Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2023
maison squattée
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Maison squattée par des migrants tchétchènes à Toulouse : la justice ordonne leur expulsion, ils demandent la même “protection” que les Ukrainiens
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Ils achètent une maison et la découvrent squattée par des immigrés
Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2022
Un jeune couple venait tout juste d’acheter une maison pour 140 000 euros, à Ollainville en Essonne. Mais ils ont découvert que les lieux étaient squattés par une famille tunisienne de quatre enfants. Laurent raconte :
« On était super contents. Le soir, on avait prévu de ramener des potes à la maison pour faire un barbecue et fêter ça. On arrive à 10 ou 15, et là, je vois des rideaux aux fenêtres, et une voiture garée devant, avec un pitbull derrière le portail. »
C’est alors qu’un homme est sorti sur le pas de la porte assurant être le propriétaire de la maison.
« Je lui ai montré les papiers du notaire. Lui m’a sorti un vieux papier de sa poche, avec une promesse de vente indiquant qu’il avait payé la maison 120 000 euros… en liquide. »
Le couple a alors prévenu les gendarmes. « Mais ils ne pouvaient rien faire » : l’évacuation des squatteurs est impossible une fois qu’un délai de 48 heures est dépassé.
« Je voulais régler ça avec mes copains et les sortir moi-même. Mais les gendarmes m’ont dit : ‘Ne le faîtes pas car sinon, vous allez finir en prison.’ »
Lors de la visite, un matelas était posé au sol, mais cela n’avait pas alerté le couple.
Source : lesalonbeige
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Annecy : sa maison est squattée par des Roms, il décide de les expulser lui-même et finit en garde à vue
Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2022
Excédé, un habitant a tenté, vendredi dernier, de faire sortir de force une famille de Roms qui occupe la maison de ses parents décédés.
C’est le cauchemar des propriétaires. Inoccupée depuis cinq ans, une maison située avenue d’Aix-les-Bains à Seynod est squattée depuis mercredi 13 avril par des gens du voyage. C’est une famille de Roms, composée de 7 enfants et de 3 adultes, qui y a élu domicile. Prévenu par ses voisins, le propriétaire du logement connaît bien cette situation de squat.
C’est la troisième fois, en cinq ans, que la demeure, celle de ses parents décédés, est occupée illégalement par des gens du voyage. « Les deux fois précédentes, ça s’était bien passé. Les gendarmes sont venus et les squatteurs sont partis sans problème. Là, c’est plus compliqué », commente le propriétaire, qui souhaite rester anonyme. « On n’a pas voulu vendre cette maison tout de suite, car le deuil n’était pas fait », précise-t-il par la suite.
Cette fois, les occupants ne sont pas décidés à partir, malgré la présence des gendarmes, intervenus une première fois sur les lieux le mercredi 13 avril, avec le PSIG, le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie. « Ils ont commencé à vider les affaires. Après, il y a eu un appel, et un gendarme a dit : on n’expulse pas, il y a des enfants ».
Une maison devenue squat
(…) Considérant cette situation sans issue, le propriétaire décide de déloger cette famille de Roms par ses propres moyens. « Je suis censé engager une procédure pour les faire expulser. Mais vous connaissez la lenteur de la justice, ça va prendre des mois et la maison est déjà dans un sale état », relève-t-il.
Vendredi 15 avril, il se rend sur place, accompagné d’un ami. Muni d’une brouette remplie de parpaings puis de ciment, il veut condamner l’entrée en érigeant un mur afin d’obliger les occupants à sortir. Mais malgré la progression du mur, aucun d’eux n’a bougé. « Je pensais que ça les ferait sortir, mais visiblement ça ne les dérange pas », déplore le propriétaire.
Leur réclamant une nouvelle fois de sortir, ce dernier finit par perdre patience. Armé d’une bombe lacrymogène, il en fait usage dans la cuisine, où se trouvait la famille avec les enfants, en tirant vers le sol. Mais le geste déplaît fortement à l’un des Roms, probablement le père, qui hausse le ton. « Vous croyez que ça me fait plaisir d’en arriver là ? », lui rétorque l’habitant.
Intervenus sur les lieux, les gendarmes ont interrogé le propriétaire de la maison, placé en garde à vue, et la famille de Roms. Une enquête a été ouverte.
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Maison squattée à Toulouse : une journaliste de “La Dépêche du Midi” agressée par des militants d’extrême-gauche pro-squat, qui la traquaient
Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2021
Une journaliste de “La Dépêche du Midi” a été agressée ce vendredi en début d’après-midi à Toulouse par des activistes pro-squat qui la traquaient. Deux plaintes ont été déposées.
Les journalistes sont-ils devenus des cibles pour les extrémistes de l’ultra gauche ? Ce vendredi vers 14 heures, un incident particulièrement grave s’est produit à Toulouse avec l’agression préméditée d’une journaliste de la rédaction locale de “la Dépêche du Midi”, Claire Lagadic, qui travaille au service des faits divers.
Notre consœur était assise dans un bar-tabac du quartier du Béarnais lorsque trois jeunes femmes, qui portaient des masques, des bonnets et des manteaux de couleur claire, se sont glissées derrière elle pour lui écraser des œufs sur la tête, lui renverser une bouteille d’eau dessus et l’insulter à plusieurs reprises. Les auteurs de cette lâche agression se sont enfuis après une bousculade avec quelques clients. Deux complices les attendaient à la sortie de l’établissement. Les agresseurs ont été filmés par les caméras de surveillance du commerce et l’une d’entre elles a été identifiée comme une habituée des lieux.
La Dépêche via fdesouche
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Marseille : la justice donne raison à la famille algérienne qui squatte sa maison avec leurs moutons « attachés au radiateur »
Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2021
Quatre individus occupent un appartement du 15e arrondissement de la cité phocéenne, et ce, depuis le mois de juillet dernier. Le propriétaire des lieux n’a pas obtenu gain de cause auprès de la justice.
Il a beau avoir porté plainte, la justice n’a pas pris son parti. À Marseille, le propriétaire d’un appartement situé dans le 15e arrondissement de la ville, près du marché aux puces, se sent aujourd’hui complètement désemparé. Son logement, une résidence secondaire, est occupé depuis le mois de juillet dernier par une famille de quatre personnes qu’il ne parvient pas à faire expulser. Les squatteurs ont même changé les serrures et il ne peut donc plus pénétrer dans l’appartement. “Je ne peux ni entrer dans la cour, ni entrer dans mon domicile”, se désole l’homme auprès de France Bleu Provence, dans un article publié lundi 15 novembre.
L’homme de 66 ans avait découvert que son logement était squatté plus de 48 heures après l’installation des nouveaux arrivants. Or, passé ce délai, il est impossible pour les forces de l’ordre d’expulser les nouveaux “locataires”. Le propriétaire des lieux avait alors fait venir un huissier de justice et avait également déposé plainte pour violation de domicile. Il avait alors pu savoir qui vivait chez lui : une famille algérienne de quatre personnes. “Des moutons étaient dans le logement, ils étaient attachés au radiateur”, avait toutefois noté le sexagénaire, comme il le confie à la radio.
Impossible toutefois de les faire partir et impossible de retirer le compteur d’eau, alors que c’est lui qui se trouve contraint de payer les factures.