’École de la Pierre Attelée au sujet de la réalisation du Centre d’Accueil pour Demandeurs d’Asile (CADA) de SaintBrevin-lesPins.

    Monsieur Le Préfet,


    Devant la réalisation d’un CADA à proximité de l’école de la Pierre Attelée, nous ressentons un 
    vif sentiment d’indignation suscité par la menace qui pèse sur nos enfants. Nous avons encore en mémoire l’enlèvement et le meurtre du petit Jonathan COULOM dans le quartier du Menhir.

    Jusqu’ici, dans un but de sécurité, le principe élémentaire de séparation des enfants et des 
    adultes prévalait. Alors, pourquoi héberger 110 migrants avec vue plongeante sur une école maternelle 
    En effet, l’actualité se charge malheureusement de confirmer que l’emplacement désigné pour accueillir ces étrangers est vraiment très mal choisi !

    Nous avons appris
     que « la moitié des centaines de migrants clandestins qui survivent dans des camps de fortune autour de Paris souffrent de troubles psychiatriques ». (1) Encouragés par l’épreuve de la migration et du déracinement, « les troubles psychiques graves s’élèvent à 16,6 % » sur ce groupe de personnes, estime Santé Publique France
    Les psychologues décrivent la migration comme un traumatisme et « une perte du cadre culturel à partir duquel était décodée la réalité ». C’est d’ailleurs ce qu’affirment les magistrats qui défendent les migrants : ils ne possèdent pas nos codes.

    De fait,
     des migrants se rendent coupables d’actions parfois très graves relevant d’esprits perturbés. Certains d’entre eux semblent même animés d’une furie assassine dont les enfants font les frais, y compris dans le voisinage de nos écoles. 
    Le mois dernier, dans une petite ville d’Allemagne, un migrant a été arrêté pour le meurtre au couteau d’une collégienne de 14 ans qui se rendait dans son établissement scolaire situé à proximité du centre du foyer de demandeurs d’asile. Une autre adolescente qui l’accompagnait a aussi été poignardée mais n’est pas morte. L’homme est un Érythréen de 27 ans. Deux autres hommes du foyer de migrants ont aussi été arrêtés.

    Monsieur le Préfet, estce que les circonstances de ce drame ne vous rappellent pas quelque chose ? On y trouve :

     Une petite ville
     Un établissement scolaire

     À proximité, un centre pour demandeurs d’asile

    S’agitil d’un cas isolé Il semble que non, au vu d’autres faits divers atroces.

    Ainsi, en juillet dernier, en Suède, une enfant de 9 ans nommée Luna a été violée, étranglée et laissée pour morte par un migrant éthiopien. Elle se rendait sur une aire de jeu située à proximité de son école. Elle a été retrouvée attachée à un arbre par le cou, avec ses propres lacets, nue. Elle est aujourd’hui en fauteuil roulant, handicapée à vie. Or cet homme était déjà connu de l’établissement scolaire et de la police pour ses agressions sexuelles répétées !

    Et combien d’autres faits d’attouchements au cours des dernières années !

    Ajoutons que les personnes vulnérables, dans leur ensemble, semblent les victimes désignées de ces personnes qui ne possèdent pas nos codes.
     Tout récemment, le 31 décembre, nous apprenons qu’à Reims, une joggeuse a reçu un coup de couteau à la gorge, de la part d’un afghan « qui semblait souffrir de troubles mentaux » 

     Le mois dernier, à Nanterre, deux patientes de 70 et 78 ans ont été violées à l’hôpital par un migrant congolais de 27 ans. Quelques jours plus tard, il récidivait sur une adolescente de 12 ans !

     Le 1er décembre comparaissait un migrant lybien pour avoir violé la femme qui l’hébergeait.

     Le 12 novembre dernier, à MaugessurLoire, une jeune femme handicapée a été violée, dans un parc, par un migrant hébergé dans un centre.

     Toujours en novembre, à Paris, Isabelle, 34 ans, patiente de l’hôpital Cochin, a été violée par un Jordanien sous le coup de deux OQTF.

     Le 24 septembre, une femme de 40 ans a été frappée et violée à Nantes par trois Soudanais.

     En juillet, à Montpellier, une femme de 47 ans, attablée en terrasse de café, a été poignardée par un migrant érythréen.

    Des faits divers sans signification statistiqu
    e 
    Vous êtes bien placé, Monsieur le Préfet, pour savoir qu’en France la délinquance migratoire est systémique. Monsieur DARMANIN a rappelé récemment la proportion inquiétante de la délinquance étrangère. Cependant, elle semble particulièrement gratuite et désaxée chez les clandestins, même accueillis.

    La question est alors de savoir,
     Monsieur le Préfet, si vous allez livrer au hasard de mauvaises rencontres les enfants de nos écoles et les joggeuses de notre forêt ? Allezvous prétendre que vous êtes certain que des déments criminels, ne seraitce qu’un seul, ne seront pas en train de les épier pour les massacrer ? Ils auront toute la journée pour les observer, et toute la forêt pour agir. Par ailleurs, le quartier est isolé et mal éclairé.


    Au nom de notre Collectif
    , nous vous adressons, Monsieur le Préfet, nos sincères salutations.


    LE COLLECTIF

    collectifnonaucada@outlook.fr

    Crédit photo : DR
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