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migrants - Page 2

  • Mâcon : des migrants de Paris sont transférés en région en vue des Jeux Olympiques

    Publié par Guy de Laferrière le 18 janvier 2024

    Depuis plusieurs mois, des sans-abri d’Île-de-France, le plus souvent des migrants, sont transférés en région pour désengorger la capitale en vue des Jeux olympiques de Paris. À Mâcon, l’accueil des Charmilles a reçu une quarantaine de ces personnes depuis mai dernier.

    […]

    Le Journal de Saône-et-Loire via fdesouche

  • « Ce n’est pas à nos enfants de se barricader ! » : Insécurité, nuisances… à Briançon (05), les riverains ne supportent plus la cohabitation forcée avec les migrants. « On ne sert à rien », regrette un policier

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2023

    REPORTAGE – L’augmentation du nombre de migrants qui tentent de passer à la frontière avec l’Italie crée des tensions dans cette petite ville des Hautes-Alpes, entre habitants inquiets, associations hyperactives, squatteurs menaçants et policiers débordés.

    (…) Sous la direction du commandant divisionnaire fonctionnel Jérôme Boni, les 48 policiers de la PAF de Montgenèvre n’ont pas une tâche facile, c’est un euphémisme. Outre les conditions météo, ils doivent faire face à un afflux massif et inédit de migrants. Depuis le début de l’année, 4600 majeurs et 1200 mineurs ont été contrôlés, 48 passeurs arrêtés. Certains jours, à la fin de l’été, ils arrivaient par centaines. Impossible de les appréhender tous. Les policiers estiment en interpeller 80 %. Mais ajoutent : « 100 % arrivent à passer ! » Comment expliquer cette équation ?

    Les migrants bénéficient de soutiens de part et d’autre de la frontière. En faisant son footing un matin sur l’un des sentiers, l’un des policiers a ramassé un papier par terre sur lequel était inscrite l’adresse d’un refuge à Briançon. « Il a trouvé un véritable roadbook, se désole le maire de Briançon, Arnaud Murgia. On a face à nous des réseaux mafieux complexes. Ils vendent plus cher un séjour à Briançon avec une halte au refuge. C’est le Airbnb des passeurs ! »

    (…) Le 30 août, les migrants se sont retrouvés à la rue au moment où la PAF comptait une centaine d’arrivées quotidiennes. Les habitants croisaient des petits groupes de 20 à 30 individus errant dans la ville. Les tentes ont commencé à fleurir sur un terrain prêté par la paroisse pendant quelques jours. Les tensions grandissaient. Les riverains se sont plaints, notamment, des nuisances sonores.

    Selon des témoignages, des personnes âgées n’osaient plus sortir le soir et les femmes seules ne se sentaient plus en sécurité à la nuit tombée. D’autant que début août, des militants d’extrême gauche « No Borders » ont squatté une maison en plein centre- ville, en face du commissariat de police pour accueillir les « sans-abri ». Là aussi on refuse d’utiliser le terme de migrants ! Et on est très suspicieux envers ceux qui approchent du bâtiment, leur demandant avec insistance de montrer le contenu de l’appareil photo et du portable, pendant qu’une voiture immatriculée en Allemagne s’engouffre dans la propriété avec ses deux occupants…

    L’inquiétude des parents

    Le squat jouxte une école primaire et voisine avec deux autres établissements scolaires. De nombreux parents s’en sont inquiétés. Dans une petite ville comme Briançon (12.000 habitants), les rumeurs vont vite. À la Toussaint, certains se sont émus de la présence d’un fiché S parmi les squatteurs. D’autres ont eu peur de la possibilité qu’un des occupants possède un couteau. Des parents ont entendu leurs enfants évoquer la présence d’un homme sur le toit du préau. Une partie de la cour de l’école donne sur le terrain squatté. Des palissades ont été installées pour assurer une séparation.

    « Mais ce n’est pas à nos enfants de se barricader, se lamente un parent d’élève, qui assure avoir regardé une vidéo où l’on voit des bagarres à l’intérieur du squat. Je demande juste que mon fils puisse aller à l’école tranquillement. »

    (…)

    « On ne sert à rien, regrette, fataliste, un policier du coin. C’est comme vider la mer avec une petite cuillère. C’est une perte de sens totale pour les policiers. »

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Qui veut un bus de migrants ?

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2023

    Par Philippe Carhon le 5 décembre 2023

    Qui veut un bus de migrants ?

    On connaissait le guide rédigé par le gouvernement pour faciliter l’accueil des immigrés clandestins dans les communes rurales, voici désormais le plan de répartition et de transport des ces clandestins confié à la gendarmerie. Est-ce pour cette mission que 238 nouvelles brigades ont été créées ?

     

    Source : lesalonbeige

  • Le Rassemblement Vendéen contre l’installation de migrants à St Jean De Monts

    Publié par Guy de Laferrière le 27 octobre 2023

    Auteur : 
     

    Rassemblement Vendéen

    COMMUNIQUÉ DU RASSEMBLEMENT VENDÉEN
    Appel au rassemblement
    Samedi 04 Novembre 2023 à 10h
    Hôtel de ville – 85160 St Jean De Monts

    Depuis plusieurs années, le Groupe accueil migrants Vendée (GAM) invite et installe des migrants sur la commune de Saint Jean de Monts en Vendée, encore ce mois-ci cette association gauchiste pro-migrante va installer 22 migrants sur notre commune à nos frais.

    Miraculeusement, les autorités qui ont préféré financer les banlieues islamisées pour acheter la paix sociale, trouvent soudain des millions pour arroser nos campagnes et évidement des millions qu’ils n’ont jamais proposés aux travailleurs pauvres, agriculteurs, artisans et retraités de Saint Jean de Monts.

    L’union sociale pour l’Habitat, reconnait que 2 423 000 ménages sont en demande de logement social. Des salariés et des retraités dorment dans leur voiture, faute d’accès aux logements. Les logements sociaux de Saint Jean de Monts doivent être réservés en priorité à nos ménages vendéens, qui ont plus de légitimité que des clandestins pour être logés décemment.

    Les Nôtres avant les autres !

    Si l’on fait le bilan économique, depuis le regroupement familial, depuis les années 70, l’immigration a coûté 1000 milliards d’euros à la France! Cette immigration est un gouffre financier qui avale les impôts des Français contre leur gré. Les Français sont à bout de souffle, saignés de toutes parts, ils n’en peuvent plus! L’immigration sème la violence, les émeutes sanglantes, et le terrorisme djihadiste, l’écart culturel qui nous sépare des arrivants n’a aucun équivalent dans notre histoire.

    Tous viennent du Tiers-monde, de sociétés défaillantes où règnent l’incivisme, la violence et la corruption. La grande majorité est de religion musulmane et cela suscite une discorde religieuse et civique sur notre sol.
    64% veulent l’arrêt pur et simple de cette immigration, et 48% des électeurs de gauche trouvent qu’il y a trop d’immigrés en France.

    Lors de la réforme des retraites, l’ensemble de la gauche, à laquelle appartient la municipalité de Saint-Jean-de-Monts, réclamait un référendum. Ce projet de l’installation de 22 migrants, sur notre commune, qui se fait avec la complicité de la municipalité, ne faisait pas partie du programme pour lequel elle a été élue. Nous demandons donc une consultation citoyenne sur cette question, et l’annulation du projet du Groupe d’Accueil de Migrants en Vendée en attendant.

    Il en va de l’avenir de nos villages, que Macron, au nom de la transition démographique “Grand remplacement”, veut transformer de force en village Africain.

    Nous appelons donc l’ensemble de Vendéens et des Français qui veulent que Saint Jean de Monts reste Saint Jean de Monts, que la Vendée reste la Vendée et que la France reste la France à venir nombreux à ce rassemblement, et en assurer un succès éclatant.

    Haut les coeurs!

    Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement Vendéen.

     

    Source : medias-presse.info

  • Répartir les migrants dans les campagnes : l’exécutif publie un mode d’emploi

    Publié par Guy de Laferrière le 22 septembre 2023

    21 Septembre 2023, 06:48am | Publié par Thomas Joly

    C’est ce qu’on appelle avoir le sens du timing. Alors que l’Europe a les yeux rivés sur l’île de Lampedusa, où plus de 10.000 migrants ont débarqué cette semaine, l’exécutif français, et plus précisément la Direction interministérielle à l’accueil et l’intégration des réfugiés (DIAIR), vient de publier un petit guide pour « accueillir et intégrer les personnes réfugiées en milieu rural ». Ce manuel doit permettre de « faciliter l’installation » des réfugiés dans les communes rurales et d'« assurer la réussite d’un tel projet ». Un projet politique annoncé par Emmanuel Macron, il y a un an, et dont de nombreuses communes rurales ont déjà fait les frais.

    De faux arguments

    « L’installation de personnes réfugiées dans les communes rurales peut être une opportunité tant pour les territoires et leurs habitants que pour les personnes réfugiées. » Dès les premières lignes de ce guide, le ton est donné : l’accueil des migrants n’est pas un risque ni un défi ou un danger, mais une « opportunité ». Opportunité sur le plan économique, plaide tout d’abord l’exécutif. Dans ce mode d’emploi, on apprend ainsi que l’installation de migrants permettrait de « dynamiser l’économie locale du monde rural »« Faux », dénoncent des habitants de Beyssenac, village de Corrèze contraint d’accueillir une vingtaine de demandeurs d’asile depuis le début de l’été. « On ne les voit jamais sur les marchés du coin pour acheter des produits locaux, nous explique l’un d’eux. Ils vont faire leurs courses au supermarché, mais ça ne fait pas vivre notre village et nos producteurs. » « À la rigueur, si ce sont des familles que l’on accueille, ça peut maintenir une classe ouverte, mais c’est tout », concède un habitant du village. Même constat à Bélâbre, dans l’Indre, où la mairie prévoit d’installer un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA). « C’est une commune rurale, il n’y a aucun boulot ici », nous confiait ainsi un opposant au projet berrichon, en février dernier. « S’ils veulent travailler, ils vont s’installer dans une ville, donc l’argument économique est un faux argument », abonde un autre opposant. Il suffit de regarder ce qui se passe ailleurs pour s'en rendre compte. À Peyrat-le-Château, dans le Limousin, où un centre d’hébergement d'urgence pour demandeurs d'asile a été ouvert en 2014, « la majorité des personnes hébergées » ne s'installe pas durablement mais « rejoint finalement une grande ville, faute d’équipements suffisants »note la rédaction de France 3.

    La DIAIR promet, par ailleurs, une revitalisation sociale. Mais à Beyssenac, de nombreux habitants peinent toujours à voir l’impact positif de l’accueil des demandeurs d’asile dans leur village. « Pour le moment, on a des femmes. Ça se passe relativement bien, malgré quelques méfaits. Mais dans six mois, on ne sait pas ce qu’on aura. Et quand on voit ce qui se passe à Lampedusa, on craint pour notre sécurité », nous confie l’un des opposants au CADA. Beaucoup de ces ruraux qui aiment et profitent de leur tranquillité craignent en effet de voir s’abattre sur eux le fléau de l’insécurité venu des grandes villes.

    Éviter un nouveau Callac

    Ainsi, si, sur le papier, l’initiative de réinstaller des migrants dans les campagnes semble excellente, dans les faits, la situation est bien plus complexe. Elle crée même un profond sentiment d’injustice dans ces territoires longtemps abandonnés par les gouvernements successifs. « On ne s’est jamais occupé de nous. Mais là, les migrants ont le droit à un accès prioritaires pour les soins, ils sont véhiculés pour leur trajets… Nous, nous n’avons pas les mêmes avantages », se désole un habitant de Beyssenac.

    Ce guide a surtout vocation à éviter un nouveau Callac, ce village des Côtes-d’Armor devenu un symbole de la résistance contre l’arrivée des migrants en zone rurale. Grâce à une forte mobilisation citoyenne, la mairie avait fini par renoncer au projet d’accueillir des migrants porté par le fonds de dotation MERCI. Pour prévenir de nouveaux échecs, le mode d’emploi de la DIAIR préconise d’informer les habitants (cela semble la moindre des choses), de « valoriser les avantages » (quitte à minimiser les défis) et de faire appel à des « grands témoins », c’est-à-dire des militants de la cause des migrants (donc peu objectifs).

    Si le projet de répartition des migrants en zone rurale n’est pas nouveau, il semblerait qu’Emmanuel Macron souhaite lui donner un coup d’accélérateur. Mais les campagnes, abandonnées des services publics, enclavées et désertées, doivent sans doute faire face à des défis plus prioritaires que l'accueil de migrants.

    Clémence de Longraye

    Source : http://bvoltaire.fr